mercredi 28 décembre 2016

Pour que 2017 soit une bonne année


Meilleurs voeux aux damnés de la terre.

Je souhaite, à l’occasion de cette nouvelle année, que la structure fasciste de l’Europe finisse par s’écrouler sur la tête des eurocrates, coupables des malheurs qu’ils ont infligés aux peuples de ce continent.

Je souhaite que les véritables coupables et responsables des malheurs infligés au peuple syrien soient condamnés à payer intégralement les destructions, souffrances et calamités qu’ils ont imposées par une politique aussi criminelle que profondément inhumaine.

Je souhaite que tous les dirigeants qui se sont rendus coupables de la guerre contre la Serbie, contre la Libye, contre l’Irak,  contre l’Afghanistan, contre l’Ukraine, contre le Yémen, contre les Palestiniens, soient jugés et sévèrement condamnés.

Je souhaite que la corruption ne soit plus tolérée comme moyen d’accéder aux plus hautes fonctions des gouvernements.

Je souhaite, qu’en vertu du principe constitutionnel du droit commun, qui veut que la justice soit la même pour tous, que Christine Lagarde soit de nouveau jugée, reconnue coupable et condamnée pour complicité d’association de malfaiteurs, dans cette lamentable affaire d’abus de biens publics de plus de 400 millions d’euros.

Je souhaite que la justice retrouve son indépendance, afin qu’elle puisse s’exercer, car il n’y a jamais de liberté sans justice.

Je souhaite que cette nouvelle année soit la pire qui soit pour tous les corrompus et criminels ayant du sang sur les mains et sur la conscience.

Je souhaite qu’au moins un de mes présents souhaits soit exhaussé.

mercredi 14 décembre 2016

L'insoutenable crapulerie politique



La vermine qui ose prétendre nous gouverner.

mardi 13 décembre 2016

Un souhait pour l'Humanité.


C'est vraiment trop dégueulasse

Je souhaite que les gouvernements de l’Occident judéo-chrétien auxquels, par les dispositions karmiques d'une naissance, j’appartiens cessent de m’accabler de honte, de déshonneur, d’abjection, d’humiliation à cause de leurs comportements ignobles, mensongés, crapuleux, injustes, sournois, inhumains, immoraux et franchement dégueulasses.

Dégueulasse, l’ONU qui ferme les yeux sur les monstruosités des terroristes financés et armés par les Américains et les membres de l’OTAN.

Dégueulasse ces pétromonarchies incapables de soutenir le peuple palestinien sous dictature des colonisateurs sionistes, alors qu’elles dépensent des milliers de milliards de dollars pour des faux djihadistes, en association avec ces colonisateurs.

Dégueulasse le massacre des populations yéménites par de richissimes émirs gavés de luxe et d’opulence qui se prétendent islamistes, oubliant qu’un des préceptes de l’Islam est la charité au moins envers leurs frères de même confession.

Dégueulasse les dirigeants sionistes qui croyant qu’en mettant à feu et à sang le Moyen-Orient, ils concouraient à renforcer leur colonisation illégale et leur sécurité, ce qui sera exactement le contraire.

Dégueulasse de voir les vaincus d’une saloperie de guerre, par terroristes interposés, tenter d’accuser les vainqueurs des pires atrocités dont ils sont les premiers coupables et uniques responsables.

Dégueulasse les dirigeants de ce Pays de France qui ont profané la sublime Déclaration des Droits de l’Homme de 1789, pour s’en servir comme alibi blasphématoire, afin de soutenir les pires abjections en son nom, pour quelques juteux contrats d'armements.

Dégueulasse tous ces pseudo journalistes de «gôche», qui, en toute connaissance de cause, nous masquent  les vérités accablantes par une propagande aussi imbécile que délirante.

Franchement j’ai honte que l’on puisse m’assimiler de près ou de loin, à ces fripouilles qui ne méritent que la corde pour les pendre, ce qui, je l’espère vivement, finira peut être par arriver.

vendredi 28 octobre 2016

Dialogue N° 15 : La bonne Foi et la Raison, les religions. 1




Maître, comment savoir si ma Foi est juste et éclairée ?




Une Foi est juste et éclairée tant qu'elle est accompagnée d'un doute raisonnable et de certitudes éprouvées. Prends garde à l'apparente simplicité de cette formulation, car elle contient un redoutable mécanisme de précision spirituelle. 

