vendredi 26 décembre 2008

Lorsque le manque de vertu devient mortel.



Mort pour cause de Vanité, d’arrogance et de moralité douteuse


Ilyes, un petit garçon de trois ans est mort accidentellement à l’hôpital Saint-Vincent de Paul à Paris. Le père raconte devant les médias comment, et avec quel mépris, il a été traité au lieu de bénéficier de l’assistance du personnel hospitalier.

L’absence de personnel disponible auprès des patients, et lorsque se dernier se manifeste c’est pour faire preuve de la plus grande arrogance et de la plus insupportable vanité, affirmant péremptoirement, comme le rapporte ce père : Arrêtez de vous affoler Monsieur, votre fils n’a rien !

Effectivement, il n’avait rien, il était simplement en train de mourir dans les bras de son père à cause de la négligence irresponsable des infirmiers.

Le drame affreux que subit ce père, se trouve d’autant plus aggravé qu’il est en droit de se demander si à la place d’avoir à faire à du personnel hospitalier incompétent et désinvolte, il avait eu à faire à des individus ayant pour minium de moralité un soupçon de conscience professionnelle, son fils n’aurait pas Pu être sauver de l’erreur et de la maladresse d’un membre de ces services dont la base déontologique est, bien qu’ils en aient longtemps perdu le sens : NE PAS NUIRE.

Les services politiques du ministère de la Santé, aura pour préoccupation, comme ils sont coutumiers du fait, de faire dans les jours qui viennent, une habile propagande pour laisser croire qu’il s’agit là d’un horrible accident, comme il s’en produit rarement, et qu’il y a en toute activité humaine une part de risque imprévisible... Que des enquêtes et des dispositions seront prises pour qu’un tel accident ne puisse se reproduire... Et que la douleur des parents ne doit pas occulter le travail merveilleux des personnels de santé en milieu hospitalier, et blablabla, et blablabla, les rengaines qui servent à l’identique en chaque occasion semblable...

Je me souviens d’une expérience vécue par l’une de mes proches qui, se tordant de douleur à cause d’un problème gastrique, fût emmenées aux services des urgences de Rangueil près de Toulouse, après quelques heures passées sur un chariot sans le moindre soin, en attente d’examens, toujours dans les mêmes souffrances ; après que les examens furent effectués, le médecin urgentiste vient dire à cette personne toujours sans soins et dans sa souffrance : Mme après résultats des différents examens, vous n’avez rien, vous pouvez rentrer chez vous !

Lorsque, à la suite de cette sortie, elle s’est rendue chez son médecin traitant, ce dernier a été effondré devant l’incompétence absolument irresponsable de ce médecin (et de la clique du personnel de ce service d’urgence de cet hôpital) qui n’a pas été capable de diagnostiquer, ce qui est apparu immédiatement aux yeux de ce praticien compétent, comme les conséquences d’une hernie hiatale, avec ses crises très douloureuses, auxquels il est possible, sans grande difficulté, de porter remède.

Ceci pour dire qu’en vérité la corruption qui sévit dans l’administration hospitalière est autrement plus répandue que ne veulent bien le laisser paraître les interventions politiques si promptes à ne pas froisser les syndicats et leur pouvoir de nuisance. Le personnel hospitalier, imbu de ses privilèges et de pratiques dévoyées, est par son absence de moralité, plus souvent qu’il serait naturellement souhaitable, à l’origine de négligences coupables, et de comportement vaniteux et occultant tout esprit de conscience professionnelle... Comme le disait en son temps le bon Dr. Rabelais : Science sans Conscience n’est que ruine de l’âme.

Sans qu’il soit nécessaire de revenir sur l’épouvantable hérésie dogmatique de notre célèbre Dr. Kouchner, qui, lorsqu’il était ministre de la Santé, a été à l’origine de cette calamiteuse campagne de vaccination contre l’hépatite B, qualifiée par lui, comme n’ayant aucun effet secondaire dangereux, en négation des nombreux problèmes qui pourtant étaient portés à sa connaissance, je n’évoquerai, pour démontrer qu’il ne s’agit pas d’un accident occasionnel, mais bel et bien de ce qui devient la règle au sein de nos hôpitaux, les plus de 4000 morts par an dans ces services de fonctionnaires irresponsables, qui sont directement imputables à leurs négligences, incompétences notamment en matière d’hygiène élémentaire, et à la suffisante arrogance de prétendus personnels qualifiés...

La moralité implique un minimum d’humilité, et force est de constater que ce n’est jamais là une qualité qui se cultive parmi les membres de la fonction publique... Il y a plus de chance aujourd’hui d’être victimes des méfaits de ce personnel hospitalier, que d’en recevoir les soins et les secours salvateurs, comme ce serait pourtant ce que l’usager, qui en assure la très lourde charge financière pour honorer un nombre incroyable de privilèges, serait en droit d’attendre...

Lorsque vous allez dans un hôpital, habituez-vous à prendre conscience que vous êtes au service du personnel de celui-ci, et non l’inverse, toute l’incompréhension du public, et sa légitime colère, vient de cette inversion artificielle des valeurs...

L’ancienne Union Soviétique nous a pourtant démontré que lorsque le pouvoir est délégué à des fonctionnaires, cela finit toujours par la pire des corruptions, et par un état d’incompétence inégalable.

Citoyens de ce pays, faites-vous à l’idée que vous ne mourrez ni de vieillesse, ni à cause d’une maladie qui vous sera propre, mais à cause de la corruption et de l’immoralité politique, qui, comme un redoutable venin, s’est rependu, dans tout le corps social, en passant en priorité par les fonctionnaires, ces agents serviles et sans conscience d’une technostructure gangrénée par les privilèges indus...

Je terminerai par cette citation faite par Mirabeau lors des débats précédents l’adoption de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« Si la loi de responsabilité ne s’étendait pas sur tous les agents subalternes du despotisme, si elle n’existait pas surtout parmi nous, il n’y aurait pas de nations sur la terre plus faite que nous pour l’esclavage. Il n’y en a pas qui ait été plus insultée, plus oppressée par le despotisme.

Jusqu’en 1705 il existait une loi salutaire que tout détenu devait être interrogé dans les vingt-quatre heures de sa détention. En 1765 elle a été abolie. Un monceau de lettres de cachet a précipité une foule de citoyens dans les cachots de la Bastille.

Je le répète : notre liberté exige la responsabilité de toute la hiérarchie des mandataires. Tout subalterne est responsable, et vous ne serez jamais que des esclaves si, depuis le premier vizir jusqu’au dernier sbire, la responsabilité n’est pas établie. »

Faut-il que ceux qui nous ont gouvernés, et qui nous gouvernent, soient à ce point ignorants et/ou corrompus pour avoir méconnu ces principes élémentaires de moralité publique!




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lundi 15 décembre 2008

Le malheur des peuples.


La mondialisation une carambouille absolue.

Après les grandiloquentes théories des prétendus spécialistes de la finance, des pseudo-experts des instruments modernes de la gestion de trésorerie, des grands Mamamouchies de la spéculation mathématique des effets de levier, et celles des Mandarins de la banque apatride ne jurant que sur la bible du commerce international et de la mondialisation, nous découvrons depuis quelque mois les réalités nauséabondes qui se cachaient derrières les flamboyantes et luxueuses apparences vaniteuses en diable...

Non seulement c'est prétentieux et arrogants grands argentiers de la planète n'étaient pas aussi compétents qu'ils le déclamaient péremptoirement, mais en vérité ils se révèlent d'une moralité si douteuse que le terme même de corrompu risque de paraître passablement complaisant.

L'archétype de cette corruption magistrale se trouve caractérisé par cette dernière révélation de l'affaire à 50 milliards de dollars et qui porte le nom de son escroc : Bernard Madoff.

Ce grand nom de la finance internationale, ex-président du conseil d'administration du Nasdaq n'était qu'un vulgaire escroc de cul-de-basse-fosse qui promettait du vent et des illusions, en ayant pris soin, pour parvenir à ce niveau monumental d'escroquerie, de corrompre toute une chaîne d'individus allant des fonctionnaires plus ou moins vénaux de la S.E.C, aux politiciens de tous les bords, en passant probablement par de nombreux journalistes plus préoccuper des avantages que leur procure la proximité d'avec les puissants de cette organisation maffieuse, que le respect des règles de vertus ou d"éthique professionnelle.

On va maintenant essayer de vous faire croire que ce triste personnage était en vérité le vilain mouton noir d'une bergerie pourtant au-dessus de tous soupçons... La réalité la plus objective telle qu'elle apparaît dans sa cruelle évidence est que : dans cette bergerie de la finance internationale, de la mondialisation et de la banque, il n'y a que des moutons noirs, car il ne peut pas en être autrement compte tenu de l'état généralisé de corruption des gouvernements.

