dimanche 18 novembre 2012



Faites circuler, c’est un devoir de fraternité et de justice.

jeudi 1 novembre 2012

Extension du domaine de la lutte



  Le vrai pouvoir du peuple.

Face à l’arbitraire des fascistes de la finance apatride, il ne sert pas à grand-chose de faire des manifestations, qu’elles soient pacifiques ou qu’elles tentent de résister aux forces de répression qui servent à protéger la nomenklatura constituant la technostructure corrompue, au sein de laquelle se trouvent bien évidemment les syndicats et les partis politiques.

Défilez autant que vous le voudrez, faites la grève jusqu’à plus soif, ils se sont organisés, avec moult lois scélérates, pour faire face à ce genre de situation et pour en sortir systématiquement victorieux. Ils sont corrompus, mais pas idiots...

Que reste-t-il aux citoyens pour faire entendre sa colère ?

En dehors de la guerre civile, ce qui n’est vraiment pas une perspective sérieusement envisageable, pas grand-chose, sauf le puissant pouvoir de l’inertie, surtout lorsqu’il est habilement coordonné.

Vous voulez un exemple de son efficacité ?

Alors, regarder cette petite vidéo, pendant que cela est encore possible :



La force du peuple contre laquelle aucune dictature n’est préparée à y faire face réside dans son pouvoir de ne plus consommer ce qui profite aux banquiers, multinationales et autres organisations, officines et organismes en collusion avec les pouvoirs publics.

Nous avons été habitués à vivre sous un fatras de superflus, il suffit de revenir à l’essentiel et de privilégier non plus les grandes structures, mais les producteurs locaux, les services collectifs (payés par nos impôts) qui ne sont pas payants par l’utilisateur. Le peuple peut tenir longtemps cette stratégie, pas les banquiers, les multinationales, les laboratoires pharmaceutiques, etc.

Voici quelques propositions :

Ne prenez plus l’autoroute.

Ne prenez plus d’abonnement aux journaux. De toute façon il vous donne maintenant l’information bien après qu’elle soit sur le net et accessible gratuitement.

Ne changez pas votre voiture avant qu’elle n’ait rendu l’âme. Elles peuvent durer 20 à 30 ans pour ceux qui roulent peu.

Ne vous abonnez plus aux chaînes de télévision payantes, elles ne sont pas meilleures que les gratuites...

Ne changez plus votre téléphone portable pour le dernier né, il ne vous apportera rien de plus que l’ancien dans votre plaisir de vivre.

Ne suivez pas la mode, elle est par essence frivole et se démode très vite.

Ne placez plus votre épargne dans les assurances vie, c’est le meilleur moyen de vous faire arnaquer sur le long terme...


Ne faites plus de dons aux organisations humanitaires internationales, elles sont toutes sous le contrôle des services secrets.

Ne faites jamais confiance à aucun gouvernement ni à aucune administration, ce qu’ils vous promettent un jour c’est pour mieux vous le reprendre le lendemain.

Ne croyez surtout pas qu’un gouvernement et sa technostructure vous disent la vérité, la règle est toujours la même : les promesses mensongères n’engagent que ceux qui y croient.

Ne croyez surtout pas que les gouvernements veillent sur votre protection et celle de votre famille. Pensez au nuage de Tchernobyl (voyez l’escroquerie de Fukushima), au sang contaminé, aux vaccins contre le H1N1 (formidable affaire pour des multinationales), aux OGM, aux autorisations de mise sur le marché pour des médicaments qui ne servent qu’à enrichir les laboratoires pharmaceutiques, aux pesticides tueurs d’abeilles et cancérigènes, aux additifs alimentaires portant atteinte aux défenses immunitaires, etc... Responsables, mais jamais coupables...


Liste non exhaustive qui ne demande qu’à être complétée par vos participations...

lundi 8 octobre 2012



Nous ne sommes pas dupes des mensonges, manipulations et terrorisme d'État.
La corruption des gouvernements de la planète est dans la conscience des peuples.

Ceux qui prendront l'épée périront par l'épée. Matthieu 26.52

jeudi 28 juin 2012

 
 L'Amérique fasciste sous le règne du premier Président noir.

Un ex-président américain accuse Obama d’être un assassin

Par Bill Van Auken
28 juin 2012
La rubrique écrite par Jimmy Carter, le 39ème président des Etats-Unis, et publiée lundi dans le New York Times, constitue une condamnation exceptionnelle du gouvernement Obama, de sa pratique de l’assassinat, de ses violations criminelles du droit international et de la constitution américaine.

Dans sa rubrique intitulée « Un bilan cruel et inhabituel » Carter écrit : « Les révélations selon lesquelles des responsables de haut niveau ciblent des gens pour être assassinés à l’étranger, dont des citoyens américains, ne sont que la plus récente et inquiétante preuve de l’ampleur donnée à la violation des droits de l’Homme par notre pays. »

Faisant allusion aux dispositions tristement fameuses de la Loi d’autorisation de la Défense nationale (National Defense Authorization Act, NDAA), promulguée le 31 décembre de l’année dernière par Obama, Carter écrit : « Une récente loi a rendu légal le droit du président de détenir indéfiniment une personne parce qu’elle est soupçonnée d’affiliation à des organisations terroristes ou à ‘des forces associées’, un vaste et vague pouvoir qui peut donner lieu à des abus sans contrôle significatif des tribunaux ou du Congrès. » Il poursuit faisant référence à « des violations sans précédent de nos droits » au moyen d’écoutes téléphoniques et d’exploitation de données électroniques sans mandat.

Élaborant sur les frappes de drones américains, l’ancien président ajoute, « En dépit d’une règle arbitraire que tout homme tué par des drones est déclaré être un ennemi terroriste, la mort de femmes et d’enfants innocents se trouvant à proximité est considérée comme inévitable… Nous ne savons pas combien de centaines de civils innocents ont été tués dans ces attaques, chacune d’entre elles approuvées par les plus hautes autorités à Washington. Ceci aurait été impensable dans le passé. »

La rubrique de Carter est apparue le jour même où l’ambassadeur du Pakistan auprès des Nations unies témoignait devant la Commission des Droits de l’homme de l’ONU, pour dénoncer les attaques de drones américains sur son pays et lors desquelles « des centaines d’innocentes personnes, dont des femmes et des enfants ont été assassinées. » Il a dit que rien qu’en 2010, 957 Pakistanais avaient été tués.