La Foi aura de fortes chances d'être de plus en plus juste et éclairée au fur et à mesure que la Raison parviendra à faire de ce doute une certitude, en soumettant les acquis de la Foi sur l’enclume de l’épreuve de la mise en pratique vertueuse, et à la condition que l'intellect raisonneur ne cherche pas, comme c'est son regrettable travers, à rendre totalement raisonnable cette infime partie de l'intuition qui n'est pas et ne sera jamais assimilable par la raison : la lumineuse révélation. Le phénoménal de l'Éternel Présent ne sera jamais totalement intelligible par le processus causal de la sphère temporelle. 

Dans le cas où la Foi et la Raison ne coopèrent pas de concert, c'est alors l'enfantement d'une grotesque Foi aveugle se racontant des histoires idiotes pleines de fureurs et de bruits, et qui ne signifient rien d’autre que de l’insignifiance, de la déraison et la bêtise des élucubrations loufoques. 

Donc, par le doute dans lequel tu te trouves et qui s'exprime au travers de ta question, tu tentes, pour obtenir une réponse, de faire appel au « savoir » (comment savoir), alors que tu ne pourras obtenir cette réponse que par la Connaissance. Il te faut comprendre que l'intellect raisonneur, depuis la nuit des temps, a accumulé une colossale collection de textes plus ou moins sacrés et plus ou moins anciens, d'analyses, d'exégèses et commentaires pas souvent sérieux ni crédibles ; de recherches et d'études pseudo scientifiques et historiques, de discussions philosophiques et philologiques, sans parvenir à autre chose qu'à produire des adeptes et croyants plus ou moins sectaires et intolérants, ou des athées, des incrédules ou agnostiques pratiquement aussi sectaires, bornés et intolérants que les adeptes et croyants aveugles. Les uns comme les autres ne sont que les progénitures de la raison et du savoir ou de la Foi aveugle. 

Il faut constamment te rappeler que la Foi est une Faculté, et comme toute Faculté elle doit être activée et développée. Ce développement ne s'obtient que par une longue pratique régulière de l’intuition spirituelle. Hélas! la normalité ambiante a fait de la Foi autre chose qu'une Faculté, dans le dessein de dessaisir les bénéficiaires de cette Faculté supérieure en leur laissant croire qu'elle est l'apanage d'un processus collectif régenté par une autorité académique extérieure ou ecclésiastique. Tant que l'individu croit aveuglement (Foi dévoyée) à l'illusoire crédibilité de cette hiérarchisation horizontale extérieure, il n'utilise que très occasionnellement cette Faculté supérieure et uniquement pour des actions subalternes, ce qui a pour conséquence de l'atrophier rapidement et durablement. Le critère le plus déterminant d'une Foi juste et éclairée est sans conteste la liberté qu’elle procure à la Conscience développant cette Faculté, et cette libération apporte des espérances nouvelles à ceux que cette Conscience éclaire par son exemplarité. Toute aliénation individuelle ou collective, aussi minime soit-elle, qu'engendrerait la pratique de cette Foi serait, à l'inverse, le signe de l'altération de sa justesse et de son rayonnement.

dimanche 23 octobre 2016

Un souhait pour l'Humanité.

La première valeur morale des forces de l'ordre.

Je souhaite que les forces de l’ordre comprennent qu’il ne suffit pas de se plaindre d’être mal aimer du peuple, encore faut-il qu’ils aient la préoccupation vertueuse de n’utiliser la force que pour la protection des faibles, ce qui fait la noblesse de leur mission, ainsi que la défense du peuple au service duquel ils sont prioritairement, ce qui fait l’honorabilité de leur service, et non pour protéger des dirigeants corrompus et parjures et leur servir de pompe à fric.

La considération, comme le respect, ne se décrète pas, mais se mérite.

mercredi 19 octobre 2016

Un souhait pour l'Humanité.

Les assassins de la Liberté.

Je souhaite que la conscience des peuples s’éveille jusqu’à ce qu’elle parvienne à comprendre que lorsque les gouvernants ne respectent plus la justice, et ne font pas strictement appliquer ses décisions, ils sont les assassins de l’ordre et les fossoyeurs de la liberté, car il n’y a pas de liberté sans justice.

jeudi 13 octobre 2016

Flagrant délit d'escroquerie politicienne par les énarques eurocrates.