Commençons par ceux qui devraient être les fameux gardiens de cette morale et de la justice, qui depuis la Déclaration des Droits de l'Homme, ne se conçoit pas autrement que sous la forme du DROIT COMMUN. Ces personnes ne sont rien d'autre que les hommes et les femmes politiques qui font les lois et les font appliquer. Ici nous avons la plus implacable définition de ce redoutable adjectif qu'est le mot corrompu.

Depuis maintenant des siècles "Politicien" et "corrompu" vogue de concert, certains membres de cette catégorie de population, avec parfois des accents shakespeariens singeant l'honnêteté outragée, tentent de se révolter contre cet opprobre qu'ils considèrent comme injuste et diffamatoire. Ce n'est là que la conséquence d'une grande ignorance de leur part, ou ce qui est hélas plus souvent le cas, d'un comportement parfaitement hypocrite qui consiste, dans la droite ligne de n'importe quelle campagne électorale, de faire prendre des vessies pour des lanternes à ces benêts d'électeurs contribuables à merci.

Alors, pour que ce soit une fois pour toutes bien clair, je précise que sont corrompues toutes technostructures, et les membres qui la composent et surtout qui la gouvernent, qui ne respectent pas les propres règles qu'elles édictent. A l'aune de ce principe simple et difficilement contestable, les Politiciens d'aujourd'hui, autant, sinon plus, que ceux d'hier sont parfaitement et totalement corrompus.

Comment une affaire aussi invraisemblable que cette carambouille de 50 milliards de dollars aurait-elle pu exister sur plusieurs décennies sans cette corruption généralisée des élites de tous bords ?... Lorsque la corruption est si constante et si répandue qu'elle en devient la norme, comment faire preuve d'éthique et de vertus sans passer pour un vilain petit canard ?...

En France l'affaire Kerviel, qui n'est lui-même que la victime expiatoire d'un monstrueux système, est aussi le révélateur de cet état de corruption du système financier, dont le Crédit Lyonnais n'était qu'un évènement précurseur. Crédit Lyonnais qui n'a pu exister que parce que les élites de la technostructure, et de la politique, à l'origine totalement corrompues, ont été les maîtres d'oeuvre des champs qui ont rendus cette affaire possible.

Croire que ce qui se passe dans l'univers glauque de la finance se trouve déconnecté de la sphère politique, c'est tout simplement ramener sa faculté de discernement à l'état de fossilisation absolue. Les responsables politiques savent parfaitement ce qui s'y passe depuis des années, ils savent aussi parfaitement en tirer les profits politiques, électoraux, et personnels, sachant qu'au bout du compte ce sera toujours cet abruti de contribuable qui paiera, d'une façon ou d'une autre, la note finale.

Aux Etats-Unis, la F.E.D. qui agit depuis fort longtemps, malgré une soi-disant indépendance, en parfaite harmonie avec la technostructure politique, est l'instigatrice et le maître d'oeuvre de cette corruption généralisé. La distribution d'argent facile, et l'encouragement à la spéculation la plus échevelée sont sa marque et sa responsabilité. Elle connaît, comme d'ailleurs dans tous les pays du monde où s'est répandu ce mode de fonctionnement démocratique, tous les acteurs du système, avec leurs qualités, lorsqu'il y en a, et surtout leurs défauts... Ainsi, il n'est pas difficile de comprendre qu'on ne peut pas refuser grand-chose à un politicien lorsque ce dernier vous tient par les gonades de la corruption. Depuis belle lurette, les règlements ne permettent plus aux politiciens, sauf à être publiquement catalogué comme véreux, de prendre directement dans la caisse commune, ce qui n'empêche pas d'habiles mécanismes de transferts invisibles, aux yeux peu clairvoyants des électeurs, du rachat des pertes du système financier privé par l'argent public des contribuables, au nom du grandiloquent sauvetage de l'épargne populaire, en contrepartie de renvois obligés d'ascenseur lorsqu'il y aura nécessité à le faire... Moyennant quoi, le politicien, comme le banquier véreux, peut se draper dans sa toge de notabilité respectable sachant fort bien que le vice ne peut durablement occuper le pouvoir que s'il se travestit, même grossièrement, en vertu. Compte tenu de l'état de déliquescence mondial, le travesti ressemble de plus en plus à une drag queen...

Personnellement, compte tenu de ce que coûte les turpitudes indélicates de nos fringants banquiers, je trouverai parfaitement moral de les obliger à financer intégralement les besoins des restos du coeur jusqu'à la fin de la crise économique dont ils sont les responsables les plus directs. Un principe du droit Civil impose à l'auteur d'un préjudice d'effectuer la complète réparation envers la personne qui se trouve être sa victime.

Certains naïfs à la vue aussi courte que leurs idées, diront : soit ! La finance internationale est aussi corrompue que les pires réseaux maffieux, mais rien n'est perdu, il suffit de remettre de l'ordre dans le système... Un peu comme ceux qui prétendaient, il n'y a pas si longtemps, que le communisme était un bon système, mais qu'il avait simplement été dévoyé par les individus qui s'en réclamaient... Hélas, trois fois hélas, il en a été de même du Christianisme, du nazisme et de toutes les grandes organisations qui portent en leur sein le germe même de cette corruption généralisée.

La corruption de la finance, n'est pas un accident de parcours, c'est simplement le fruit d'un système qui à pour base, ce que des foules politiquement et culturellement incultes, considèrent comme une panacée, je veux parler de la Démocratie. La Grèce que l'on présente comme la Mère porteuse de cette Démocratie, nous donne pourtant une leçon d'histoire qu'il conviendrait de ne pas oublier si nous ne voulons pas être condamnés à la revivre douloureusement.

Dès son origine la Démocratie Grecque à eu pour conséquence le développement du capitalisme, le transfert du pouvoir à une ploutocratie qui se transforme invariablement en Dictature... Car rien n'est plus pénible à une ploutocratie que de voir ses intérêts financiers se heurter à la justice, la morale et l'éthique de la volonté populaire.

Le meilleur moyen de contourner le problème est donc de faire en sorte qu'une technostructure, rapidement inféodée à la divinité monétaire, fasse des lois pour le petit peuple, applicables avec bien évidemment la plus grande sévérité, tout en permettant à une oligarchie d'avoir le privilège de pouvoir s'en exonérer... Ceci n'étant que le retour aux principes de l'ancien régime monarchique, et parfaitement en violation de l'esprit même des lois de la République qui est contenu dans la Déclaration des Droits de l'homme de 1789.

En violant quotidiennement cette Déclaration des Droits de l'homme, dans ses principes fondamentaux, la technostructure caractérise sa corruption, et, comme le dit si bien le préambule de cette Déclaration :

considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des
malheurs publics et de la corruption des gouvernements.

La faillite de la mondialisation financière n'est que la conséquence de la corruption des gouvernements.



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dimanche 30 novembre 2008

Science sans conscience n'est que ruine de l'âme.

Le syndrome chinois.

http://fr.wikipedia.org/wiki/EAN_13 et http://www.log-1.com/fr/Barres/Barcodes/EAN13Countries.html


Mélamine : cadeaux de Chine

Être au courant est une bonne chose, des pays tuent par avarice et frappent partout.

Veuillez lire jusqu'à la fin, de façon à pouvoir savoir comment identifier les produits qui nous ont été envoyés par la Chine…


MÉLAMINE (La dernière partie nous concerne tous aux États-Unis et au Canada)
Les incidents du lait chinois contaminé a effrayé tout le monde au point de regarder les rapports de nouvelles quotidiennement. Tous les jours, les rapports changent. Personne peut nous dire clairement quoi manger et ne pas manger..

1.Qu'est-ce que du lait contaminé?

C'est le lait en poudre mélangé avec de la 'MÉLAMINE'
A quoi la Mélamine est-elle utilisée? C'est un produit chimique industriel utilisé dans la production des contenants de plastique.


C'est aussi utilisé en décoration intérieure. ' Panneau américains résistant'

Comprenez-vous? La Mélamine est utilisée en production industrielle et ne peut pas être mangée.

2.Pourquoi la Mélamine ajoutée au lait en poudre?

L'élément le plus important dans le lait est la protéine. Et la Mélamine a la même protéine qui contient de ''L'AZOTE”

Ajouter de la Mélamine dans le lait réduit le volume du lait et ça coûte moins cher que le lait donc ça diminue la capitalisation. Ça peut donner plus de profit aux commerces!

Dessous est la Mélamine; ne ressemble-t-elle pas au lait?
Elle n'a pas de senteur, ne peut pas être détectée.

3. Quand a-t-elle été découverte?

En 2007, aux États-Unis, des chats et des chiens sont morts soudainement, on a découvert que la nourriture pour les animaux de la Chine contenait de la Mélamine.