Carter continue en dénonçant le gouvernement pour la poursuite des activités du camp de détention de la Baie de Guantánamo à Cuba où, souligne-t-il, sur 169 prisonniers « la moitié ont été déclarés libérables, et pourtant ils ont peu de chance de jamais obtenir leur liberté, » et d’autres « n’ont aucune perspective d’être jamais ni inculpés ou jugés. »

Dans les rares cas où des prisonniers ont comparu devant des cours martiales, remarque-t-il, les prévenus « ont été torturés plus de 100 fois par le « waterboarding » (simulation de noyade, n.d.t) ou ont été intimidés à l’aide d’armes semi-automatiques, de perceuses électriques ou on les a menacés d’abus sexuels à l’encontre de leurs mères. » Il poursuit : « Chose étonnante, ces faits ne peuvent pas servir pour la défense de l’accusé parce que le gouvernement prétend qu’ils se sont produits sous le couvert de la ‘sécurité nationale’. »


Mises à part les objections morales, et il n’y a aucune raison de douter qu’elles jouent un rôle important dans le cas de Carter, l’ancien président exprime de profondes inquiétudes comme quoi la criminalité flagrante des actions menées par le gouvernement américain mine la politique étrangère américaine. Non seulement ses méthodes attisent l’hostilité populaire dans le monde entier, elles privent encore Washington de la capacité de draper sa politique du prétexte des droits de l’Homme et de la défense de la démocratie, une méthode employée de manière significative par l’impérialisme américain depuis son avènement à la fin du 19ème siècle.

Carter, lui-même, avait joué de manière évidente la carte des « droits humains » durant son mandat présidentiel, alors même que son gouvernement tentait de soutenir le régime de torture du Shah en Iran, avait initié l’insurrection islamiste en Afghanistan appuyée par la CIA et affirmé le droit – dans la doctrine Carter – de l’Amérique d’utiliser la force militaire pour asseoir sa domination sur les réserves pétrolières dans le Golfe Persique.

On avait fait entrer Carter, ancien officier supérieur de la marine et spécialiste des sous-marins, à la Maison Blanche en 1977 pour restaurer la crédibilité et la renommée de la présidence américaine suite à la débâcle subie par l’impérialisme américain au Vietnam et à la criminalité révélée par le scandale du Watergate.

Et pourtant, près de quatre décennies plus tard, les méthodes extraconstitutionnelles et la criminalité à la Maison Blanche dépassent de loin tout ce qui avait été fait sous Richard Nixon.

Il n’y a aucun doute que Carter a soigneusement pesé chaque mot de sa rubrique en évitant toute exagération. En effet, le nom d’Obama n’apparaît pas. Avec les premiers mots de l’article, il a toutefois inséré un lien vers un article assez long paru le 1er juin dans le New York Times et qui documente comment Obama a personnellement dirigé la préparation de la « liste des personnes à tuer, » choisissant des victimes et apposant sa signature sur les frappes des drones alors qu’il est sûr que d’innocents civils seront tués.

Dans ce contexte, le recours de Carter au mot « assassinat » pour décrire les attaques de drones a une signification évidente. Le président des États-Unis, dit cet ancien président, est coupable de crimes de guerre et de meurtres.

A l’âge de 88 ans, Carter est un observateur impartial, plus préoccupé par son héritage que par un quelconque gain politique. Son témoignage est d’autant plus exceptionnel qu’il a occupé la même fonction qu’Obama, qu’il est du même parti et qu’il avait soutenu l’élection d’Obama.

Qu’est-ce qui l’a poussé à un peu plus de quatre mois des élections présidentielles, de lancer de telles accusations contre le candidat de son parti et le président en exercice ? Il doit croire que le système politique en Amérique est tombé tellement bas dans la criminalité et que la menace d’un Etat policier est tellement grande qu’il est essentiel pour lui de faire entendre sa voix.

Carter déclare que ces activités criminelles ont été commises avec le soutien « bipartite du pouvoir exécutif et législatif » et pratiquement « de façon unanime ». En effet, comme pour faire valoir son argument, ses propres commentaires dans la rubrique – qui ont une signification politique explosive – ont largement été ignorés par les médias de masse.

Douze ans après le vol des élections présidentielles en 2000, la principale leçon de cet épisode crucial de la vie politique américaine est démontrée de plus en plus fortement : il n’existe au sein de l’establishment patronal et politique américain aucune base pour la défense des droits démocratiques et des méthodes constitutionnelles.

Le gouffre sans précédent entre l’oligarchie financière dirigeante et les masses de travailleurs – qui s’est accru de manière continue durant cette période – est totalement incompatible avec de tels droits et de telles méthodes.

Les mots de Carter sont un avertissement. La menace d’un État policier américain et le recours aux méthodes meurtrières utilisées à l’étranger par l’impérialisme américain contre la classe ouvrière aux États-Unis mêmes, est réelle et grandissante. La classe ouvrière doit se préparer en conséquence en mobilisant son pouvoir politique indépendant contre le système de profit capitaliste duquel ces menaces découlent.

(Article original paru le 27 juin 2012)

Source wsws.org : http://www.wsws.org/fr/articles/2012/jui2012/cart-j28.shtml

jeudi 24 mai 2012

Petit billet d'humeur, juste pour le fun...

Même si c'est cruel, il faut parfois dire aux enfants qu'il faut qu'ils arrêtent de faire leurs conneries !

À force de se nourrir de bobards vaniteux et ultranationalistes, de sous-culture à base de super héros débiles de B.D., les Américains ont fini par prendre des vessies pour des lanternes, et leurs délires fantasmagoriques infantiles et hollywoodiens pour l’alpha et l’oméga des réalités...

Voilà ce qui se trouve actuellement à la tête du monde : un peuple ignorant, asservi, primaire, sans morale ni justice, sans valeur autre que leur cupidité insatiable, sans dignité ni honorabilité et, comme tout ce qui est infantile, avec une irresponsabilité des plus crasse...

Y a pas à dire, l’opinion publique américaine a parfaitement raison de penser que «Superman» et consorts ont pris un sacré coup de vieux, et ce n’est pas avec leur fessebouc, soda frelaté et leurs hamburgers à base d’OGM qu’ils peuvent espérer incarner l’espoir et la quintessence d’une Civilisation glorieuse pour obtenir l'adhésion volontaire du reste de l'humanité à leur vision cauchemardesque...

Derrière leur frime, le clinquant des apparences, et leur suffisance nationaliste de pacotille (ce qui ne l’empêche pas d’être extrêmement dangereuse pour la planète, comme le fut le nazisme), l’Amérique est en vérité un peuple de clodos culturels, politiquement sous-développé et économiquement corrompu.

Ceci expliquerait amplement pourquoi la statue de la liberté tourne le cul à l’Amérique...

mardi 17 avril 2012

Votez contre l'Euro ou mourrez !



Ceux qui votent pour l'Euro en croyant avoir la paix et la prospérité, auront la guerre et la misère.

jeudi 29 mars 2012

Après le temps des illusions...

Le 7 mai 2012, le carrosse du mouton de votant se transformera en vulgaire citrouille, et le prince charmant de président en épouvantable crapaud !

Derrière l’apparence d’une campagne électorale faussement démocratique, que nous imposent les médias sous contrôle officiel, se cachent de terribles vérités.

La première est celle que nous sommes bel et bien dans une monstrueuse situation financière, et qu’il n’y aura pas de lendemains qui chantent, pas plus que de changement entre ceux qui nous gouvernent et les citoyens bisounours qui s’imaginent détenir un quelconque pouvoir avec leur bulletin de vote.