Pour la technocratie ce n'est pas le peuple qui est souverain, mais leur oligarchie totalitaire.

lundi 10 octobre 2016

Solution au problème de l'Islam radical


L'Islam en France n'est pas un problème. Le problème est dans l'incompétence de nos politiciens incultes.

Si, comme le prétendent les spécialistes, en matière de communication médiatique, il ne peut pas y avoir de bons arguments pour de mauvais produits, il peut hélas! y avoir de moins bons, voire de mauvais arguments pour d’excellents produits ou causes. Or, la cible de la communication concernée par ce sujet éminemment politique de l’islamisme radical, est celle composée par les nombreux fidèles de cette religion, et il suffit de relire attentivement l’Histoire sur ce sujet, pour pouvoir affirmer qu’il n’y a pas pire ignorant, sur ce qu’est la nature réelle d’une religion, que l’adepte le plus fervent de celle-ci.

Pour un esprit simpliste et peu instruit, l’Islam et l’Islamisme c'est la même chose, qu’il soit qualifié de radical ou non ne change rien, cela devient simplement une question de ferveur et non de différenciation entre une bonne et une mauvaise chose. Les larbins médiatiques du système savent parfaitement cela et en profitent, à la moindre occasion, pour entrainer sur ce domaine aventureux et, passez-moi l’expression triviale : terriblement casse-gueule, tous ceux qui ne sont pas capables, par leurs connaissances, d’en maîtriser les arcanes.

La communication politique fait appel à une pédagogie qui pourrait s’assimiler au long parcours du pèlerin en route vers Compostelle. Comme le disait si brillamment ce vieil Hugo :

«Oh ! disais-je, la main sur mon front étendue,
Philosophie, au bas du peuple descendue !
Des petits sur les grands grave et hautain regard !
Où ce peuple est venu, le peuple arrive tard ;
Mais il est arrivé. Le voilà qui dédaigne !
Il n'est rien qu'il admire, ou qu'il aime, ou qu'il craigne.
Il sait tirer de tout d'austères jugements,
Tant le marteau de fer des grands événements
A, dans ces durs cerveaux qu'il façonnait sans cesse,
Comme un coin dans le chêne enfoncé la sagesse !
»

Une volonté pédagogique pour tenter de faire saisir la nuance subtile entre les deux aspects (le bon et le mauvais) d’une même religion peut éventuellement être perçue par des individus très érudits ou extérieurs à cette forme religieuse,  mais certainement pas par des fidèles béotiens sous un très fort conditionnement (familial, environnemental, culturel et surtout cultuel) qui resteront intimement convaincus, comme savent l’être les endoctrinés sectaires, que combattre l’islamisme radical c’est combattre l’Islam.

Tous les politiciens qui se trouvent en face de ce redoutable problème, à cause de leur incompétence, inculture et manque de discernement subtil, ne feront qu’aggraver la situation conflictuelle en croyant, plus ou moins honnêtement, avoir la solution capable de régler ce complexe problème d’une idéologie politique travestie en croyance religieuse. Ils n’y parviendront pas -  ceci n’est pas une prophétie, mais une analyse objective basée sur des données crédibles - car ils ne sont pas en capacité intellectuelle, et j’oserais le dire, en capacité spirituelle pour le solutionner. L’Empire Romain y a succombé d’une façon magistrale. L’idéologie catholique, qui n’est pas une religion, mais une doctrine politique comparable à la charia, s’est habilement drapée de la spiritualité chrétienne pour toujours faire le contraire de ce que préconise cette spiritualité, et in fine s’emparer du pouvoir politique. L’Islam prosélyte ne fait que suivre cet exemple historique.