En 2008, en Chine ,a commencé une croissance anormale de cas de mort d'enfants avec des pierres sur les reins.

Août 2008, le lait en poudre de la Chine Sanlu Milk Powder a été testé contenant de la Mélamine

Sept. 2008, Le gouvernement de la Nouvelle-Zélande demande à la Chine de vérifier ce problème
Sept. 21, 2008, pertes de produits alimentaires en Taiwan testé avec de la Mélamine

4.Qu'est-ce qui arrive quand la Mélamine est digérée?

La Mélamine demeure à l'intérieur du rein. Elle se transforme en pierre qui bloque les tubes.
La douleur sera éminente et la personne ne peut pas uriner. Le rein enflera.

Ci-après : les pierres du rein dans les parties mineures et majeures de l'enveloppe du rein et l'autre image nous montre la pierre dans l'urète

Même la chirurgie ne peut pas enlever ses pierres, ce qui causera des dommages irréversibles au rein.
Ça peut mener à la perte de la fonction du rein et nécessitera la dialyse qui mènera à la mort à cause du taux d'urée dans le sang.

Qu'est-ce que la dialyse?
En fait, ça devrait être appelé 'nettoyage du sang' ça filtre tout le sang du corps dans la machine et puis retourne dans le corps.

Tout le processus prends 4 heures et il est nécessaire de faire la dialyse une fois tous les 3 jours pour le reste de notre vie.Voici un centre de la dialyse

Grand centre de la dialyse

Un petit trou dans le bras est nécessaire pour insérer le cathéter de la dialyse.

Pourquoi est-ce plus sérieux pour les bébés? Parce que le rein du bébé est très petit et ils boivent beaucoup de lait en poudre.

Voici un bébé sous la dialyse.

La Chine a couramment 13,000 enfants hospitalisés

Ça n'a pas d'importance la quantité de Mélamine que le humain a pris. Le point important est que 'Ça ne peut pas être mangé!

'5.Quelle est la nourriture à éviter?

La nourriture qui contient des produits laitiers devraient être évitée.

Souvenez-vous: Les nourritures avec crème ou lait devraient être évitées.

6.Quelles compagnies sont affectées?
Voici les compagnies affectées avec la Mélamine.

7.Que faire ensuite?

Évitez les nourritures ci-haut pour environ six mois.

Si vous avez des snack bar, restaurants ou coffee shops, arrêtez la vente des produits laitiers pendant six mois.
Si vous avez des enfants à la maison, changez pour le lait maternel ou trouvez d'autres substituts.

Finallement, partagez cette information avec vos amis (es) pour leur faire comprendre le risque du lait contaminé.

Tout le monde a peur des produits faits en Chine. Pouvez-vous différencier lequel est fait aux USA , Philippines , Taiwan ou Chine? Laissez-moi vous dire comment faire… les 3 premiers chiffres sur la barre de code est le code du pays où le produit a été fait. Exemple, tous les codes qui commencent 690.691.692 jusqu'à 695 SONT TOUS FAIT EN CHINE.
Le chiffre 471 SONT FAITS EN Taiwan


C'est notre droit de savoir, mais le gouvernement et les services associés ne renseignent jamais le public, par conséquent, nous devons nous protéger par nous-mêmes.De nos jours, les hommes d'affaires Chinois savent que les consommateurs ne préfèrent pas les produits 'faits en chine', donc, ils ne montrent pas dans quel pays c'est fait.Cependant, vous pouvez maintenant vous référer au code, rappelez-vous des 3 premiers chiffres 690-695 qui veut dire Fait en Chine.


00 ~ 13 USA & CANADA
30 ~ 37 FRANCE
40 ~ 44 GERMANY
49 ~ JAPAN
50 ~ UK
57 ~ Denmark
64 ~ Finland
76 ~ Switzerland and Lienchtenstein
628 ~ Saudi-Arabien
629 ~ United Arab Emirates
740 ~ 745 - Central America
Tous les codes 480 sont Faits aux Philippines.


Veuillez informer votre famille et vos amis (es) d'être prudents.



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vendredi 21 novembre 2008

L'éthique et la morale de la Providence


« La vie n’est qu’une ombre qui passe, un pauvre acteur qui se pavane et s’agite durant son heure sur la scène et qu’ensuite on n’entend plus. C’est une histoire dite par un idiot, pleine de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien. »
William Shakespeare

Tout le monde, enfin ceux qui possèdent encore une once de bon sens, se demande d’où provient les centaines, voire les milliers de milliards, de dollars, d’euros, de yuans, de roubles ou de yens que les états, en étroite coordination comme se plaisent à le dire les paons de la scène médiatique, déversent dans les structures financières, banques, assureurs, organismes de prêts hypothécaires et pays en situation de faillite...

Une autre question que tout le monde ne se pose pas, et c’est bien dommage, est : à quoi sert ce flot de financement déversé dans ce qui risque d’apparaître historiquement, comme le plus grand des tonneaux des Danaïdes ?...

Car, et c’est là un point qui mérite toute notre attention, lorsque des capitaux sont investis dans des travaux d’équipement, de modernisation ou de restauration, il entraînent une chaîne d’activités qui finit par produire plus de richesses qu’elle n’en utilise, en offrant au passage l’opportunité à des millions d’individus de trouver un emploi, une rémunération et un rang social actif et digne.

Hélas pour nous, malgré les beaux discours rassurants, péremptoires et prétendument éclairés, les capitaux qui s’engouffrent dans ce puits sans fond de la folie financière n’ont pas pour but de constituer des investissements à venir, mais de combler des pertes abyssales existantes dont la multiplication, - cadeau de la mondialisation diabolique -, est assimilable par ceux qui sont véritablement au fait des réalités non médiatiques, à ce qu’en astronomie on appelle un monstrueux TROU NOIR.

Bon, et alors, diront les fronts bas et les sans cervelle, en quoi cela nous concerne directement ?... Ce à quoi je me permets de répondre derechef, que cela nous concerne tous directement de la façon suivante : lorsque nos fringants dirigeants nous parlent des milliasses de milliards qu’ils injectent dans les circuits financiers pour relancer l’économie, comme à leur habitude ils nous racontent des bobards de la plus grossière facture. Il ne s’agit plus ici d’investissement, mais de comblement d’un gigantesque passif constitué par des années d’égarement collectif, pour rester aimable envers les irresponsables de cette catastrophe, sinon il me faudrait parler du plus grand holdup que puisse imaginer le plus démentiel réseau maffieux de la planète, celui de la mondialisation des profits et de la fiscalisation des pertes.

Les milliers de milliards injectés ne produiront donc pas les richesses que nous font miroiter ceux qui disposent sur la planète de l’argent des contribuables. Ils ont déjà durablement ruiné un grand nombre d’individus, ayant par ailleurs péniblement et au prix d’une vie de labeur, accumuler quelques biens servant ou en prévision d’une retraite ou de l'éducation de leurs enfants. La crise économique qui s’avance, lentement, régulièrement, tel un tsunami puissamment dévastateur, va mettre sur le carreau du chômage et de la pire des précarités, des millions de personnes, tant dans les pays qui se croyaient riches, que dans les pays pauvres. Les milliards investis ne sont pas pour eux, et ne seront jamais pour eux, ils ont d’ors et déjà complètement été engloutis par le TROU NOIR du casse non pas du siècle, mais de l’humanité depuis ses origines.

À la première question : d’où vient l’argent ? La réponse est : de vos impôts futurs, c’est-à-dire de l’état de servage qui va se développer en multipliant le nombre d’individus ayant un travail, mais n’ayant plus les moyens d’en vivre dignement. Mais comme une génération ne pourra pas espérer venir à bout de cette faillite frauduleuse, mais éminemment profitable tant financièrement que politiquement, il a été tirer des chèques en blanc sur les générations montantes et à venir...

Avant que ne reprenne l’activité économique selon ses règles naturelles, il faudra passer par la disparition, qui va aller en s’accélérant, de pans entiers du tissu industriel et commercial. L’Amérique a su trouver 3.000 milliards de dollars pour faire la guerre à l’Irak, quelques milliers de dollars pour sauver ses grandes institutions financières, mais cet argent, qu’elle n’avait pas en caisse, elle l’a emprunté aux contribuables, et surtout elle l’a entièrement dilapidé au point de rechigner à injecter 25 milliards de dollars pour sauver son industrie automobile, dont dépendent plus de 2,5 millions de salariés, et qui par ailleurs paye le prix de son arrogance et de son manque d’adaptation à un marché pourtant aisément prévisible, puisque les autres constructeurs s’y sont pliés. L’argument utilisé par la chambre des représentants, pour s’opposer au versement de ce petit pactole, n’est d’ailleurs pas sans fondement, puisqu’il évoque le fait qu’un tel versement ne servirait à rien d'autre, dans l’état actuel de la situation de cette industrie, qu’à boucher des trous amplement creusés, sans offrir la moindre garantie de sauvetage pour l’avenir.