La deuxième, et peut être la plus volontairement dissimulée par l’ensemble des politiques et des journalistes et celle qui concerne la guerre en préparation, par les impérialistes occidentaux, contre l’Iran. Est-ce que celui ou celle, que vont élire les moutons de votants, engagera-t-il l’armée, et donc le pays, dans ce sale conflit qui n’a pas d’autre dessein que l’avènement d’une dictature féroce pour ce Nouvel Ordre Mondial qui sera de plus en plus implacable ?

La responsabilité des électeurs, je n’ose pas dire des citoyennes et des citoyens de ce pays tant ils sont politiquement incultes, engage l’avenir de la nation, ou de ce qu’il en reste, ainsi que les intérêts des générations futures.

Savoir si les riches payeront plus ou moins d’impôts pour subventionner un assistanat délirant n’est pas le plus important.

Pas plus que de savoir s’il y aura plus ou moins de chômage ou plus ou moins de pouvoir d’achat.

De toute façon les gouvernants corrompus, qui sont depuis si (trop) longtemps au pouvoir, ont prévu de protéger leurs intérêts que vous votiez à gauche ou à droite. Taxer davantage les riches n’est rien d’autre qu’un alibi grotesque qui permet surtout de taxer davantage les pauvres dans la foulée. Depuis l’augmentation des taxes sur les riches, ces derniers ne se sont pas appauvris, ce serait même exactement le contraire, car, et c’est là que les classes moyennes n’y voient que du feu, l’aménagement de niches fiscales à fait en réalité que la France est, pour ces riches, un véritable paradis fiscal. Pendant ce temps, les autres catégories sociales, qui ne disposent pas des mêmes facilités, voient leurs revenus, leurs épargnes et les revenus de ceux-ci, de plus en plus lourdement taxé. Quant aux plus pauvres - par le biais des taxes indirectes (TVA - CSG - RDS - Énergie - Assurances - Cotisations sociales), sans compter les taxes exotiques (Sodas, emballages, financement des énergies renouvelables, taxe sur billet d’avion, sur internet, sur les capsules de bière... Etc.) -, se retrouverons être à nouveau les dindons de la farce. En allant vociférer dans des manifestations manipulées par les pouvoirs maçonnique en place, pour taxer les riches, ils ne se rendent même pas compte que la finalité de l’opération est de les appauvrir eux et seulement eux...

Rarement un vote aura été aussi déterminant dans l’histoire de notre Pays. Celui du 6 mai 2012 n’est rien de moins que l’engagement dans une troisième guerre mondiale qui sera assurément plus dévastatrice et plus horrible que les deux précédentes. 

Si Sarkozy ou Hollande sont élus, soyez assurés qu’ils seront les supplétifs guerriers de l’armada américano-sioniste qui est en train d’amasser troupes et armement sur le prochain théâtre des opérations. Lorsque l’on réalise  les dégâts occasionner, bien inutilement par les différentes interventions en Irak, Afghanistan, en Libye et en ce moment en Syrie, il n’y a aucune illusion à se faire sur le résultat prévisible : il sera dramatique autant pour le ou les vaincus, que pour le ou les vainqueurs, hormis ceux qui dirigent: le complexe militaro-industriel et la finance...

Alors, avant de déposer votre bulletin dans l’urne, posez-vous simplement la question suivante :  

Est-ce que le carrosse pour lequel je m’apprête à voter ne va pas se transformer en citrouille le 6 mai 2012 à minuit ?




dimanche 4 mars 2012

Le vote, ce vieux piège à cons...

Élisée Reclus Photographié par Nadar

Ce qui était vrai hier, l'est tout autant aujourd'hui.


"Voter, c'est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c'est renoncer à sa propre souveraineté. Qu'il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d'une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu'ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.

Voter, c'est être dupe ; c'est croire que des hommes comme vous acquerront soudain, au tintement d'une sonnette, la vertu de tout savoir et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l'échenillage des arbres à l'extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble que leur intelligence grandisse en raison même de l'immensité de la tâche. L'histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a toujours affolé, la parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées souveraines, la médiocrité prévaut fatalement.

Voter, c'est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à l'honnêteté de ceux auxquels ils accordent leur suffrage – et peut-être ont-ils raison le premier jour, quand les candidats sont encore dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès que le milieu change, l'homme change avec lui.

Aujourd'hui le candidat s'incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain il se redressera et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des ordres. L'ouvrier, devenu contremaître, peut-il rester ce qu'il était avant d'avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate n'apprend-il pas à courber l'échine quand le banquier daigne l'inviter à son bureau, quand les valets des rois lui font l'honneur de l'entretenir dans les antichambres ? L'atmosphère de ces corps législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s'ils en sortent corrompus.

N'abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de confier vos intérêts à d'autres, défendez-les vous-mêmes ; au lieu de prendre des avocats pour proposer un mode d'action futur, agissez ! Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les autres la responsabilité de sa conduite, c'est manquer de vaillance.

Je vous salue de tout cœur, compagnons." 

Élisée Reclus (1830-1905)

jeudi 1 mars 2012

Proposition d'intérêt politique majeur...

Un dispositif susceptible de rendre toute son éthique à notre démocratie et un retour progressif de notre indépendance.

Remarquons d’abord que le Conseil Constitutionnel outre qu’il s’est maintes fois fourvoyé dans des compromissions politiques qui lui ont fait perdre son honorabilité, n’a jamais hésité à violer la loi et la Constitution lorsque des conflits d’intérêts se manifestaient entre le peuple et la nomenklatura politique pour cause de consanguinité avec cette dernière.

Remarquons qu’il est devenu un repaire de délinquants notoires plus préoccupés de protéger une caste de dirigeants corrompus et ses privilèges illégaux que les libertés et le droit constitutionnel.

C’est en grande partie à cause de cette bizarrerie contraire aux principes des Droits de l'Homme, aux pratiques occultes et hors de tout contrôle, que les moeurs politiques se sont considérablement dégradées dans ce pays au point de n'avoir que des menteurs ou des carriéristes cupides pour élus.


Remarquons que la justice n’est plus respectée, les institutions ne sont plus soumises au strict respect des principes du pacte républicain, d’où une dérive sans cesse totalitaire de la technostructure, et une disparition de la Liberté et de l'indépendance de ce pays.


Remarquons que les pouvoirs ne sont plus séparés, et les contres pouvoirs n’existent plus.


Remarquons que la transparence, qui est un des pilier de la démocratie, a fait place à l'opacité la plus complète, source des pires magouilles et prévarications.

Remarquons qu'une oligarchie s’est installée au coeur de ce processus mafieux et entend faire régner son autorité fusse au prix de l’arbitraire, de l'asservissement et de la dictature dont les exemples abondent.


Remarquons que les parlementaires, élus de la Nation, ne disposent plus d’autres droits que celui qui consiste à se soumettre à quelques énarques qui ont colonisé les partis politiques, les administrations et les grandes entreprises privées. Ils imposent leur propre souveraineté (celle de leurs intérêts de caste) en violation des acquis de la Révolution (suppression des privilèges) et des différentes conquêtes en matière de libertés, d’égalité et de moralité publique.