Vouloir traiter les effets, qui peuvent être multiples et protéiformes, comme le voile, la burka, le burkini, la nourriture halal, les prières de rue et autres conditions d’enfermement et d’avilissement des femmes, n’est qu’une stratégie qui n’aura pas d’autre finalité que d'exacerber la tension des fidèles contre les infidèles, ainsi que de déplacer sans cesse le problème, comme une tumeur cancéreuse que l’on ne parvient pas à éradiquer et qui se propage par une multitude de métastases. Au lieu de tenter de remplir ce tonneau des Danaïdes, il vaut mieux chercher à déterminer la ou les causes, quitte à laisser temporairement de côté les effets. Mais en matière de contamination de radicalité religieuse, l’Histoire nous apprend, ne serait-ce que pour les deux milles dernières années, que l’angélisme benêt, pas plus que l’autoritarisme absurde et dévastateur ne sont des solutions à ce fléau ravageur. L’Empire Romain, malgré sa toute-puissance militaire, son organisation administrative et juridique rigoureuse en est mort. Depuis, l’Humanité a eu à subir la calamité des persécutions de cette sournoise méthode de conquêtes politiques dont les victimes se comptent par centaines de millions. La complexité et l’extrême sensibilité et subtilité du problème requiert une approche de même nature dans un mélange de connaissances, de fermes convictions et d’intelligence, ce dont peu ou aucun responsable politique ne s’en trouve correctement pourvus, et auquel il convient d’ajouter de la sagesse, ce qui parfois peut faire défaut lorsque l’on est dans le feu du combat barbare de la politique, le nez trop dans le guidon, comme diraient certains sportifs, où trop préoccuper par des intérêts, plus ou moins cupides, personnels.

Non seulement il faut remonter aux causes du problème, mais une fois cela effectué, il faut encore faire l’effort d’accéder au Principe générateur de cette ou de ces causes. Ce n’est qu’à partir de la véritable connaissance d’un Principe qu’il est possible de traiter les causes qui en découlent, et d’éradiquer les effets.

Travailler à partir du Principe reste la meilleure méthodologie pour aborder ce problème très différemment de tous les politiciens ignares (qu’ils soient de l’ENA ou pas, de droite ou de gauche) à courte vue et assez pervers pour jouer avec ce redoutable et terriblement dangereux sujet, et ce, pour des intérêts aussi vils, qu’égoïstes et irresponsables, sans se soucier de considérables préjudices et dégâts qu’ils font et feront subir aux peuples, desquels ils ont pourtant fallacieusement obtenu la confiance sur la vaine promesse de les protéger de ce qui a déjà eu lieu lors de conditions antérieures parfaitement similaires (guerres de religions, inquisition, croisades contre les hérétiques, Saint Barthélémi).

Donc, lorsque le Principe est identifié, comme je le pratique quotidiennement comme un yoga mental, et fait pratiquer sur mes différents sites, blogs et forums - dont aucun n’a de vocation politique au sens réducteur que lui donne la gent politicienne, qui s’en nourrit copieusement - il faut d’abord parvenir à une pensée juste. Mais cette justesse ne suffit pas (l’intelligence n’est pas une vertu, il peut y en avoir autant dans la pratique du bien que dans la pratique du mal, là encore l’Histoire le démontre). Pour agir efficacement sur un Principe, une pensée doit être juste en vertus. Vertus au pluriel, car une vertu seule devient inéluctablement un vice, le travers de toutes idéologies radicales.

En la circonstance, l’islamisme n’est pas radical, pas plus que le christianisme peut-être intégriste ou le bouddhisme fondamentaliste. Le Principe qu’il faut correctement identifier et nommer est celui du fanatisme et de l’intolérance religieuse, sans autre spécification nominative d'une quelconque religion. Et croyez-moi, il me serait très facile de démontrer que cela concerne presque toutes les grandes religions.

Ceci permet de rester sur un plan général plutôt que de se focaliser sur un domaine particulier comme l’Islam, qui n’est pas monolithique et comprend de très nombreux courants, dont le merveilleux soufisme, qui est à mes yeux l’un des plus lumineux qui soient. Bien que le Coran soit considéré comme ne comportant pas différentes interprétations, l’un des plus grands maîtres spirituels du soufisme, Jalaluddin Rumi, l’illustre fondateur de la confrérie des Derviches tourneurs, affirmait que les enseignements du Coran sont allégoriques, et que chaque verset a sept sens différents. Voilà de quoi donner une vision nettement moins monolithique, sectaire et étriquée de l’Islam.