Notons au passage que la pertinence de ce raisonnement me permet de constater que les sommes investis dans le secteur financier, ne serviront pas à produire des richesses futures puisqu’elles sont intégralement englouties pour compenser les produits sans valeurs qui ont phagocyté les capitaux de ce secteur, et que se sont partagés un clan de profiteurs. Non seulement les capitaux injectés ne serviront pas à la restructuration de l’économie mondiale, mais les servitudes fiscales et sociales qui vont peser sur l’ensemble des états participants à la mondialisation, assurent un appauvrissement durable d’une frange de plus en plus importante de la population, et notamment celle de la classe moyenne.

Certains se sont posé la question de savoir s’il était dans la nature d’un blog dédié à la Sapience Hermétique, de « descendre » au niveau des turpitudes les plus basses de l’humanité... Qu’il me soit permis de signaler qu’une sagesse qui ne supporterait pas la mise à l’épreuve des réalités ordinaires et quotidiennes, serait vaine et de peu d’intérêt. Celui qui peut le plus, ne peut jamais s’exonérer de pouvoir le moins sauf à être un imposteur avéré.

Cette précision étant faite, il est donc utile maintenant de se demander ce qui n’a pas marché, dans la catastrophe financière et économique présentement en cours de dévastation mondiale. De fringants orateurs, pseudo-experts d’une finance hasardeuse, ou politiciens prompts à déclamer sur tous les médias complaisants leurs certitudes fallacieuses, invoquent un manque de règlementation et de contrôle du capitalisme... Facilité permettant d’ouvrir la porte à de terribles démagogies liberticides et infiniment sclérosantes. Le communisme a sombré pour cause d’excès de règlementation et de contrôle. Tout comme le New deal sensé d’avoir sauver l’humanité de la crise de 1929, alors que la réalité historiquement démontrée prouve qu’il n’a été qu’un élément aggravant cette crise et retardant sa sortie. Laisser croire que le capitalisme n’avait pas ou peu de règlementation, est une farce de comique troupier, rien de plus. Rien n’est plus règlementé aux États-Unis, comme en Europe, que les marchés financiers, les banques, le commerce, les échanges internationaux. La réalité accablante n’est pas le manque de règlementation, mais le non-respect de ces règles par la multiplication des entorses, passes-droit, et accommodements de toute nature, sans parler des corruptions étatiques.

Ceci nous renvoie aux règles morales, à l’éthique et la droiture de ceux qui sont en charges des responsabilités publiques. Un adage des Tablettes de Thoth, l’Hermès des origines, dit : connaître les lois c’est être libre. Ce qui veut dire qu’il faut connaître les lois pour les respecter, et qu’il n’y a pas de liberté sans le respect des règles qui en permettent l’exercice.

Avoir voulu tricher avec les lois naturelles de respiration de l’économie, qu’elles soient nationales ou internationales, est déjà une des premières et principales violations des principes assurant le bon fonctionnement de cette économie, comme de toutes manifestations naturelles. Depuis l’ancienne Égypte, nous savons que l’activité humaine est conditionnée par les lois de la Nature de laquelle elle dépend. Sept années de vaches grasses sont invariablement suivies par sept années de vaches maigres ; principe à comprendre non pas dans sa forme littérale, mais analogique. Avoir eu la vanité de vouloir s’affranchir de ces cycles, en manipulant les flux financiers, les taux d’intérêt en contradiction avec réalités du marché, n’a pas fait disparaître les cycles naturels, mais les a étouffé pendant un temps, pour finir par les voir resurgir avec une violence décuplée à l’image de ces cours d’eau que nous détournons de leurs écoulements naturels et qui, lors d’un orage ou d’une péripétie climatique, finiront par reprendre avec une violence dévastatrice leur cheminement originel.

Ce qui a manqué à la sphère financière internationale c’est justement la conservation des connaissances antérieurement acquises par l’humanité, et l’éthique d’en respecter les règles. Ce manque d’éthique se retrouve dans la première puissance économique ayant délibérément cassé les tables de la loi, comme je l’ai expliqué lors de précédents articles, notamment en supprimant les contraintes qui donnaient valeur à sa monnaie, ou en modifiant des lois bancaires qui justement avaient été édictées pour ne pas leur permettre de faire ce à quoi nous sommes actuellement confrontés : le CASSE de la civilisation.

La Sapience Hermétique est parfaitement fondée à souligner l’absence d’éthique et de morale, le manque de sagesse des tous les acteurs de ce drame économique qui se traduit déjà par une multitude de drames humains, en espérant que le pire ne soit pas encore à venir, et volontairement occulté aux peuples qui devront en payer la lourde facture.

Une sentence de Lao-Tseu résume les conséquences de deux comportements diamétralement opposés :

En se conformant à la vertu, on devient la vertu.
Mais si on pense au crime, on recueille la honte du crime.

Une pensée juste en vertus trouve son application en haut comme en bas, selon le principe de la Table d'Emeraude et de la Sapience Hermétique.


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vendredi 7 novembre 2008

La Victoire de Barack Obama.



Obama ou l'imposture de la démocratie américaine.


La culture américaine peut très bien se résumer dans le phénomène Disney World. Un parc d'attractions, - et le mot « attraction » est ici révélateur -, dans lequel les apparences reposent sur des mythes, des chimères, des légendes et des contes pour enfants. Mickey est le personnage emblématique de ce mirage auquel s'identifient les enfants, mais aussi les parents qui les accompagnent. Combien de visiteurs de ces parcs sont en vérité capables de discerner l'organisation et les structures, politiques, financières, stratégiques, même militaires et occultes qui se dissimulent volontairement, pour maintenir l'illusion de l'angélisme romantique d'un univers d'inconscience et de débilité émotionnelle ?

Pour la majorité des électeurs américains les principes qui donnent naissances et font fonctionner les parcs d'attractions de la firme Disney, sont à l'image des principes de la société elle-même. Une grande série d'attractions spectaculaire dans un monde ou la quête du bonheur est universellement partagée, et où tout est abondance sans effort, gentillesse et bonhommie, et le mensonge, l'hypocrisie, la malveillance, la manipulation, l'exploitation des faiblesses, la propagande, les abus de pouvoir, la cupidité, la convoitise et toutes autres formes de vices sont des calembredaines.

L'expression de ce syndrome « Disney World» se retrouve dans la grande parade des élections américaines qui durent pendant près de 18 mois, pour l'élection d'un Président pour un mandat d'une durée de 4 ans... Ceci pour dire que cette grande parade est une attraction essentielle et presque permanente...

Les participants à cette grande parade sont bien évidemment convaincus qu'ils en sont les acteurs, les décideurs et les maîtres d'oeuvre. La faculté qu'a l'être humain de s'identifier à une réalité ou une chimère, est parfaitement maîtrisé et exploité par la société Disney pour donner l'illusion que ce monde enchanteur existe, au moins pendant la durée de la visite, et, elle fait tout, pour que cela soit possible, que cette identification soit suffisamment puissante pour durablement influencer un subconscient qui ne demandera qu'à revivre cette ivresse passagère. Croire que ce qu'est capable de maîtriser une société commerciale comme Disney, échapperait aux organisateurs de la grande parade électorale des États-Unis, c'est comme ignorer la puissante organisation qui fait fonctionner un parc d'attractions, pendant qu'on le visite, mais aussi et surtout pendant que personne ne vient y mettre son nez. Ce parc d'attractions, pour délivrer ses rêves, doit exister dans la continuité, bien avant la venue des visiteurs, mais aussi bien après. Le visiteur ne vivant que l'instant présent, auquel on se garde bien de dire et de faire partager les coulisses qui rendent son rêve possible ; et d'ailleurs il ne demande qu'une chose, c'est que rien de réaliste ne vienne perturber son rêve et troubler son ivresse. Celui qui viendrait à le ramener aux perceptions des réalités sordides qui structures son illusion, serait inévitablement considéré comme un empêcheur, un gêneur un trouble-fête. Dans l'univers du mensonge, la vérité est nécessairement antagoniste et le bouc émissaire à tous les ressentiments.

Mais revenons à l'élection de Barack Obama, qualifiée de spectaculaire, porteuse de toutes les espérances, du changement tant attendu, nouvelle virginité qu'espère retrouver un peuple qui se caractérise par tant d'ignorance, de violence, d'inculture, d'injustice, de vanité, d'arrogance et de perversités érigées en principes faussement libérateurs d'une "démocratie" donneuse de leçons.