Pour mettre un terme à cette dérive tant mafieuse que totalitaire, il faut impérativement instaurer dans ce pays une  


Cour française des Droits de l’Homme.

Cette Cour, devra avoir des magistrats spécialisés en matière de droit constitutionnel,  et qui devront prêter serment de strict respect d’indépendance à l’égard de tout pouvoir politique et judiciaire, ainsi qu'un engagement solennel en la défense des Droits de l’Homme selon les termes de la DDHC de 1789, et des dispositions la Constitution.

Cette Cour pourra être saisie, selon des modalités simples à définir et respectant le droit commun, par n’importe quel membre du corps social s’estimant lésé tant par une loi scélérate, décrets opportunistes et règlementations arbitraires, que par des jugements ne respectant pas la conformité de ses droits fondamentaux. Elle pourra aussi être saisie par chacun des élus de la Nation qui considérera l’abus de droit d’un des trois pouvoirs, ou le non-respect de leur séparation, ainsi que l’entrave faite à l’exécution de son mandat d’élu du peuple que ce soit en matière de liberté d’expression, ou d’obstacle à une saine pratique parlementaire, par exemple : la libre constitution de groupe de contrôle du bon fonctionnement de l’État ou de ses administrations, qui sont tenus de rendre compte tant à la représentation nationale, qu’à chaque citoyenne et citoyen de ce pays, comme l’indique clairement et simplement la Déclaration des Droits de l’homme et du Citoyen de 1789.

J’invite toutes Citoyennes et Citoyens de ce pays, tous les partis politiques qui ont d’abord pour première préoccupation la véritable défense des libertés, tous les parlementaires qui se révoltent devant l’état de corruption de nos institutions et des gouvernements en place à prendre en considération cette proposition de la création d'une :


 Cour française des Droits de l’Homme.

Si cela vous semble indispensable, faites circuler cette proposition, c'est aussi la vôtre.

jeudi 23 février 2012

La Résistance à l'oppression.


Lorsque le mensonge est érigé en principe de gouvernement...

Jugeons l’arbre à ses fruits et la crédibilité d’un responsable politique à son bilan.

Lorsque le socialiste Papandréou s’est fait élire avec un programme politique irréaliste, il savait pertinemment que c’était un énorme mensonge et que la Grèce était dans un tel état de faillite qu’elle ne permettrait pas l’application de ce programme. 

Papandréou SAVAIT, et quinze jours après son élection il a complètement abandonné son programme pour appliquer celui des eurocrates, mais il était en place et lui et ses amis pouvaient continuer à avoir les deux mains dans le pot de confiture de la corruption généralisée.

Lorsque Sarkozy s’est fait élire, en 2007, par trucage politique et violation de la loi sur les patronymes, il savait, contrairement à ses affirmations de menteur professionnel, que la crise était bel et bien dans les tuyaux et que la France ne pourrait y échapper. Depuis 2001 des rapports étaient publiés démontrant le côté nuisible de la financiarisation de l’économie et les inéluctables conséquences auxquelles il fallait s’attendre :


Revue d'économie internationale

Des économistes compétents, pas ceux que les médias nous présentent comme des pseudo-experts, pronostiquaient depuis 2004 un effondrement de l’économie mondiale basé sur des principes virtuels chimériques. Il n’est pas douteux que les experts du Ministère des Finances, dont Sarkozy a été le ministre, ne pouvaient ignorer ces travaux, sauf à croire que ces technocrates grassement payés par les contribuables et gavés de privilèges, soient d’une incompétence crasse, ce qui n'est pas totalement à exclure pour certains d'entre eux.

Donc, l’imposteur Sarkozy, lorsqu’il a été élu, SAVAIT que ses promesses politiques ne pourraient pas être tenues, et qu’il a délibérément menti pour se faire élire.

Il SAVAIT qu’il allait violer la décision de souveraineté suprême en faisant approuver par un Parlement Croupion d’apparatchiks corrompus - ce qui n’était pas dans son programme -, le traité de Lisbonne en remplacement du projet de Constitution européenne rejeté par le suffrage universel, l'expression suprême de la souveraineté populaire.

Il SAVAIT qu’il allait faire le contraire de ses promesses en matière de baisse des taxes et des impôts.

Il SAVAIT qu’il y aurait davantage de SDF à la fin de son mandat et qu’il mentait lorsqu’il affirmait qu’il n’y aurait plus personne dormant dans la rue à la fin de ce mandat.

Il SAVAIT qu’il ne maîtriserait pas l’endettement public, mais plus encore, il SAVAIT qu’il serait celui qui allait l’augmenter dans des proportions considérables et qu'il hypothèquerait durablement les richesses de la Nation (dont le stock d'or de la France), pour sauver ses amis banquiers.

Il SAVAIT que le «droit au logement», ne serait qu’un artifice bidon pour appâter les crétins qui ne votent que pour des promesses, jamais pour des réalités.

Il SAVAIT qu’il ne pourrait pas maîtriser le chômage, mais que ce serait nécessairement une aggravation produite par sa politique de gribouille uniquement orientée au profit de son clan familial, ses mentors et ses obligés.

Il SAVAIT qu’il allait mettre ses pas dans ceux de son cornac américain en faisant réintégrer la France dans l’OTAN, et en devenant le gouverneur du protectorat américain, qu’est devenu notre pays en perdant toute véritable indépendance y compris militaire.

IL SAVAIT qu’il ne sauverait pas Gandrange, et d’ailleurs il n’en avait rien à foutre, c'était juste un coup médiatique parfaitement maîtrisé et qui a parfaitement marché.

IL SAVAIT qu’en faisant des cadeaux fiscaux aux plus riches, cela se ferait au détriment des plus défavorisés. Mais il SAVAIT aussi que les plus défavorisés ne se bercent que d'illusions et de promesses, alors que les plus riches monnayent toujours leur soutien financier.

Il SAVAIT, compte tenu de l’état des finances publiques que Fillon avait déclaré dés le début du mandat comme en faillite, qu’il n’y aurait pas amélioration de la pauvreté, mais aggravation. Ce qui n'a pas été le cas de sa rémunération outrageusement augmentée, ni des dépenses de l'Élysée.

Il SAVAIT qu’il allait mettre la liberté de la presse sous une tutelle proche de celle que l’on trouve dans toutes les dictatures. Mais les journalistes sont tellement dociles et inféodés au pouvoir en place.

Il SAVAIT qu’en se faisant élire sur un programme bidon, il pourrait faire exactement le contraire pendant la durée de son mandat, et il ne s’en est pas privé.

Il SAVAIT qu’il allait museler et mettre une camisole à l’institution judiciaire pour faire ce que bon lui semble, même et surtout en violant délibérément la Loi, la Constitution et le pacte Républicain, donnant l’exemple de la délinquance la plus avérée au sommet de l’État.

