samedi 18 décembre 2010

L'indignation légitime est une résistance à l'oppression.


WikiLeaks et les écuries d’Augias de la Mondialisation.

Julian Assange, dont on mettra peut-être plusieurs décennies pour découvrir l’impact réel qu’il aura eu sur la chute de l’Empire du Nouvel Ordre Mondial, a remis en lumière un des principes issus du Siècle des Lumières et de la Révolution Française, celui de la transparence.

La transparence c’est, que le veuillent ou non les tartufes qui nous gouvernent dans un état pitoyable de corruption généralisée, la base de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.

Sans cette transparence, comment établir le respect de l’égalité des droits ?

Sans cette transparence comment rendre efficient le principe du droit commun qu’instaure cette Déclaration et qui a demandé, avant que de figurer comme un droit Naturel, Sacré, Inaliénable et Imprescriptible, que soient supprimés tous les privilèges ?

Sans le droit commun, principe absolu de la DDHC, comment prétendre à la justice ?

Et sans justice que reste-t-il de la Liberté, autre droit absolu et de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, et de la Constitution de 1958 ?

La transparence est la base de la Liberté, elle est aussi la condition incontournable pour que puisse exister la séparation des pouvoirs.

Comment un pouvoir, comme le judiciaire, pourrait-il demander légitimement que lui soit rendu compte, si l’exécutif s’enferme, comme c’est hélas ! systématiquement le cas aujourd’hui, dans la pratique nauséeuse du secret ?

Comment la société pourrait-elle obtenir, que ce soit par l’un de ces membres ou de la représentation nationale, que lui soient rendus des comptes de ses agents publics ou de son administration si, comme c’est devenu la règle, il lui est opposé n’importe quelle forme de secret ?

Je rappelle, tant nos élites de tous poils (politiques, médiatiques, intellectuelles) ont une fâcheuse tendance à l’ignorer, que cette exigence de transparence, concernant les agents publics et l’administration, n’est rien d’autre que la stricte application de l’article 15, de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.

" La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration."

Droit ayant un caractère d’absolu, car, conformément aux dispositions sans ambiguïté de cette Déclaration, de par son caractère : Naturel, Sacré, Inaliénable et Imprescriptible, aucune loi, aucun règlement aucune disposition administrative ne peu ni en limiter, ni en supprimer la porté et l’application.

Autant dire que j’ai été choqué, outré, indigné, de voir nos édiles gouvernementales, mais pire encore, une cohorte de journalistes de toutes sensibilités, venir clamer péremptoirement et avec la suffisance qui sied à l’arrogance et à l’ignorance, qu’il fallait s’opposer à la prétendue dictature de la transparence.

Honte à vous âmes perverses, consciences dépravées, propagandistes
dogmatiques, agents serviles de l’arbitraire et du totalitarisme !

La «démocratie», dont chacun se gargarise, histoire de roucouler médiatiquement des tirades ampoulées du politiquement correct, ne repose que sur la transparence. Celle d’abord des urnes, comme celle du respect de son pacte fondateur : la Constitution.

Les négationnistes de la transparence, ne se rendent-ils pas compte à quel point ils étalent au grand jour leur propre état de corruption intellectuel, et leur absence d’éthique et de morale politique ?

Le secret est la base de toutes corruptions. Sans lui pas de fonds mystérieux servant à d’authentiques corruptions.

Sans le secret, pas de marchés occultes avec valises de commissions et de rétro-commissions.

Sans le secret, pas de financements occultes pour se sordides opérations politiciennes et essentiellement mafieuses.

Sans le secret, pas de minable secret défense et de corruption généralisée tant de la part des corrupteurs, que des corrompus.

Sans le secret, pas de marchés truqués et de concurrences faussés, toujours au détriment de ceux qui règlent la facture en dernier ressort : le cochon de citoyen contribuable. Et au profit des privilégiés.

Sans le secret, pas de mafias, pas de trafics, pas de paradis fiscaux, pas de magouilles.

Sans le secret, il n'y aurait pas de FED, cette Banque centrale américaine ne reposant sur aucune légitimée institutionnelle. Organisme privé, entièrement entre les mains des banques privées, et utilisant à sa guise les fonds publics dans une opacité épouvantable et avec pour conséquence : la spoliation des contribuables américains et la plus grande crise financière et économique, comme l’humanité n’en a encore jamais produit, et dont nous sommes seulement au début du pire.