L'homme est intellectuellement brillant, sympathique, grand orateur, avec un puissant charisme, enfin sur les âmes simplistes, qui sont hélas la légion du plus grand nombre de votants dans les démocraties, et qui plus est, il est noir...

Mais est-ce lui qui va réellement gouverner cette Amérique qui s'affirme le pays le plus puissant de la planète ? Prétention qui à elle seule révèle des ambitions dominatrices et impérialistes en diables ...

En vérité, il suffit de très peu de bon sens et de clairvoyance, pour comprendre l'imposture de l'illusion qui vient une nouvelle fois d'être survendue au peuple américain, mais pire que tout, au reste du monde.

Cette imposture repose sur un constat pourtant simple. Il y a 4 ans nous dit-on, Barack Obama n'était qu'un obscur et jeune politicien sans grande envergure. Peu expérimenté, sans grande connaissance des structures complexes de la puissante organisation qui assure le maintien du bon fonctionnement du parc d'attractions, avant, pendant et après la grande parade électorale. Son parti avait une candidate Hillary Clinton qui peut se prévaloir d'une véritable expérience en matière de gouvernance de l'état, au travers des 8 années de présidence de son mari, ainsi que de son parcours en tant que sénatrice. Parcours qui avait commencé bien avant la première élection de son mari, et qui a forgé des convictions politiques profondes et spécifiques. C'est sur ces points que la structure occulte qui assure le fonctionnement du parc d'attractions a probablement renâclé. Cette personnalité structurée ne peut pas être de nature docile et obéissante, de plus ses réseaux constitués lui procurent certains pouvoirs capables de remettre en cause l'autorité et la toute-puissance de cette structure occulte si confortablement installée aux leviers de commande. Pour obvier aux difficultés que représentait cette candidature, elle a trouvé un candidat talentueux, avec suffisamment peu d'expérience pour le rendre durablement tributaire de l'organisation qui lui donne cette opportunité et cette chance promotionnelle. Barack Obama va pouvoir devenir président de la plus puissante nation du monde en 4 ans, dont deux passées sur les routes d'une redoutable campagne électorale, ce qui ne doit pas laisser beaucoup de temps à la préparation d'un solide programme et d'une stratégie ayant l'envergure correspondant à celle de cette plus grande puissance embourbée dans les marais de ses turpitudes militaires, financières, sociales et culturelles.

Les capitaux nécessaires à sa campagne ont été rapidement trouvés, pas par le candidat lui-même, ce qu'il n'aurait pu faire sans l'appui de l'organisation qui l'a choisi, et pour des montants jamais égalés dans une élection présidentielle.

Aujourd'hui qu'il est élu, le peuple à l'espoir que le changement (forcément en bien) annoncé pendant la propagande électorale va pouvoir commencer... Illusion du parc d'attractions qui ne repose que sur l'agitation d'une marionnette, mais certainement pas sur la personnalité de ceux qui gouvernent véritablement le pays dans sa durée effective, avant pendant et après la grande parade. Le candidat a d'ailleurs été sélectionné sur sa capacité à passer des compromis avec ses adversaires, et ce qu'il convient maintenant d'entendre par adversaire, n'est pas le parti qui vient de perdre ses élections, mais la structure de l'organisation qui l'a fait « roitelet» d'un parc d'attractions.

Selon le principe du spoils system qui se pratique aux États-Unis, le nouveau Président doit, pour pouvoir compter sur la loyauté de son gouvernement, nommer plus de 3.000 personnes pour prendre la tête de l'administration fédérale. Pendant ses 4 années d'ascension politique, dont je le rappelle 2 passées en campagne, comment le nouveau président a-t-il pu avoir sélectionné 3.000 hauts responsables qui seront en mesure de structurer son administration?... La réponse est simple, il n'a pas pu le faire, car cela suppose une très longue expérience, nettement supérieure à 4 années, ou même 10, et cela implique de puissants réseaux au sein de différentes structures de cette organisation puissante et complexe. Probablement que si un homme seul devait choisir 3.000 hauts responsables, il lui faudrait les 4 années de son mandat pour parvenir à un résultat qui resterait superficiel.

Ce simple constat, démontre que cet homme, pour aussi brillant qu'il paraisse, intelligent et sympathique qu'il est, ne changera rigoureusement rien à ce qui est en place ; c'est ce qui est en place qui continuera à faire fonctionner le parc d'attractions, comme elle l'a toujours fait, utilisant un parti ou un autre en fonction du spectacle qu'elle entend donner pour faire, tous les 4 ans, rêver les foules de ce gigantesque Disney World avec son Mickey le plus médiatique.

En supposant que Barack Obama soit un homme politique chevronné, convaincu, sincère, compétent et déterminé à changer les choses, contre la structure occulte qui est à sa tête depuis si longtemps, le seul résultat auquel nous devons nous attendre, est ce qui a déjà eu lieu dans le passé en situation similaire avec les frères Kennedy... Car il est maintenant clairement établi que ces deux hommes politiques ont tenté d'affronter la redoutable structure militaro-industrielle pour essayer de lui reprendre les pouvoirs qu'elle a délibérément usurpée comme le craignait avec une grande clairvoyance, ou parce que de son temps c'était déjà trop tard, le Président Eisenhower dans son dernier discours dont les propos sur le pouvoir illégitime de cette structure sont pourtant sans équivoque :

« Un élément essentiel pour conserver la paix est notre système militaire. Nos bras doivent être puissants, prêts pour une action instantanée, de sorte qu'aucun agresseur potentiel ne puisse être tenté de risquer sa propre destruction. Notre organisation militaire est aujourd'hui sans rapport avec ce que connurent mes prédécesseurs en temps de paix, ou même les combattants de la Deuxième Guerre Mondiale ou de la Guerre de Corée.

Jusqu'au plus récent conflit mondial, les États-Unis n'avaient pas d'industrie d'armement. Les fabricants américains de socs de charrues pouvaient, avec du temps et sur commande, forger des épées. Mais désormais, nous ne pouvons plus risquer l'improvisation dans l'urgence en ce qui concerne notre défense nationale. Nous avons été obligés de créer une industrie d'armement permanente de grande échelle. De plus, trois millions et demi d'hommes et de femmes sont directement impliqués dans la défense en tant qu'institution. Nous dépensons chaque année, rien que pour la sécurité militaire, une somme supérieure au revenu net de la totalité des sociétés US.

Cette conjonction d'une immense institution militaire et d'une grande industrie de l'armement est nouvelle dans l'expérience américaine. Son influence totale, économique, politique, spirituelle même, est ressentie dans chaque ville, dans chaque Parlement d'État, dans chaque bureau du Gouvernement fédéral. Nous reconnaissons le besoin impératif de ce développement. Mais nous ne devons pas manquer de comprendre ses graves implications. Notre labeur, nos ressources, nos gagne-pain… tous sont impliqués ; ainsi en va-t-il de la structure même de notre société.

Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu'elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque potentiel d'une désastreuse ascension d'un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. Nous ne devrions jamais rien prendre pour argent comptant. Seule une communauté de citoyens prompts à la réaction et bien informés pourra imposer un véritable entrelacement de l'énorme machinerie industrielle et militaire de la défense avec nos méthodes et nos buts pacifiques, de telle sorte que sécurité et liberté puissent prospérer ensemble.

De même, la révolution technologique des décennies récentes fut en grande partie responsable des changements radicaux de notre position militaro-industrielle. Dans cette révolution, la recherche est devenue centrale, elle est également plus formalisée, plus complexe, et coûteuse. Une part toujours croissante en est conduite pour, par, ou sous la direction du Gouvernement fédéral.

Aujourd'hui, l'inventeur solitaire, bricolant au fond de sa boutique, a été dépassé par des troupes de choc formées de scientifiques dans les laboratoires et des centres d'essai. De la même manière, l'université libre, historiquement source d'idées et de découvertes scientifiques nées dans la liberté, a vécu une révolution dans la conduite de la recherche. En bonne partie à cause des coûts énormes impliqués, obtenir un contrat avec le gouvernement devient quasiment un substitut à la curiosité intellectuelle. Pour chaque vieux tableau noir, il y a maintenant des centaines d'ordinateurs. La perspective d'une domination des spécialistes de notre nation par les emplois fédéraux, les budgets attribués aux projets et le pouvoir de l'argent, [cette perspective] est bien présente et doit être considérée avec gravité.

Cependant, tout en apportant à la recherche et scientifique le respect que nous leur devons, nous devons également être attentifs à un danger à la fois aussi grave et opposé, à savoir que l'ordre public puisse devenir captif d'une élite scientifique et technologique. C'est la tâche de l'homme d'État que de mouler, équilibrer, intégrer toutes ces forces, anciennes et nouvelles, aux principes de notre système démocratique — en visant toujours à atteindre les buts suprêmes de notre société libre.