Je brosse ici les grandes lignes de l’imposture de ce qu’a été la mandature Sarkozy, basée uniquement sur la politique du MENSONGE, de la duplicité, de la manipulation, de la dissimulation, de la tromperie et de l’abus de confiance électorale, mais le bilan exhaustif reste à faire, et il n’est pas certain que ce qu’il contient ne relève pas et du pénal et de la haute Cour de justice, même si cette dernière est réputée pour sa complaisance coupable envers les délinquants de hauts vols avérés.

Que nous proposent les deux principaux candidats à la Présidence.

Pour Sarkozy, qui ne peut pas se permettre de perdre, sous peine, lui et une bonne partie de ses complices, de passer rapidement du Capitole à la roche Tarpéienne, il va continuer à fond dans le MENSONGE, les bobards pour attardés mentaux, l’imposture et l’hypocrisie. Il va chercher les pires combinaisons sournoises et vicieuses pour se faire élire, pas sur l’enthousiasme de son programme auquel personne ne peut croire sérieusement, mais par défaut, suivant l’exemple du coup fameux de Chirac, un autre célèbre délinquant qui siège toujours au calamiteux Conseil Constitutionnel.

Pour Hollande, il est condamné - à défaut d’un bilan sérieux à produire et d'un programme crédible -, à faire exactement du Papandréou. Se faire élire sur un programme trompe l'oeil en sachant que dans les quinze jours qui suivront son éventuelle élection, il fera un virage à 180°, et fera la politique imposée par les eurocrates qui regardent ce théâtre de guignol de la démocratie française, avec un sourire narquois, hautain et prétentieux comme il sied à cette «aristocratie» de pacotille.

La question que doivent se poser les citoyennes et les citoyens de ce pays est donc :

Faut-il encore voter pour que le MENSONGE soit de nouveau au pouvoir, alors qu'il a déjà coûté plus de 1.700 milliards d'euros de dettes ?

Nous aurons la réponse après le 6 mai 2012, et comme il est dans l’ordre des choses, l’élu sera à l’image du peuple qui l’aura porté au pouvoir : soit l’expression de la VERTU, soit celle du VICE...

J’ai comme l’impression que les moutons de votant ont une fâcheuse attirance pour le VICE, et qu’ils sont hélas indécrottables,

Râma, le sage vertueux monarque, n’aurait eu aucune chance d’être élu s’il avait pu se présenter à la présidentielle de 2012...



Et si pour une fois l'esprit de Résistance à l'oppression se manifestait dans les urnes...

Alors à chacun selon ses mérites et l’on ne récoltera que la liberté et la justice que l’on aura été capable de semer.

dimanche 5 février 2012

L’universelle règle de bonne gouvernance apportée au sein de l'humanité

Pour nos gouvernants si universellement corrompus et ayant érigé le mensonge en dogme suprême : la sagesse intemporelle du Râmâyana.
Ayodhyâkânda, chapitre CX


Quand il eut écouté les propos de Jabâli (un excellent brâhmane qui lui conseillait de renoncer à la promesse faite à son père défunt de laisser son frère Bharata régner à sa place, pour occuper le trône qui lui revenait par ordre de naissance), Râma, ce héros tout de vaillance, lui opposa une réponse parfaitement exemplaire, d’une sagesse sans complaisance :

“ Le discours que tu viens de me tenir pour m’être agréable est inadmissible, même s’il peut sembler juste, et dangereux sous une apparence salutaire. Celui qui passe les bornes, qui adopte une mauvaise conduite et ne sait distinguer la bonne, ne gagne pas l’estime des gens de bien. La conduite seule révèle si l’on est de naissance haute ou basse, si l’on est un héros ou un fanfaron, si l’on est pur ou impur.

L’homme d’honneur ressemble, dans sa forme de manifestation,  à l’homme sans honneur, celui qui est pur à l’impur, celui qui porte des signes fastes à celui qui en est dépourvu, le pervers au vertueux. Si, sous couvert de devoir, je commettais un acte qui trahisse et abuse les gens, je renoncerais à la pureté en agissant contre les prescriptions.

Quel homme sensé au monde, conscient du bien et du mal, me tiendra en haute estime, si je me comporte en scélérat, en corrupteur du monde? Sur qui prendrai-je exemple ? Comment parviendrai-je au ciel si j’adopte une conduite qui fait fi de ma promesse ? Ensuite, le monde entier n’obéira qu’à ses désirs, car les sujets se comportent de la même façon que leurs rois.

La conduite d’un roi doit toujours respecter la vérité et la bonté ; ainsi,  la royauté se fonde sur la vérité, et le monde a la vérité pour assise. Les sages comme les dieux honorent la vérité ; de ce fait, celui qui dit la vérité en ce monde gagnera le séjour suprême, impérissable. On redoute celui qui ment, autant qu’un serpent ; le devoir ancré dans la vérité est en ce monde, dit-on, la racine de tout. La vérité détient la suprématie sur le monde, le devoir est fondé sur la vérité ; tout s’enracine dans la vérité, il n’est pas de recours supérieurs à la vérité. Offrandes, sacrifices, libations, pénitences, pratiques ascétiques, Véda sont fondés sur la vérité, aussi doit-on la prendre pour valeur suprême.

L’un protège le monde, l’autre sa famille, l’un tombe en enfer, l’autre est exalté au ciel. Quant à moi, pourquoi ne suivrais-je pas l’ordre de mon père ? Il était fidèle à sa parole, et sa fidélité détermine la mienne. Ni avidité, ni égarement, ni ignorance ne me plongeront dans une obscurité qui me ferait briser la digue de la vérité : je respecterai la promesse faite à mon maître. Nous avons appris que ni les dieux ni les ancêtres n’acceptent les offrandes de celui qui trahit sa parole, qui est versatile et inconstant. J’ai la ferme conviction que le respect de la vérité est mon devoir personnel : les justes en portent la charge, et je le revendique moi aussi. Je refuse le devoir du ksatriya (le pouvoir de régner) ; le contraire du devoir associé au devoir, ce sont les gens de peu, les méchants, les cupides qui l’observent, ce sont les scélérats. Faire le mal avec son corps, le concevoir en pensée, proférer un mensonge avec sa langue, ce sont les trois sortes de péchés. Terre, renommée, gloire, fortune veulent un homme pour époux ; or, elles ne se soumettent qu’à la vérité : il faut donc servir la vérité.

Assume cette tâche, c’est un bien”, me disais-tu : mais ce que tu considères comme excellent est en fait indigne, ton discours est très spécieux. J’ai fait à mon maître la promesse de vivre en forêt : comment pourrais-je me plier à la volonté de Bharata (qui réclamait aussi que Râma monte sur le trône royal), et trahir l’ordre de mon maître ? J’ai fermement engagé ma parole en présence de mon maître, et la reine Kaikeyi (mère de Bharata) en a éprouvé la plus grande joie. En accomplissant ce séjour en forêt, je suis pur, je restreins ma nourriture, je satisfais les ancêtres et les dieux par de saintes offrandes, racines, fruits et fleurs ; mes cinq sens sont rassasiés, je fais s’accomplir la marche du monde ; ma foi sincère me permet de distinguer le bien du mal.