Le Principe de laïcité républicaine ne cherche pas à lutter contre un aspect de telle ou telle religion.  L’Empire Romain, à ses origines, était l’exemple presque parfait de la tolérance en matière de respect des religions puisque l’Empereur (Pontifex maximus) était de plein droit la plus haute autorité pour toutes les religions de l’Empire vis-à-vis desquelles il devait veiller aux respects de leurs pratiques et de leurs rituels, sans aucune discrimination autre que celles qui pouvaient porter atteinte aux lois de l'Empire et à la tolérance religieuse. La République laïque française permet la libre pratique de toutes religions, et conformément aux dispositions de cette loi hiérarchiquement supérieure à toutes les autres, je veux parler de la DDHC de 1789, la liberté n’est possible que si des lois en définissent la pratique et que la justice (pas celle d’aujourd’hui, mais celle qui a le sens de ses responsabilités sociales) veille scrupuleusement à leur application et à leur respect en sanctionnant tous ceux qui en violent les règles.

Donc, pour en venir à la synthèse de ce qui précède, il me semble juste de préciser qu’un français de confession musulmane est d’abord un français. Mais il convient d'ajouter que la laïcité ne reconnait à aucune règles religieuses de supériorité à la loi. La laïcité doit donc combattre toutes formes de fanatismes et d’intolérances en matière religieuse, car sinon ce fanatisme finit invariablement par persécuter toute autre forme religieuse que la sienne.

Lorsqu’une pensée est juste en vertus, elle peut faire l’objet de tous types de sièges, elle devient inexpugnable.

Dans cette optique de faire barrage au fanatisme religieux, il serait bien de compléter la loi de 1905, par de futures dispositions législatives interdisant et condamnant sévèrement toutes formes de fanatisme et d’intolérance religieuse dans la sphère publique, mais aussi privée dès lors ou elle constituerait une atteinte aux Droits de l’Homme.

Dans cette loi pourrait figurer la définition du fanatisme et de l’intolérance religieuse comme :

- Le fanatisme et l'intolérance religieux sont contraires aux principes de liberté et d’égalité définis dans la Constitution par la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, et la violation de l’un de ces droits fondamentaux, doit être poursuivie et pénalement condamnée pour cause d’arbitraire.

- Les propos injurieux ou discriminatoires envers toutes autres religions ou personnes ou groupes de personnes agnostiques sont des manifestations d’un fanatisme et d’une intolérance religieuse contraire aux lois de la République et sont pénalement répréhensibles.

- Tous signes ou manifestations publiques pouvant être directement en relation avec un fanatisme religieux, soit par la confirmation des membres influents de cette religion, soit parce que cette pratique est notoirement associée à l’appartenance à une religion fanatique et intolérante, doit être considérer comme une forme de prosélytisme sectaire, et être pénalement condamnable sur ces simples et évidents critères objectivement constatables.

Si l’on est parvenu à faire condamner Dieudonné pour le signe bien satirique et sans connotation ni religieuse ni politique de la quenelle, qu’on ne vienne pas dire que cela serait stigmatisant pour les persécuteurs, les extrémistes de tous poils et les fanatiques.

- Toutes formes de violence, verbale, morale, sociétale ou/et physique effectuées par des individus, qu’ils soient fidèles ou appartenant à un clergé se réclamant d’un fanatisme religieux intolérant, doit faire l’objet de poursuites pénales et de lourdes condamnations.

- Il est formellement interdit, sous quelque forme que ce soit, de priver les adeptes ou fidèles d’une religion du libre droit de la quitter. Toutes dispositions réglementaires, verbales ou écrites, propres à une religion, qui contreviendraient à ce principe constitutionnel de liberté de pensée, de culte et d’opinions seront considérées comme l’expression caractérisée d’un fanatisme religieux. Tous ceux qui s’en réclament, et cherchent à contrevenir, par l’arbitraire, à ce droit fondamental sont pénalement et civilement lourdement condamnables.

- La République laïque protège la liberté de culte, la libre pratique d’une religion à condition que cette pratique ne porte pas préjudice à la liberté de ceux qui n’entendent pas supporter, dans l’espace public, les règles et rituels propres à ces cultes.

- Pour éviter tout risque de fanatisme religieux, les tenues vestimentaires spécifiquement et notoirement en rapport avec le fanatisme religieux, et portées dans les lieux publics, doivent être considérées comme une violation des lois constitutionnelles (DDHC de 1789) et comme une atteinte à la liberté d’autrui.

- Une religion étant une affaire de conviction personnelle et relevant du domaine privé, elle ne doit jamais ni s’opposer aux lois républicaines (Res Publica, ou chose publique), ni tenter d’imposer, par des moyens de pressions politiques ou financières un changement dans une organisation sociale, économique, culturelle ou politique. Toute tentative en la matière sera considérée comme la manifestation d’un fanatisme religieux.