Sans le secret, nous aurions une Agence française de sécurité sanitaire (AFSSA) qui ne serait pas tenue, pour plus de 80 %, par des membres issus des grands laboratoires, ce qui fait qu’étant juge et parti, elle laisse régulièrement des médicaments connus pour leur nocivité patente, contaminer une population, avec son cortège de morts pudiquement qualifiés d’involontaires, uniquement pour ne pas faire perdre une source de profits, dont une partie sert à corrompre chacun des intervenants, qu’ils soient politiques ou administratifs.

Sans le secret, nous saurions déjà tout sur les rétros commissions dont l’existence n’a rien à voir avec la protection des intérêts supérieurs de la Nation, mais bien plus à couvrir les ignobles et sordides turpitudes de caractère électoral de politiciens sans dignité et sans mérite.

La culture et le développement du secret sont les marques d’infamie des sociétés mafieuses et des gouvernements corrompus et nécessairement TOTALITAIRES. Le secret s’impose toujours par la force, l’injustice et la violence.

Voilà ce que défendent les partisans qui s’insurgent contre la dictature de la transparence. Belle coquecigrue que cette balourdise, car lorsque la transparence imposera véritablement ses règles (que les fumistes appellent dictatures), alors c’est que nous serons retourner à la Démocratie et l’état de droit.

Aujourd’hui, et nous pouvons remercier Julian Assange pour cet apport inestimable qu’il fait à notre civilisation occidentale, ceux qui parlent de dictature de la transparence ne sont que des agents serviles d’une nomenklatura à la moralité de pacotille et agissant comme activistes de la propagande du politiquement correct.

L’indignation est une première et incontournable manifestation de résistance à l’arbitraire. Les agents de cet arbitraire sont les défenseurs de l’opacité, du secret et des magouilles entre corrompus.

La défense des libertés passe par le respect de la transparence, il ne peut pas en être autrement !


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mercredi 1 décembre 2010

Première révélation.


La technique de manipulation des masses pour obtenir leur asservissement. 1

Ce qui va suivre doit se comprendre comme une inductance résultant d’un choc sismique. Un peu comme lorsque nos physiciens font entrer en collision des particules à la vitesse de la lumière pour tenter d’en découvrir leurs composantes.

Il en est en politique, comme il en est en physique. Certaines choses ne se découvrent que par déduction et induction intelligentes des effets et des causes. Ceux qui n'utilisent pas leur intelligence et leur libre arbitre n'ont pas accès à ces connaissances, ce qui n'est que justice.

Une des preuves les plus flagrantes - parmi tant d’autres qui échappent à la clairvoyance des individus maintenus dans l’ignorance -, de la réalité de cette manipulation systématique à grande échelle que pratiquent nos gouvernements corrompus, au-delà de ce qu’il est permis d’imaginer pour un esprit naïf et simpliste, se trouve actuellement étalée devant l’opinion mondiale par Wikileaks.

Qu’il suffise de voir avec quel acharnement l’ensemble des gouvernants de la planète tente d’en réduire la porter, de discréditer le bienfaiteur de l’humanité auquel nous devons la chance de cette brutale lever du voile, celui dissimulant les horreurs de la corruption d’États généralisée sous l’alibi fallacieux qui caractérise les mafias je veux parler du secret.

Wikileaks, par son action salutaire pour la sauvegarde de l’humanité et de la PAIX, (la guerre se prépare toujours en secret), nous offre en prime le moyen de comprendre qu’il y a bien derrière le fumeux Nouvel Ordre Mondial, non pas un orchestre rouge, mais un orchestre noir (comme le pétrole), celui de la puissance malfaisante à la bannière étoilée qui s’est donnée pour dessein la domination du monde par la force la plus brutale et la plus barbare : militaire !

Les techniques très sophistiquées qu’elle utilise pour asservir son propre peuple, en lui supprimant tous les acquis d’une Constitution qui devait préserver les droits fondamentaux de ses citoyens sont, grâce à ces révélations grossièrement visibles, devenus caducs. Il a suffi d’une élection truquée d’un G.W. Bush, pantin d’une clique financière et militaro-industrielle occulte, pour que les acquis d’une véritable liberté soient ruinés, sans que ce peuple, anesthésié et abêti par une constante propagande médiatique et éducative, ne s’aperçoive de sa totale mise en esclavage économico-judiciaire.

Le double langage de cette puissance brutale, injuste et tyrannique, est mis en évidence tant par ses actes que par ses propos occultes. Derrière ce que véhicule le discours aseptisé, hypocrite et faussement moral, à destination des foules qu’il convient de sans cesse berner, il y a celui qui révèle les véritables arrières pensées de cette organisation mafieuse qu’est la Mondialisation, concept qui a une origine Etasunienne.