Lorsque l’on est sur la terre des actes, c’est l’acte vertueux qu’il faut accomplir : Agni, Vayu et Soma ont bien obtenu le fruit de leurs actes. Le roi des dieux, quand il eut offert cent sacrifices, et les  grands sages, après avoir pratiqué de terribles austérités, ont gagné le ciel.

Vérité, devoir, héroïsme, compassion à l’égard des créatures, langage bienveillant, révérence témoignée aux brâhmanes, aux dieux et aux hôtes, voilà le chemin du ciel, disent les justes.

Aussi, dûment avertis de leur intérêt, visant leur plus grand avantage, les brâhmanes observent intégralement leur devoir, en bonne règle, scrupuleusement, dans leur aspiration à atteindre le séjour céleste.

Je juge mauvais que mon père ait toléré la présence de quelqu’un comme toi, à la sagesse dangereuse, d’un nihilisme invétéré qui se réfère à une telle sorte de sagesse et renie le chemin du devoir. Tout sage qu’il soit, celui qui fréquente un nihiliste est le plus condamnable des sujets.
"

lundi 30 janvier 2012

Lorsqu'un Président n'est pas honorable...

Le citoyen Président Nicolas Sarközy de Naguy Bocsa a-t-il dépassé les limites de toutes compétences?

Lors de sa pitoyable intervention télévisée imposée au pays, comme au temps de l’Union Soviétique, non seulement il a proféré des affirmations erronées, mais en plus il a démontré qu’il était incapable de respecter la Loi, le pacte républicain, et la Constitution dont il est pourtant le gardien.

Preuve du flagrant délit de forfaiture.

Le Candidat Président a annoncé que les entreprises pourront négocier des accords à l’intérieur de chaque entreprise, qui pourront s’imposer à la loi, que notre candidat Président ne considère plus comme un principe républicain et démocratique.

Or, il est bon, même si aucun journaliste, aucun parti, ni aucune personnalité politique n’ont pour l’instant soulevé l’inconstitutionnalité de cette proposition, de rappeler que notre Constitution, que cela plaise ou non à ce gouverneur au service de l’Amérique, repose sur un Principe qui s’appelle : Le DROIT COMMUN.

Ce DROIT COMMUN est un héritage de la fameuse nuit du 4 août 1789, qui a vu la disparition des privilèges.

C’est aussi une des dispositions de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, qui dispose en son Article 6 :

La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse.

Méconnaître un principe Constitutionnel, réputé : Naturel, Sacré, Inaliénable et Imprescriptible, démontre que ce Président ne s’est jamais beaucoup embarrassé avec le respect des lois, ce qui se retrouve dans les différentes affaires en cours d’instruction, et qu’il n’en a rien à faire de la démocratie, de l’État de droit, de la Justice, et pour tout dire de la France et de son histoire, lui qui n’est pas un français de souche...

Par cette proposition stupide, il démontre son incompétence, ou son imposture - les deux ne sont pas incompatibles -, à occuper les fonctions qui lui ont été confiées par le Peuple souverain.

Non seulement il n’a pas été à la hauteur de la tâche, mais en plus il n’a jamais incarné l’Esprit de la Nation et encore moins la défense de ses citoyens...

Il n'est donc pas un gouvernant honorable, comme le stipule les règles de Râma; ci dessous.

vendredi 27 janvier 2012

Comment faire pour ne pas encore voter pour des crapules ?

Les règles de bonne gouvernance selon Râma
extrait et adapté du Râmâyana. (Ayodhyakanda, chapitre C)

Il y a plusieurs milliers d’années, les Enseignements du Râmâyana définissaient ce qui constituait les caractéristiques d’un bon chef d’État dans ce conte épique relatant la vie de Râma. 

Lorsqu’un Enseignement s’est le plus approché de l’Universel, il acquiert comme principale vertu celle de l’intemporalité. 

Vous pourrez constater, à la lecture de ce qui suit, que ce qui caractérisait la qualité d’un chef d’État, pour l'antique sagesse universelle, il y a plusieurs milliers d’années, n’a pas pris la moindre ride et reste d’une actualité, d'une pertinence et d’une justesse redoutable.

Avant d’aller voter, un grand nombre de citoyennes et de citoyens devrait avoir la sagesse de comparer la personnalité de chacun des candidats aux règles définies par Râma. Règles qui ont un caractère divin, car ce Prince légendaire était le septième avatar de Vishnou.

Diffusez largement cet Enseignement en copiant l’URL de cette page :
http://temple-hermes-thoth.blogspot.com/2012/01/comment-faire-pour-ne-pas-encore-voter.html

Râma à son frère Bharata.

- Tu honoreras les Dieux, les ancêtres, tes serviteurs, tes maîtres, tes parents proches, les médecins et les sages.

- Tu entoureras d'égards les experts compétents en science politique.

- Tu prendras pour ministres des hommes partageant tes qualités et qui seront : valeureux, savants, maîtres de leurs sens, de famille honorable et sachant lire les pensées des autres.

- Tu ne décideras pas seul, ni à l'inverse avec trop de personnes.

- Lorsque tu auras décidé d'un projet, tu devras t'y consacrer avec application et sans perte de temps.

- Tu préféreras l'avis d'un seul sage à celui de milliers de fous.

- Tu réuniras les meilleurs collaborateurs dont les compétences seront utilisées aux tâches les plus importantes ; ceux aux compétences ordinaires aux tâches ordinaires, et ceux aux compétences inférieures aux tâches inférieures.

- Tu ne mépriseras ni tes ministres ni tes collaborateurs, ni le peuple. Pas plus que tu ne les terroriseras par une justice impitoyable.

- Que ta fonction ne soit pas méprisée à cause de ton manque d'équité ou de ton comportement peu honorable.

- Tu feras en sorte que le faux médecin, le serviteur corrompu ou déloyal, ainsi que le manque d'équité soient jugés et condamnés.

- Tu féliciteras et récompenseras ceux qui se seront rendus utiles à la collectivité par leur courage, leur dévouement, leur habilité, leur compétence, leur vaillance, leur droiture et leur générosité.

- Tu veilleras à une juste répartition des richesses afin qu'elles récompensent les mérites de chacun, sans pour autant laisser les plus pauvres dans la désespérance.

- Tu veilleras à ce que ceux qui sont chargés de te représenter soient à la hauteur de ton image. Celui qui reçoit un messager imbécile ou incompétent est en droit de considérer que ce dernier est à l'image de son maître.

- Tu devras être correctement informé sur les hauts responsables, leur dignité, leur honorabilité et leurs compétences réelles.

- Tu ne t'entoureras pas de personnages cupides, avides et voraces, ils ne sont bons qu'à apporter la corruption, le mensonge, l'injustice et le malheur.

- Tu ne feras pas uniquement confiance à ceux qui n'ont que la logique du raisonnement intellectuel, ce sont des insensés qui finissent par professer que des absurdités.

- Tu veilleras à ce que le pays soit pourvu d'équipements permettant une équitable circulation des énergies matérielles, intellectuelles et spirituelles, afin que chacun puisse les recevoir selon ses besoins.