Voilà brièvement, l’opinion que je souhaitais soumettre à l’aimable attention de ceux qui viendront en prendre connaissance. Elle est du même ordre que celle contenue dans mon livre  ( La Dictature à la Française) et qui rappelait, ce que nos politiciens corrompus ont oublié depuis longtemps : que s’il y a beaucoup de loi (hélas! trop) toutes ne sont pas nécessairement légitimes ni d’égale valeur, et si les lois constitutionnelles - que nos Magistrats ne savent plus faire respecter sans se tourner vers cette pitrerie de Conseil Constitutionnel -,  sont au-dessus de ces lois ordinaires, il y a la Loi des lois, celle fondatrice du pacte Républicain : la DDHC de 1789.

mercredi 21 septembre 2016

Un souhait pour l'Humanité

Prenez garde de ne pas déclencher la colère du peuple

Je souhaite que la Conscience de la normalité ambiante, qui constitue le plus grand nombre, cesse d’être bernée par les enfumages politiques, religieux et médiatiques.

Ce n’est pas le peuple qui doit avoir peur de ses gouvernants, ce sont les gouvernants qui doivent avoir peur de la légitime colère du peuple, si l'injustice porte atteinte à sa liberté, sa souveraineté et ses droits naturels et sacrés.

lundi 19 septembre 2016

La liberté n’est jamais un dû, mais une quête permanente.



Il y a des combats qu'il ne faut jamais perdre.

mercredi 7 septembre 2016

Un souhait pour l'Humanité.

Le mal fait à autrui finit inévitablement par revenir à son auteur comme un boomerang.

Je formule le souhait qu’un éclair de lucidité vertueuse fasse prendre brutalement conscience, à nos gouvernants corrompus, que ce sont aussi leurs enfants et les êtres chers qui leur sont proches qui seront les victimes de leur lâcheté, égoïsme et incompétence.

mardi 6 septembre 2016

Un souhait pour l'Humanité

L'immortalité existe, mais pas sans condition.

Je souhaite que des dirigeants de l’Humanité cessent d’être assez stupides et irresponsables au point qu’au lieu d’apprendre aux populations à vivre paisiblement ensemble, ils passent leur temps à vouloir les faire mourir ensemble sur les innombrables champs de bataille de l'Histoire, et toujours dans l’intérêt d’une extrême minorité d’individus cupides et ambitieux, et pour des causes artificielles aussi dérisoires que ridicules et insignifiantes.

L'immortalité est nécessairement dans l'acceptation du vivre ensemble.

dimanche 4 septembre 2016

Un souhait pour l'Humanité

Ne pas confondre le Bien et un bien.

Je souhaite que la volonté de Bien devienne enfin, pour l’humanité, une valeur de référence grandement supérieure à celle de l’accumulation compulsive, irrationnelle et profondément médiocre des biens et profits égotiques.

samedi 3 septembre 2016

Un souhait pour l'Humanité.

Les goulags des concentrations urbaines inhumaines.

Je souhaite que la Conscience des millions de personnes, subissant la situation involutive que leur imposent les grandes métropoles concentrationnaires, s’éveille au point de pouvoir constater les conditions de servage, d’isolement, de précarité et d’inhumanité qui fondent la normalité ambiante de ces grands centres urbains polluants, et si éloignés de nos racines naturelles.

vendredi 2 septembre 2016

Un souhait pour l'Humanité.

L'arbitraire est le fléau qu'il faut combattre pour rester libre.

Je souhaite que chaque individu, ayant le droit de vote, comprenne que la pratique de l’arbitraire est l’ouverture de la boite de Pandore qui renferme toutes les formes de corruptions possibles et imaginables.

L’arbitraire corrompt la justice en s’offrant le privilège de ne plus respecter les lois qu’il impose aux populations qu’il gouverne.

L’arbitraire corrompt la technostructure par la distribution de passes-droits, d’avantages indus, de concessions, prérogatives, exemptions, dispenses et exonérations de toute nature, mais surtout fiscales.

L’arbitraire corrompt le contrat social en le vidant de toute valeur morale et citoyenne.

L’arbitraire corrompt l’éducation, la culture et même l’Histoire.

L’arbitraire corrompt l’information, la finance, les données macro-économiques, les statistiques et l’économie dans son ensemble.