Un autre facteur de maintien de l'équilibre implique l'élément de temps. Alors que nous envisageons la société future, nous devons – vous et moi et notre gouvernement — éviter la tentation de vivre seulement pour le jour qui vient, pillant pour notre propre aisance, et à notre convenance les précieuses ressources de demain. Nous ne pouvons pas hypothéquer les actifs de nos petits-enfants sans risquer de dilapider également leur héritage politique et spirituel. Nous voulons que la démocratie survive pour les générations qui viennent, non pour devenir le fantôme insolvable de demain."

Si je devais définir cette organisation occulte qui contrôle le parc d'attractions que sont les États unis, je ne pourrais pas le faire avec autant de précision et de concision que l'a fait le Président Eisenhower dans ce discours d'un des derniers hommes politiques encore réellement libre.

La présidence de Barack Obama verra effectivement un changement, comme l'évoque son thème de campagne électorale, mais le peuple américain, après l'ivresse de la grande parade, risque de se réveiller avec une sacrée gueule de bois, et la surprise que le changement ne soit pas celui du parc d'attractions en fête, mais plutôt (ne pas confondre avec le chien de Mickey) celui du temps des épreuves avec son cortège de misères, de violences, d'injustices que ce président portera de plus en plus difficilement sur ses fragiles épaules.

Peut-être découvrira-ton que cette structure occulte et illégitime a agi avec un redoutable cynisme en choisissant un noir pour porter le chapeau des malheurs dont elle est pourtant entièrement responsable...


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dimanche 2 novembre 2008

Les vérités qui dérangent.


La devise des Maharajas de Bénarès est :

Il n'y a pas de religion supérieure à la vérité...

Mais combien sont capable de soulever les voiles des apparences, des faux semblants, des lieux communs et des certitudes qui ne reposent que sur transmission coutumière et/ou éducative que nous avons reçus sans prendre la peine de l'éprouver ?

Dans le clip vidéo que je vous propose de visionner, qui démarre lentement par un écran noir, soyez patient, les révélations qu'il contient sont de nature à soumettre votre faculté de discernement à rude épreuve, tant dans le sens de l'involution que de celui de l'évolution.

Prenez le temps d'aller jusqu'au bout de cet intéressant voyage, vous comprendrez pourquoi les évènements mondiaux actuels ne sont pas le fruit du hasard, mais bien le résultat des implacables lois de causalité, avec pour conséquence l'asservissement de toutes consciences.

Cliquez sur le titre de ce clip vidéo :

Le côté obscur de la loi du plus fort.

Diffusez le plus largement autour de vous ce clip vidéo anti politiquement correct.

Connaître l'étendue de son ignorance n'est que le premier pas qui mène vers la Connaissance, les autres pas à faire sur ce chemin impliquent volonté, effort et endurance :

Le Temple d'Hermès Trismégiste

Le Grand-Oeuvre d'Hermès

Les chemins d'Hermès



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dimanche 12 octobre 2008

La boite de Pandore de la Mondialisation.



La boîte de Pandore de la crise financière et économique.


La mondialisation est manifestement contraire aux lois de la Divine Providence, sur au moins un point essentiel, celui qui veut, pour que cette mondialisation soit rendue possible, qu’elle repose sur un puissant socle d’uniformisations permettant de faire boire, manger, distraire, d’éduquer, de circuler et de soigner les peuples de la planète avec les mêmes produits, services et énergies.

Cette obligation d’uniformité, violant les principes naturels de l’infinie biodiversité, n’est pas un enrichissement, mais exactement le contraire, comme le prouve la réalité objective. Elle fait peu à peu disparaître des cultures (agricoles et spirituelles) pour ne faire reposer ses mécanismes et ses structures que sur ce qui est marchand, exploitable, brevetable et rentable... Les OGM sont dans l’agriculture, la caricature de la cupidité humaine qui sévit dans les milieux financiers, dont de savantes "élites" pour certaines nobélisées, ont peu à peu remplacé les produits naturels de la culture financière par les OGM qu’ils appellent pompeusement les produits dérivés, dont la sophistication extrême réserve leur utilisation qu’à des techniciens grassement rémunérés. L’OGM en agriculture impose l’asservissement de l’agriculteur aux multinationales, aux industries agroalimentaires et in fine aux banques. Les OGM de la finance procède du même principe, l’épargnant traditionnel se voit refiler par son banquier, qui n’y connaît pas plus que lui, des OGM de la « haute finance », dragéifiés comme il se doit pour rendre la pilule appétissante, ce qui rend tributaire l’épargnant (souvent pour sa retraite que l’état imprévoyant est incapable de garantir) et le banquier traditionnel devenu incompétent pour cause de sophistication diabolique des produits qu’il propose. Tout ceci ayant pour objet de concentrer la richesse entre les mains de quelques puissances financières dominatrices. Résultats toujours constatables dans les faits.

Aujourd’hui un agriculteur qui voudrait cultiver une variété de blé ne nécessitant pas le recours aux semenciers dominateurs du secteur, se verrait poursuivit pénalement par la DGCCRF (et autres administrations locales chargées de défendre les intérêts des multinationales). Cette variété ne lui offrirait peut-être pas le même rendement, mais elle aurait l’avantage de ne nécessiter aucune utilisation de ruineux produits phyto sanitaires sans lesquels les OGM ne sont que des calamités couteuses. En outre, l’agriculteur, comme l’ont toujours fait ses ancêtres, ne serait pas obligé de racheter ses semences d’une année sur l’autre, puisqu’il lui suffirait de conserver une faible partie de sa récolte, pour produire la suivante, ce qui n’est plus possible aujourd’hui.

Cet appauvrissement des cultures, est ruineuse en ressources naturelles, comme l’eau (pollution des nappes phréatiques entre autres gaspillages), en préservation des terres arables, en dépenses d’énergies, et même en destruction massive des agents naturels, gratuits et bienveillants que Mère Nature met gratuitement à notre disposition, je veux parler de nos adorables et précieuses abeilles...

Tout ce qui entrave la biodiversité, sur quelque plan où cela se situe, est en vérité contraire aux lois de la Création, et la mondialisation, dans sa forme cupide actuelle, n’est pas autre chose qu’une monstruosité contre nature, et une entreprise d’appauvrissement de toute forme de culture.

Un principe de simple bon sens veut que lorsqu’une cause est mauvaise, quelle que soit l’intelligence qui se met au service de cette cause, les résultats ne soient jamais autrement que calamiteux. Un principe hermétique veut que lorsque la vertu devient complaisante avec le vice, cela signe invariablement la victoire de ce dernier. Ceci pour dire, que si ceux qui dirigent le monde — et qui ont fait la démonstration de leur totale incapacité à prévoir les catastrophes financières et économiques, que d’autres avaient pourtant annoncés depuis déjà quelques années -, trouvent des solutions provisoires pour sauver le système de la mondialisation en place, ils vont devoir se confronter rapidement à un autre effet pervers de cette structure vaniteuse et corrompue qui est le suivant :

De là où je me tiens, je remarque que nos gouvernants, qui ne brillent ni par leur compétence, ni par leur vision de l’Histoire, ni par leurs principes moraux qui leur donneraient une once de respectabilité, viennent d’ouvrir une terrifique boite de Pandore de laquelle va, me semble-t-il, sortir des calamités qu’ils vont devoir gérer en situation paradoxale...

Parmi toutes celles en incubation, j’en vois une spécifique qui découle du fait que donner des centaines, peut-être des milliers de milliards de dollars, d’euros ou de roupies pour sauver les banques, les banquiers, et les montagnes de profits antérieurement accumulés, alors qu’il va falloir, tôt ou tard, mettre au régime plus que sec les gueux de la classe moyenne, et tout le prolétariat laborieux auxquels on n’accordait jusqu’ici que des poussières d’augmentations de revenus, et auxquels on demandait toujours plus de contributions sociales, fiscales et téléthonnesques ; comment me dis-je en mon for, vont-ils faire pour leur faire payer cette immorale et monstrueuse FACTURE sans qu’ils ne se produisent, en plus des prévisibles émeutes de la faim, de justes et terribles révoltes de la colère que va abondamment nourrir cette injustice, et que nos gouvernants vont traîner très longtemps comme une épouvantable malédiction?... COMMENT ?....

Le sauvetage des banques, qui vont continuer à prélever leurs dimes sur chaque compte de chaque client - à l’image d’une époque où l’Église romaine utilisait la force royale pour encaisser la sienne chez le moindre manant -, va en plus prélever sur le fruit de leur difficile et incertain travail, des ressources considérables par le biais de la fiscalité. Ces banques et les gouvernements qui les auront soutenus et sauvés ne finiront-t-ils pas par apparaître pour ce qu’ils sont : de cupides escrocs pratiquant l’abus de bien social ?...