- Tu veilleras à ce que chacun puisse vivre dans des rapports de paix, de respect et de sécurité.

- Tu protègeras ceux qui assurent la prospérité : commerçants, industriels, financiers et particulièrement les agriculteurs sans lesquels la nature ne serait pas entretenue et protégée, et la population ne serait pas correctement approvisionnée.

- Tu veilleras à ce que ton comportement soit aussi digne et honorable que la fonction que tu occupes, sans pour autant donner l'impression d'être inaccessible et trop éloigné de ceux que tu gouvernes. Le juste discernement et le juste milieu sont encore les meilleures attitudes.

- La bonne gestion des deniers publics repose sur le principe de l'équilibre des comptes entre les recettes et les dépenses. Que la charge des recettes n'écrase pas sous un poids excessif les plus pauvres, et que les dépenses ne soient pas utilisées pour enrichir les indignes.

- Que la justice soit rendue non pas selon l'état de richesse ou de puissance, mais uniquement selon l'état de victime ou de délinquant. Et que ceux qui se sont trouvés faussement accusés et condamnés reçoivent promptement réhabilitation et intégrale réparation.

- Tu veilleras à ce que l'indignité frappe tous ceux qui seront reconnus coupables de corruption.

- Qu'aucune décision ne soit prise par tes ministres si elle n'est pas le résultat d'une bonne information et d'une totale impartialité.

- Que l'enfant, l'adulte ou le vieillard soit parfaitement intégré dans le corps social.

- Que le devoir ne soit jamais occulté par l'intérêt d'un droit, tout comme l'intérêt d'un droit ne doit pas être absent du devoir.

- Que sous ta gouvernance chacun puisse avoir le temps de l'intérêt, du devoir et du plaisir, selon ses mérites.

- Pour être digne de ta tâche, tu devras te garder de l'athéisme, du mensonge, de la colère, de l'orgueil, de l'intempérance, du manque de discernement, notamment celui qui consiste à reconnaître les sages, de la paresse, de la soumission aux cinq sens, de la réflexion solitaire dans les affaires, de la consultation d'incompétents, de la négligence à garder secrète une délibération, de l'omission des voeux et autres paroles fastes, des hommages rendus à ceux qui ne le méritent pas.


Celui qui gouverne selon le devoir, qui exerce la justice et un pouvoir moral sur ceux sur qui il a autorité, ce sage obtient en bonne règle la terre entière et gagne le ciel après avoir quitté ce monde.

vendredi 20 janvier 2012

L'Empire du "Mal" en marche vers le pire...


LA FIN DES ILLUSIONS.

L’Amérique n’est plus l’exemple de la vertu d’un peuple, mais celui du vice et de la corruption de ses dirigeants dévoyés.

Ce n’est plus une démocratie depuis au minimum l’assassinat de Kennedy.

Ce n’est plus un peuple ayant pour principe les Droits de l’Homme et le respect de sa Constitution, depuis l'odieux Patriot act de W. Bush.

Ce n’est plus un peuple libre depuis la loi scélérate NDAA signée en catimini par le clown liberticide d’Obama.

Ce n’est plus le pays de la Liberté, car la liberté n’est possible que s’il y a une justice indépendante et active, ce qui n'est plus le cas pour ce pays.
 

Les dirigeants américains ont multiplié les entorses au droit international, les violations aux droits de l’homme, les zones de non-droits, les meurtres terroristes et/ou la torture que ce soit par des officines mafieuses privées, militaires et autre barbouzeries à la solde d’une soldatesque crapuleuse heureuse de faire joujou avec ses drones prédators sur les populations civiles innocentes.

Ce n’est plus un exemple de moralité, car elle a,  depuis la prise de contrôle de sa technostructure par le complexe militaro-industriel, sombré dans la tyrannie, la dictature, le totalitarisme et le fascisme.

Ce n’est plus un modèle de vertu démocratique, car elle a perverti, par la corruption, le lobbying et la débauche financière, toutes les consultations électorales par lesquelles le peuple pouvait exprimer sa souveraineté, sans compter les magouilles de comptages des bulletins de vote...

Ce n’est plus un exemple social, car elle maltraite la majorité de sa population à laquelle elle impose des conditions de vie de plus en plus rétrogrades, avilissantes et inhumaines, au profit d’une élite gavée de privilèges et de passes de droit...

Ce n’est plus une espérance pour les peuples opprimés, car elle est devenue l’archétype de l’impérialisme égoïste, asservissant, dominateur, arrogant et méprisant.

L’Amérique n’est plus un rêve, mais le cauchemar de l’humanité, tant par la violence qui est son crédo, que par les pollutions qu'elle génère par sa cupidité, ou son intolérance issue de son patriotisme dogmatique et fallacieux.

Les citoyens de l'actuel peuple américain, ne sont que les rejetons dégénérés de leurs courageux et illustres ancêtres ; les héritiers ingrats - gavés comme des pourceaux en bauge -, ignorants, incultes, sectaires et qui sont devenus, lorsqu’ils se baladent en tenue militaire style RoboCop, les pires prédateurs que l’espèce humaine aura été capable de produire.

L’Amérique a perdu son âme, sa conscience et ce qui faisait son prestige et son rayonnement en sacrifiant son esprit de justice, la défense des Droits de l'Homme, et la Liberté, sur l'autel des intérêts obscurs et médiocres d'une caste satanique.

Enfants des générations montantes de l'humanité, ne vous laissez pas berner par l’insidieuse propagande de cet État fasciste. L’Amérique telle qu’elle est devenue aujourd’hui, est appelée à disparaître. C'est uniquement un fléau que nôtre civilisation doit apprendre à surmonter pour sauver son âme.

Peuple américain, dont les ancêtres vous ont légué tant de valeurs morales et de vertus civilisatrices, réveillez-vous, on vous a volé vos espérances et votre rêve ne soyez plus ni les complices, ni les collaborateurs serviles de vos tortionnaires et de vos bourreaux.

Sinon, l'Histoire vous jugera, et elle le fera aussi sévèrement que ce qu'elle a fait pour la triste expérience du Nazisme...

jeudi 12 janvier 2012

Extension du domaine de la lutte sociale

Les Gaulois sont de tout temps un peuple qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui refuse l'asservissement. C'est quand même nous les créateurs des Droits de l'Homme et du Citoyen, bordel!

Le prix de l’immobilier est devenu si élevé que les classes moyennes et les plus pauvres des citoyens de ce pays sont obligés d’aller se loger, de plus en plus loin, à la périphérie des grandes villes et des concentrations industrielles et administratives.

Les conséquences les plus pénalisantes de cette accessibilité de plus en plus difficile au logement sont d’une part, un temps de trajet de plus en plus long et d’autre part, un coût de transport sans cesse croissant.

Transports qui se trouvent multipliés par les différentes formes de concentration comme les services publics, les écoles, les moyens d’approvisionnement (supermarchés, carburant), ce qui oblige une immense majorité de familles à devoir disposer d’un ou de plusieurs véhicules, et de consacrer une part du budget familial sans cesse en augmentation, au carburant, dont chacun sait qu’il est composé de 56 % de taxes.