L’arbitraire corrompt les acquis de la civilisation dans ce qu’elle a de plus respectable et libérateur, en substituant aux plus vertueuses valeurs morales la violence, l’obscénité, le mensonge, la grossièreté, la bassesse, la crapulerie, le déshonneur et l’infamie.

L’arbitraire est la cause et la source du déclin et de la chute d’une civilisation, d'une nation, d'un peuple et de la corruption des consciences qui les composent.

Voter pour ceux qui ont pratiqués, pratiquent ou pratiqueront l’arbitraire c’est s’en rendre complice et coupable, lourde responsabilité karmique.

jeudi 1 septembre 2016

Un souhait pour l'humanité.

Le miracle du crapaud n'est qu'une élucubration politique

Je souhaite que le peuple comprenne que les dirigeants corrompus et incompétents, qui se font régulièrement élire sur des mensonges plus énormes les uns que les autres, ne vont pas se transformer, après une nouvelle élection, en parangon de vertu, en archétype de la probité, en paradigme de la justice.

Il n’y a que les ignorants et les benêts pour croire à ce genre de miracles. Cessons donc d’embrasser ces crapauds sur la bouche, il n’y a plus aucun espoir de les voir se transformer en prince charmant.

mardi 23 août 2016

Un souhait pour l'humanité

Je souhaite que l’humanité retrouve les lueurs bienfaisantes d’une justice, qui soit autre chose que celle généralement rendue par des individus sans conscience vertueuse, incompétents, corrompus et malveillants.

vendredi 15 juillet 2016

Quand le sage montre la lune du doigt, le sot regarde le doigt.


Le Premier Ministre nous a promis des attentats, pour une fois il va tenir ses promesses

Les victimes de Charlie hebdo, du Bataclan et de Nice ne sont que les dommages collatéraux d’une Nation dirigée par des fascistes corrompus que sont les USA.

De Georges W. Busch qui, pour faire une guerre coloniale à l’Irak, a inventé le plus monstrueux mensonge d’État, avec son complice Tony Blair, en passant par l’imposteur prix Nobel de la paix qu’est le pathétique Obama, celui qui a poursuivi en pire les actions militaires de son prédécesseur idiot congénital, et les supplétifs larbins que sont Sarkozy, le destructeur de la Libye, et Hollande le va-t-en-guerre contre la Syrie, et le protecteur des pétro-monarchies du Golfe, financiers de tous les mercenaires terroristes. Nous avons là, les principaux coupables et responsables de toutes les victimes d’attentats, se dénombrant par centaines de milliers, et que nous pouvons constater chaque jour sur nos écrans de télé.

Ils nous avaient promis de faire la guerre au terrorisme, soit ils démontrent leur incompétence, soit ils en sont la source.

L’hypocrisie des compassions médiatiquement scénarisées, et de fallacieuses cérémonies mortuaires en mémoires des innocents tombés à cause de leur incurie, leur manque de compétence et leur complicité criminelle, ne sont plus que des tartuferies qui déshonorent ces victimes et leurs familles, et est une insulte faite à la Nation, celle qui consiste à prendre les citoyens pour des idiots.

Quant à l’OTAN (Organisation Terroriste Américaine et Nazie) au lieu de dépenser des milliards d’euros dans la préparation d’une guerre contre la Russie, notre plus fidèle et efficace allié justement contre ce terrorisme, elle ferait mieux de se préoccuper de protéger les citoyens européens. Et si elle n’en est pas capable, alors qu’elle disparaisse, puisqu’elle a fait la preuve de son inutilité et de sa dangerosité.

Enfin, n’oublions pas Gladio, cette armée secrète de l’OTAN, qui est derrière de sombres machinations comme des attentas qu’elle fait attribuer aux groupes politiques qu’elle veut faire disparaitre, comme cela a été le cas de l’attentat de la gare de Bologne orchestré par une de ses succursales : la loge P2.

Pour que le Monde retrouve la paix, il est temps de dissoudre l’OTAN, et de désaméricaniser notre civilisation qui mérite mieux que cette dictature monstrueuse, de cow-boys vulgaires et grossiers, génocidaire et coupable de tant de crimes de guerre.