Sans être particulièrement perspicace, il est aisé de constater que le langage de ces gouvernants corrompus, lorsqu’il est livré à la réalité de ce qu’ils pensent, est d’une brutalité, d’une trivialité et d’une immoralité sans limites. Si ce langage doit être tenu secret, c’est bien parce qu’il met en évidence la tartuferie et l’hypocrisie de ces dirigeants sans scrupules, ce que traduisent leurs actions et leurs politiques qu’ils masquent grossièrement par des propagandes faussement drapées dans une morale de pacotille.

Cette grossière propagande - si bêtement relayer par ses plus fidèles agents que sont les différents médias entièrement à sa solde et sous total contrôle des différents gouvernements vassalisés -, s’évertue avec une constance et une uniformité internationale, à jeter le discrédit sur tous ceux qui essaient d’éclairer l’opinion publique sur non pas une théorie du complot, mais l’objective réalité de celui-ci et qui fut dénoncé tant par Einsenhower que par Kennedy.

Malheur à Julian Assange qui deviendra rapidement l'individu le plus abject de la création à force de calomnies constantes des plus hautes autorités politiques, philosophiques et pourquoi pas : religieuse, bruyamment relayer à la une des principaux médias. Le vice et la corruption institutionnalisés savent comment détruire l'honorabilité du plus innocent des citoyens par la calomnie, le mensonge, les manipulations, les rumeurs, les accusations sans preuve et les condamnations sans justice. Et les exécutions sommaires si nécessaires.

Il a pourtant été établi que la dernière guerre mondiale avait eu pour cause principale les accords et protocoles secrets entre différents États. Ce culte du secret si caractéristique des États totalitaires, des dictatures, organisations occultes aux desseins malfaisants et des mafias, est la marque diabolique sous laquelle s'abritent les principaux dirigeants de la planète. Par ces pactes secrets, ces petits arrangements financiers, industriels et militaires, l'ogre dominateur, telle la grande prostituée de l'Apocalypse, étend son emprise sur le monde en vassalisant les gouvernements corrompus qui viennent chercher l'adoubement militaro-industriel, les techniques et les moyens financiers de corruptions et une fausse autorité supranationnale qu'ils opposeront à celle des souverainetés populaires pour en usurper le pouvoir.

Notre actuel Président de la République était et est pro-américain. En vérité il n'est pas pro-américain (dans le sens favorable au peuple de ce pays), mais il a fait allégeance à l'organisation mafieuse qui a détourné la souveraineté du peuple américain. D'où son souhait d'envoyer un contingent français pour participer à la guerre d'Irak. Heureusement qu'à l'époque il n'était pas encore Président. D'où sa décision de réintégrer l'OTAN, dès son élection. D'où sa décision de mettre en pratique en France, la technique des subprimes avant qu'elle fasse faillite aux États-Unis avec les conséquences désastreuses que nous connaissons sur l'économie mondiale. Heureusement là encore le temps lui a manqué. D'où son allégeance non pas au capitalisme, mais à la Ploutocratie apatride avec laquelle, lui et ses frères, sont intimement et financièrement liés.

Par ces premières révélations que nous apporte Wikileaks, nous pouvons constater que les vassaux de la puissance dominatrice et prédatrice (concernant l'exploitation de la moindre richesse) ont pour feuille de route non pas de défendre les intérêts bien compris de l'État et du peuple qu'ils représentent et dirigent, mais avant tout de mettre en place l'organisation tentaculaire et occulte, ainsi que les techniques communes à cette organisation de manipulation et d'asservissement des populations. Par ailleurs Wikileaks apporte la démonstration que le monde est structuré par des réseaux SECRETS, dont un nous est accidentellement en partie dévoilé. Mais pour combien d'autres astucieusement dissimulés à la vue et aux contrôles légitimes et obligatoires sans lesquels la Démocratie de chaque pays, n'est plus qu'une marionnette activée par des fils tenus par des mains étrangères et rarement bienveillantes, comme le démontre les actualités en Grèce, Irlande, Portugal, bientôt en Espagne, Italie et, en partie, déjà en France.