Par ce processus de concentration urbaine et l’obligation de mobilité imposée à tous ceux qui n’ont pas les moyens de se rapprocher des lieux de vie et de travail, le système impose à un nombre considérable de citoyennes et de citoyens la servitude du temps consacré à aller sur son lieu de travail, temps qui bien qu’imposé par les dirigeants politiques en complicité avec le grand patronat et hélas ! les syndicats corrompus de ce pays, constitue en réalité une part importante du temps de travail, mais qui n’est ni indemnisé ni, comme cela devrait l’être normalement, rétribué comme faisant partie intégrante du travail. Lorsque chacun d’entre nous achète un bien ou un service, dans le prix de revient il est toujours inclus, outre le prix de base des matières premières ou des temps consacrés au service vendu, les frais annexes comme les différents transports, carburants, temps des prestataires de services, assurances, locaux taxes et charges diverses.

Mais dans ces prix de revient des biens et des services il n’est pas inclus le temps considérable que chaque travailleur consacre à se rendre et à revenir de son travail...

Ce temps-là, est du temps d’esclave qui non seulement n’est pas rémunéré, comme il serait légitime que cela soit, mais qui impose à chacun de lourdes charges, tant en frais de transport en commun, qu’en véhicules (achat et entretien), assurances, carburants, P.V de toute nature, sans compter les risques que cela fait peser sur le salarié tant en matière d’accidents possibles, que de retrait intempestif de permis de conduire.

L’entreprise y trouve son compte, pas besoin de faire un dessin. Si le temps d’esclavage devait être rémunéré, les profits de ces conglomérats financiers et industriels seraient sensiblement entamés ; les banques perdraient une partie de ce qui sert à leurs folles spéculations, les dirigeants politiques corrompus une partie de leurs soutiens financiers occultes, et les syndicats ce qui fait leur aisance financière et les généreuses magouilles entre petits copains du même clan...

Grâce à ce système, l’État y trouve grassement son compte. Non seulement il taxe outrageusement le carburant qu’il vous oblige à utiliser, mais aussi les véhicules que vous achetez, les assurances, les réparations, les places de parkings, les autoroutes que vous devez utiliser, les amendes qu’il vous balance à la moindre occasion possible que ce soit par les aubergines ou les radars...

Au fil du temps, les frais fixes que représentent pour un ménage, tant pour le logement (indispensable) que ce qui est à considérer comme un dommage collatéral à une politique spéculative du logement que sont les durées de transport et les frais directs et indirects de celui-ci, font que les salaires, qui n’augmentent plus véritablement selon le coût réel des prix (et non selon un indice officiel bidon et falsifié) sont de plus plus insuffisants pour faire face aux charges essentielles de la vie.

La France est un des pays ayant le plus fort taux de prélèvements obligatoires (54 % de la richesse nationale), mais les salariés sont aussi ceux qui, après déduction des prélèvements obligatoires, ont un salaire net parmi les plus faibles. Et de ce salaire il n’est pas déduit les frais de transports...

Pendant ce temps les syndicats, qui parlent beaucoup et ne font pas grand-chose, laissent l’État et le patronat réduire les pensions de retraite, réduire les salaires par le biais des prélèvements obligatoires. Ces syndicats si peu soucieux de l’intérêt général, qui passe maintenant bien après leurs intérêts corporatistes, ne se préoccupent absolument pas de ce temps de transport sans cesse croissant que le salarié se trouve dans l’obligation de mettre gratuitement à la disposition de son entreprise, ni l'augmentation croissante des frais qui viennent essentiellement alimenter les caisses de l'État…

Il est politiquement intéressant d'augmenter les temps de trajet pour aller au travail, car pendant ce temps l'individu subit un état d'asservissement maximum, et ses facultés intellectuelles sont concentrées sur le stress de ses obligations à respecter des horaires imposés. Il est utile de faire en sorte que les citoyens soient pris sans cesse par le temps. Ce manque de disponibilité est autant de possibilités d'exercer ses "libertés" qui lui sont retirées.

Économiquement, le servage d'une disponibilité, par des déplacements géographiques non rétribués, offre aux entreprises un large réservoir de main-d'oeuvre, sans avoir à se préoccuper ni de son coût logistique ni des infrastructures nécessaires à l'utilisation de celle-ci (logements, crèches, logistique de transport à la charge de la collectivité).

Ne serait-il pas venu le temps d'une légitime revendication qui consisterait à exiger que le temps de transport soit considéré comme un temps de travail, et donc normalement rémunéré par l'entreprise, ainsi que la prise en charge intégrale des frais occasionnés par ce transport imposé. Un chef d'entreprise, lorsqu'il se déplace tant pour aller à son travail que pour exercer son activité, apporte ses notes de frais qu'il se fait intégralement rembourser. Un politicien aussi, ainsi que le chef de l'Etat…

La satisfaction de cette légitime revendication aurait plusieurs effets bénéfiques.

1°) L'entreprise serait obligée, compte tenu du coût, de recruter ses salariés résidant au plus près de son lieu d'exploitation.

2°) Si elle ne trouve pas les compétences qui lui sont utiles, elle devra soit faire un effort de formation local pour les avoir, soit se délocaliser en partie sur le territoire national pour se rapprocher des salariés dont elle a besoin.

3°) Ce rapprochement géographique éviterait les effets nocifs de l'hyperconcentration urbaine avec les désagréments de la spéculation immobilière, de la pollution, de la déshumanisation et de la paupérisation des travailleurs.

4°) Cela éviterait d'abrutir et de stresser inutilement les salariés par des temps de transport trop longs, fatigants et contre productifs avec les risques de démotivation, ainsi que la multiplication des suicides à caractère professionnel.

5°) Cela obligerait l'État à revoir ses politiques d'investissement et d'aménagement du territoire, pour les rendre plus compatibles avec les besoins citoyens et humains et pas seulement avec les grands intérêts économiques et financiers.

6°) Dès lors où le temps de transport sera considéré comme un temps de travail, il est évident que l'entreprise cherchera à minimiser ce temps de transport, pour le remplacer par un travail directement utile à ses nécessités et son développement. Dans cette situation, l'entreprise ne pourra plus rester indifférente aux conditions d'hébergement que son environnement géographique pourrait offrir à ses salariés. Par le passé, un certain nombre d'entreprises qui se voulaient sociales, avaient pour première préoccupation le logement décent de leurs salariés. Il est dommage que les syndicats aient oublié cette préoccupation éminemment sociale et humaine au point de voir aujourd'hui des salariés SDF...

7°) Si un salarié n'est pas obligé de passer trois heures par jour dans le transport, il n'hésitera pas à travailler une heure de plus pour son entreprise. Lui sera gagnant, l'entreprise aussi…

Alors, si l'augmentation du salaire est une légitime revendication, à quoi sert-il d'obtenir des augmentations de 2 à 3 %, si dans le même temps les frais de logement et de transport augmentent de 8 à 10% ?

En illustration de cet article, je vous invite à regarder cette petite vidéo :