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mardi 7 octobre 2008

La véritable cause de la crise financière


Mondialisation : la tour de Babel de la finance et son inéluctable effondrement.

Ce qui ne sera pas indiqué comme la cause première de la crise financière actuelle, et probablement l'effondrement inéluctable de cette vaniteuse et immorale tour de Babel des profits sans limites, est en réalité la mondialisation aux règles si perverses qu'elles constituent le coeur d'une ontologie aux effets dévastateurs.

Cette mondialisation est à l'image de l'industrie pharmaceutique moderne, qui propose des médicaments qui soulagent temporairement, mais ne guérissent pas. Pendant que le remède apporte un soulagement aux maux du malade, ce dernier a le sentiment que son médecin est un bon thérapeute, et que les laboratoires pharmaceutiques sont, par leurs recherches, les joyaux de la modernité d'une civilisation hautement développée. Le problème c'est qu'en réalité tout le processus repose sur une énorme supercherie celui qui a pour base morale plus que douteuse les profits maximums. Quelle officine commerciale serait assez stupide de proposer des solutions à ses clients qui auraient pour conséquence de lui faire perdre ce client qu'elle vient de servir ... Alors soulager oui, mais guérir ce serait se condamner à une mort certaine et la perte des lourds investissements qui ont été nécessaires à la mise au point d'un remède, source de considérables profits espérés.

Ce médicament proposé aux malades sera donc efficace surtout dans l'illusion qu'il apporte et l'addiction qu'il provoquera chez le patient, au point que ce dernier aura l'impression qu'il ne peut pas vivre normalement sans lui. Le soulagement apporté ne durera qu'un temps limité, mais inéluctablement d'une part, l'effet d'accoutumance aidant il deviendra de moins en moins efficace, malgré l'augmentation profitable (pour la finance) des doses ; et d'autre part, l'accumulation dans l'organisme des molécules de synthèse finira par se révéler autrement plus nocive et destructrice que les maux qu'elles étaient sensées soulager... Le mécanisme de fonctionnement de ce processus peut se résumer de la façon suivante : espérance, illusion, effondrement et désillusion.

La mondialisation a été présentée comme l'espérance d'un partage des richesses entre les pays pauvres et les pays riches, remède à la misère endémique d'une partie de l'humanité, avec pour conséquence bénéfique l'élargissement des marchés offrant une plus grande possibilité d'enrichissement pour les pays riches (illusion de gains sans pertes pour qui que ce soit)... Pendant la mise en place de la thérapie, l'effet placébo aidant, nous avons pu avoir l'illusion que le remède apportait un véritable soulagement à l'humanité, notamment dans un abaissement des famines et du nombre de pauvres. Mais pendant cette période de soulagement, l'organisme de la mondialisation accumulait des molécules de synthèses parfaitement diaboliques et dont le poison insidieux s'est propagé dans tout ce corps donnant pourtant l'apparence d'une bonne santé, alors qu'il n'était que sous dopage de substances terriblement destructrices, administrées par les Dr. Mabuse de la finance et de la banque, vampires à la voracité sans limites.

Sous le faux masque de la libéralisation des marchés, se cachait en réalité le spectre destructeur de la loi du plus fort. Le vice sait pertinemment que pour prendre et occuper durablement le pouvoir, il doit obligatoirement singer la vertu. Le romantisme d'une généreuse répartition des richesses, n'était qu'un alibi (fausse barbe) permettant à la plus insondable cupidité de faire avancer sa gloutonnerie au-delà des limites dans lesquelles les règles contraignantes l'obligeaient à pondérer son appétit. Ici le libéralisme s'est révélé comme une molécule de synthèse se substituant à la molécule naturelle qu'est la liberté. S'il n'y a pas de liberté sans lois justes et appliquées, le libéralisme qui ne peut se satisfaire de ces lois contraignantes pour tous, y compris pour lui-même, y a substitué la loi du plus fort qui est en vérité l'absence de loi et de contrainte.

Après le drame de 1929, la catastrophe économique, — déjà issue d'une tentative de mondialisation, qui a été purgée par ce que Bille Bonner a qualifié de : plus grand programme de travaux publics de tous les temps : La Seconde guerre mondiale — , les règles que s'étaient imposées les nations se sont rapidement révélées insupportables pour l'appétit et le manque de civisme des prédateurs internationaux. Le 15 août 1971 Le président R. Nixon faisait sauter l'une des plus importantes celle de la convertibilité du dollar en or. Probablement que l'Histoire finira par admettre que celui qui a allumé la mèche de la prochaine déflagration économique est ce président des États-Unis.... Lorsque le président Carter, sous la pression d'économistes libéraux, organise en 1971 la libéralisation du transport aérien avec l'Air Deregulation Act, il a poursuivi dans la même voie de suppression des règles de son prédécesseur. Cette suppression des règles entamée par ces présidents va très rapidement s'étendre à l'ensemble du secteur de l'industrie et des services tant aux États-Unis qu'en Europe et dans le reste du monde.

La finance mondiale profite alors à plein de ce capitalisme en état de dopage intensif par un dollar papier, fausse monnaie devenue monnaie internationale. La prospérité (soulagement temporaire) qui se répand dans l'économie mondiale est à dose homéopathique pour les classes inférieures ou moyennes, mais à dose intensive pour les classes supérieures et ce secteur privilégié qu'est celui de la finance. Cette croissance non vertueuse de l'activité économique s'est faite en dépit et au mépris des règles environnementales, sociales et culturelles. L'absence de morale et d'éthique a ouvert la boîte de Pandore à la réduction des pouvoirs des états au profit des marchés financiers utilisant, pour s'affranchir totalement de toutes contraintes, les paradis fiscaux et les secrets bancaires. Ils ont été suivi de près par les mafias et les groupes terroristes qui se sont abondamment servi de ces nouvelles possibilités pour parvenir aux attentats du 11 septembre 2001, qui n'auraient probablement pu se faire si les règles antérieures avaient été maintenues, même largement modifiées pour s'adapter aux naturelles évolutions de la civilisation.

Le dernier acte de cette dérégulation est certainement le Gramm-Leach-Billey Act, qui en 1999 a remplacé la loi Glass-Steagall ; cette dernière interdisait aux banques de proposer des services d'investissements et d'assurances, et d'effectuer des regroupements entre banques commerciales et banques d'investissement.

Les Dr. Mabuse de la finance, cantonnés dans les hedge funds, ce sont depuis répandus dans toutes les structures financières (banques, assurances, institutions gérantes des fonds de pensions et de retraites etc.) avec leurs pilules empoisonnées aux noms de subprimes, CDO, RBS, CDS et bien d'autres bestioles de nature destructrices dont le grand public finira par entendre parler, mais uniquement lorsqu'il sera pour lui trop tard.

Le mal que manifeste la mondialisation, malade qu'elle est de ses fameux remèdes miracles, est analogiquement semblable à celui d'un patient qui s'est drogué pendant des années avec un médicament soulageant passagèrement ses troubles, et qui découvre que ce fameux remède a engendré un mal autrement plus grave que celui qu'il avait, car celui-là, à l'inverse de l'autre, est mortel !

Comme diraient les médecins face à une telle situation, le cas de ce patient est grave, il ne lui reste que quelques semaines, tout au plus quelques mois à vivre, durant cette période il donnera parfois l'impression qu'il est en phase de rémission, mais ce sera pour mieux replonger dans sa dégradation, avant de mourir dans la douleur.

Aujourd'hui, le problème de la santé financière internationale est tel, que les remèdes proposés sont en vérité que des palliatifs qui se révéleront à l'usage comme étant une aggravation du mal, masquée par un soulagement transitoire.

La solution à cette dramatique situation est semblable à l'un des travaux d'Hercule celui qui consistait au nettoyage des écuries d'Augias... Mais encore faut-il avoir les capacités, les talents et les facultés d'Hercule pour faire ce travail...

Dans la tradition Hermétique, lorsque le vice parvient à s'affranchir totalement des servitudes de la vertu, c'est pour sombrer dans l'involution et la régression la plus complète, écraser par l'effondrement des édifices vaniteux ayant voulu défier les puissances et les forces supérieures qui habituellement régulent sagement le cours des choses.

Science sans conscience n'est que ruine de l'âme disait Rabelais, et lorsque la vertu n'est plus au coeur de l'ontologie d'une civilisation, d'un état, d'une religion, d'un système économique, culturel ou social, cela les condamne inexorablement à leur perte, c'est le sens qu'il convient de donner à la parabole de la Tour de Babel, et la mondialisation n'est pas autre chose qu'une Tour de Babel.