Partout où le même programme est appliqué, selon l'organisme centralisateur qu'est le F.M.I., nous pouvons constater qu'il s'agit de paupériser une large part de la population ; de déglinguer la classe moyenne tout en permettant à une élite dirigeante de conforter grassement ses richesses. Une classe de pauvres reléguer à la dépendance et l'assistanat ; une classe moyenne fragilité et rendu instable tant dans ses conditions matérielles que dans son statut social et ses perspectives, voilà de quoi obliger tout ce petit monde à bosser sans trop se plaindre. Car l'astuce du système repose sur le fait que le travail leur est présenté, même lorsqu'il est sous-payé, comme une faveur qui leur est accordée temporairement et à condition de bien se tenir.

Le servage n'est plus à concevoir selon ce qui se pratiquait au Moyen-Âge, mais celui qui est sa déclinaison moderne n'a pas grand-chose à lui envier dans sa brutalité et la mise sous asservissement des populations. Vous voulez la protection du Seigneur dominant, alors il vous faudra la payer de votre sueur et de votre sang si nécessaire.

Le peuple, contrairement à ce qu'on veut lui faire croire, depuis longtemps n'est plus souverain. Il n'est pas davantage libre, ou alors juste libre d'aller bosser au point d'être révolté lorsque d'autres catégories professionnelles luttent pour défendre ses propres intérêts… Ce qui en dit long sur l'état d'anesthésie du corps social.

Relevons à ce sujet la bérézina du dernier combat des syndicats de ce pays contre une loi de réforme des retraites. Cette bérézina est la victoire sans appel du système mis en place par les organisations occultes et apatrides. L'amateurisme, pour ne pas dire l'infantilisme de ces syndicats - sauf à imaginer une certaine complicité avec ces pouvoirs corrompus, ce qui n'est pas à exclure -, se trouve caractériser par leur manque d'appréciation des rapports de force. Le soutien majoritaire du pays à lamentablement plier des genoux face à une clique d'apparatchiks d'une technostructure ultra minoritaire, mais disposant des leviers de la communication, de la force publique et militaire, et de la docilité de cette technostructure aussi corrompue que ses dirigeants.

Face aux techniques, secrètes et terriblement sophistiquées de manipulation et d'intimidation, qu'utilise le pouvoir en place, les syndicats se sont comportés comme des amateurs, des fanfarons et des fantoches. Ils se sont montrés parfaitement incapables (toujours dans l'hypothèse naïve de leur incompétence) de coordonner les puissantes forces du travail dont chaque catégorie ne demandait qu'à agir dans l'unité ce qui aurait littéralement écrasé ceux qui n'ont que l'apparence du pouvoir. Ils ont fait inutilement descendre, histoire de les balader, des millions de citoyens sans aucune volonté d'utiliser cette puissance manifestée pour un but utile. Ces mêmes syndicats, y compris étudiants, manipuler grossièrement par une oligarchie politique cramponner à ses privilèges, ont su efficacement faire descendre dans la rue des millions de Français pour faire élire un des Présidents parmi les plus corrompus, mais à ce niveau ils se valent tellement tous, que nous ayons eu : Chirac…

Aujourd'hui, chacun s'accroche à ce qu'il croit avoir, et qu'il a peur de perdre. Le travailleur à son emploi précaire et souvent mal payer. Le commerçant à son petit commerce. Le retraité à sa retraite qu'il va pourtant inéluctablement se faire bouffer par l'intermédiaire d'une inflation déguisée qui fait qu'avec une retraite augmenter selon un indice du coût de la vie qui ne reflète plus depuis longtemps la réalité économique, d'année en année, il ne parviendra plus à payer ses factures, et son strict minimum vital. Le propriétaire sur lequel vont peser de plus en plus de taxes, investissements écologiques obligatoires et de prélèvements pour combler les déficits sociaux. Sans compter, qu'avant d'être véritablement propriétaire, il doit payer aux banques qui lui ont fait crédit, plus d'une fois la valeur de la maison. Maison qu'il croit avoir acheté comme étant une bonne affaire, ce qu'il ne constatera pas forcément lorsqu'il sera dans l'obligation de la revendre.

Pendant ce temps, personne ne perçoit le terrible piège qui se referme lentement et inexorablement sur ce qui fonde la richesse d'un peuple, comme l'a amplement démontré le communisme, et qui est sa LIBERTÉ…

Dans un prochain article, je continuerai la déclinaison des moyens de manipulations très complexes qui sont mises en application par les frères de l'ombre.

En attendant, à chaque jour suffit sa peine...;-)


Pour compléter ce présent article vous pouvez consulter celui de Paul Craig Roberts qui est un ancien rédacteur en chef du Wall Street Journal. Il a également été Secrétaire-adjoint au Trésor des USA sous Reagan.



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