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dimanche 28 septembre 2008

Le cataclysme financier planétaire



Pour ceux qui cherchent sérieusement les responsables du cataclysme financier actuel, un début de piste...

La science matérialiste et sa philosophie raisonneuse jusqu'à l'absurde, selon le principe mécanique des lois de causalité, nient l'esprit, la conscience et l'âme des choses, et par voie de conséquence la morale spirituelle qui en serait la structure.

Le numéro 1093 de Science et Vie d'octobre 2008 fait, page 144, la promotion élogieuse d'un livre d'un philosophe américain Daniel C. Dennett sous le titre : De beaux Rêves... Cet ouvrage que le journaliste (R.B.) présente comme : un bijou intellectuel, entre autres compliments révélant l'état de fascination qu'il a exercé sur ce lecteur, repose sur le postulat suivant :

« Nous sommes tous faits de robots dépourvus d'esprit et de rien de plus, et en aucun cas de composants non physiques, non-robotiques »

Ce directeur du programme de sciences cognitives à Tufts University voudrait démontrer par cet ouvrage que ce qu'il considère lui comme la « Conscience » n'est rien d'autre qu'un processus résiduel, presque une forme d'écho parasite produit par les multiples activités des robots de différentes tailles s'associant pour donner corps à un robot de plus grande dimension, mais tout aussi dépourvu d'esprit, de conscience et de morale...

Remarquons ici que la pensée totalement raisonneuse — est-ce que le fait d'être baigné dans la culture la plus matérialiste de la planète y est pour quelque chose d'aggravant ? —, de l'auteur de ce livre, outre qu'elle est parfaitement dogmatique et sectaire, ne repose que sur un aveuglement et une ignorance qui me paraissent accablants pour celui qui nous est présenté comme une autorité scientifique, intellectuelle... (à créditer sous réserve), mais certainement pas spirituelle (ici sans connotation religieuse).

Je serais d'accord avec le journaliste pour dire qu'il a probablement beaucoup d'intelligence dans ce travail, mais il serait bon de se rappeler que l'intelligence n'est pas une vertu, et qu'il peut y en avoir autant dans le vice, comme dans la vertu, la longue histoire de l'humanité fourmillant d'exemples de brillantes intelligences dans ces deux catégories.

Avant toute manifestation matérialiste, il y a une pensée; ce qui semble échapper à l'auteur de cette thèse. Cette pensée qui précède la création est un principe universel que nous retrouvons dans toutes les grandes traditions cultuelles, mais aussi l'ontologie de toutes les civilisations. La science matérialiste, si prompte à raisonner selon la règle qu'il n'y a pas d'effet sans cause, ne peut s'affranchir de la base même de sa réflexion. Dans le raisonnement de Dennett, la pensée serait le résultat d'une action mécanique préalable à celle-ci, et ce serait donc la matière qui produirait cette pensée. Comme raisonnement de sophiste, je crois qu'il est difficile de faire pire... Le matérialisme par essence limité et périssable serait le générateur de ce qui est immatériel et impérissable, ce que le simple bon sens, qui n'est ici par universellement partagé, permet de comprendre sans qu'il soit nécessaire d'être un grand Mamamouchi de la science cognitive.

Je parle de la pensée et ce terme résume l'esprit, la Conscience, ce quelque chose en plus qui n'est pas la matière et sans laquelle la matière resterait éternellement inerte et désorganisée. Notre auteur ne peut pas se passer de cette pensée animatrice, mais au lieu d'en faire le postulat de base préalable à toutes manifestations, - ce qui est, je le conçois fort dérangeant pour un matérialiste pur et dur - , il tente de se débarrasser de cet encombrant problème par un tour d'illusionniste en le faisant disparaître sous la moquette...

Hélas, cher grand spécialiste des sciences cognitives, la pensée précède la forme, la parole, l'action et même la manifestation de la volonté. Si elle précède, cela veut dire qu'elle préexiste avant même que les mécanismes qui en matérialiseront la forme se mettent en mouvement. La Genèse commence non pas par la création, mais par l'existence du fait créateur (la pensée de celle-ci) qui rend cette création possible. Pour faire simple, la création n'est possible que parce qu'il y a une Volonté qui se manifeste préalablement pour qu'elle soit. Un champ de pierres chaotique restera dans cet état tant qu'une pensée ne viendra pas se manifester pour en faire une Cathédrale. La science matérialiste, malgré sa suffisance et son arrogance ne pourra jamais démontrer que les pierres se sont mécaniquement formatées et assemblées en édifice grandiose, plutôt qu'en clapiers pour lapins, par un automatisme sans âme, sans esprit et sans Conscience, ce que voudrait nous faire croire cette intelligence vaniteuse qui pousse sa raison jusqu'à la limite de l'absurde le plus loufoque.

Si la pensée précède tout, lorsqu'elle se manifeste par la volonté, elle exprime forcément un état de Conscience qui n'est en rien tributaire de la matérialisation servant à lui donner corps. Une chose purement mécanique peut tomber en panne, le rester pendant des lustres, et se remettre en marche lorsqu'un réparateur viendra restaurer ses défaillances, même plusieurs siècles après sa défaillance globale. Un organisme vivant, support qui sert de champ d'expérience à notre téméraire scientifique, lorsqu'il tombe définitivement en panne ne peut pas être mis de côté pendant des années pour être remis en fonctionnement normal ultérieurement, car il lui manquera cette partie essentielle sans laquelle il ne peut espérer revivre et qui est : la Conscience (l'esprit, la pensée animatrice). Il me semble qu'il n'est pas nécessaire d'être un grand scientifique ni d'une intelligence au-dessus de la moyenne, pour constater le bien fondé de ce principe du fonctionnement des organismes vivants. Voilà qui me semble-t-il ternit l'éclat de ce qui nous est présenté, bien excessivement, comme un bijou d'intelligence brillante.

L'arrogance péremptoire des scientifiques matérialistes est suffisamment légendaire pour ne pas s'étonner de ce genre d'élucubration se drapant dans une apparente autorité intellectuelle. Pour paraphraser Stephen Hawking l'intelligence c'est comme un ordinateur, quelle que soit sa puissance, si vous y entrez des paramètres vaseux, il en sortira des données merdiques.

Ceci serait amusant ou risible, s'il n'y avait pas dans ce comportement d'une foi aveugle en une science uniquement mécanique et matérialiste, de redoutables conséquences pour nos sociétés et civilisations. Tout comme le romantisme donne l'illusion d'une possible ouverture vers l'extase des béatitudes d'un angélisme benêt, alors que l'histoire nous démontre que nous lui devons les pires calamités que l'humanité a eu à connaître à cause de ces fameux lendemains qui chantent, ou les pseudo vertus civilisatrices d'une colonisation des barbares incultes ; la foi aveugle de la science mécanique et matérialiste est en train de mettre en extrême péril l'économie mondiale, pour la simple raison que d'illustres mathématiciens, pour certains Nobelisés, ont eu la certitude qu'il était possible grâce à des algorithmes complexes, de sortir l'économie mondiale des réalités sur lesquelles elle repose, et des cycles naturels qui sont les siens. Ces apprentis sorciers sont de la même veine, que l'auteur du livre cité dans cet article. Sans Conscience, sans vertu, sans morale et avec bien peu d'esprit, ils raisonnent mécaniquement sans aucune subtilité spirituelle.

La Nature, comme le démontrent les cours d'eau qui ont été déviés de leur lit, reprend ses droits, et l'économie réelle, cette fameuse main invisible qui échappe à toute modélisation et à toute équation mathématique, va brutalement se rappeler aux stupides apprentis sorcier avec les dégâts et les dévastations catastrophiques qui se produisent lorsque l'ordre des choses revient à sa condition initiale. Les préjudices étant subis par une multitude de victimes innocentes, les fameux dégâts collatéraux...

La nuisance du dogmatisme de la science matérialiste, tel que le manifeste Daniel C. Bennett dans ce livre, est si potentiellement considérable, mais pas que potentiellement, qu'il est surprenant de le voir honorer d'un vibrant article élogieux au moment même ou l'humanité va devoir en payer la colossale facture.

il est vrai que pour ce genre de personnage, la conscience n'existe pas, l'esprit pas davantage, la morale se résume donc à une succession de stimulus instinctifs selon les mécanismes de l'irresponsabilité illimitée...

Au fait, est-ce qu'il ne serait pas judicieux de rappeler à ce genre de personnage ce que disait ce bon Dr Rabelais:

Science sans conscience n'est que ruine de l'âme.

L'âme, cette embarrassant concept spirituel que ne peut appréhender aucune équation scientifique matérialiste, et qui défit les lois de causalité mécanique, réduisant ainsi l'intellect raisonneur à une simple conséquence produite par les cinq sens de l'animalité organique...




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