N’espérons pas que les politiciens corrompus, qui sont à l'origine de ce chaos, et se font élire sur des promesses fallacieuses, et dès qu’ils sont élus vendent (chèrement par ailleurs) les intérêts de notre Pays soit aux multinationales américaines (Golmans Sachs étant la plus féroce) soit aux pétro-monarchies, puissent être ceux qui soient capables de protéger les citoyens qu’ils appellent familièrement entre eux, et avec mépris et condescendance : les sans dents.

Le temps n'est plus très loin où ils iront rejoindre les poubelles de l'Histoire.

samedi 25 juin 2016

Dialogue N° 14 : La rédemption, la fidélité et la sincérité. (MAJ 16/07/2016)




Maître, comment puis-je obtenir le pardon de mes guides supérieurs, pour toutes les fautes commises lors de toutes mes réincarnations ?



Sois capable de pardonner à tous ceux qui se repentent sincèrement, non pas uniquement pour des faits qui te concernent personnellement, mais aussi pour des faits qui concernent autrui (l’Humanité), et tu comprendras comment fonctionne le pardon. Ce pardon ne doit pas s'entendre d'une façon naïve et irresponsable, mais doit rester parfaitement conforme au Dharma sans jamais contrevenir à l'ordre souverain des choses, ce qui suppose que tu saches discerner la sincérité du repentir de son apparence simulée. Car, s'il y a une chose qui soit définitivement incompatible avec le processus de rédemption c'est bien l'hypocrisie et la duplicité de pensée, et par voie de conséquences de parole ou d'action. 

La sincérité, dont il est ici question, est celle qui aligne parfaitement la pensée juste, la parole juste et l'action juste dans une indéfectible stabilité de correspondance, et dans la permanence de cet alignement. Il ne s'agit pas d'un repentir de circonstance et d'apparence, mais bien d'un serment de fidélité à ses convictions qui veut que lorsqu'il est acté rien ne puisse amener la Conscience à y renoncer. 

Sur le niveau d'évolution le plus élevé d'une Conscience humaine, chaque pensée qu'elle assimile, après en avoir éprouvé la justesse et la compatibilité avec ses valeurs morales, devient contractuellement un engagement que rien ne doit pouvoir venir profaner. Cette pensée, qu'elle soit formulée intérieurement où extérieurement, est un attribut caractérisant le volontaire engagement d'adhésion aux Principes du Dharma. Lorsqu'une Conscience n'est pas en capacité de respecter cette ascèse essentielle de son initiation qu'est le strict respect à ses convictions, dans la moindre de ses actions, elle déchoit rapidement de son état d'évolution le plus élevé sur chacun des plans et dans les trois Mondes. 

La fidélité à sa pensée, sa parole et à son action est la trame des fabuleuses épopées mythologique et mystiques du Mahâbhârata et du Râmâyana. Ce qui fait du roi Yudhishthira un Dharmaraja dans le Mahâbhârata, c'est justement son indéfectible fidélité à chacune  de ses pensées et de ses paroles. À l'inverse, ce qui condamne ses adversaires est le manque de probité morale les amenant inéluctablement à la duplicité de langage et les condamnant à subir la défaite lors de leur grande confrontation contre Nara et Nârâyana (Arjuna - fils d'Indra, et Krishna - Vishnou) sur le Kurukshetra. Même si l'histoire de Râma est très différente dans la forme, dans le fond le thème central est rigoureusement identique, puisqu'il repose sur la rigoureuse fidélité des engagements que cet avatar de Vishnou a pris vis-à-vis de sa rectitude morale allant jusqu'à se sentir obligé de respecter une très ancienne promesse faite maladroitement par son père le roi Dasharatha à une de ses épouses. Alors même que cette promesse a été obtenue par la ruse de cette épouse secondaire, et dont le respect strict de cette promesse le condamnait à faire perdre, à son fils aîné Râma, son droit légitime de succession au trône au profit de son demi-frère Bharata, le fils de cette épouse secondaire. Bien que toutes les lois, les notables, le peuple et le demi-frère Bharata étaient favorables à ce que Râma soit le Prince héritier - ce qui lui aurait permis d'aller à l'encontre de l'engagement de son père, qui lui-même était profondément désolé d'avoir à tenir cette promesse au détriment du Prince héritier -, Râma a refusé la succession pour ne pas permettre que son père soit parjure à sa promesse vis-à-vis des Mondes supérieurs. Ceci pour te faire comprendre l'importance qu'il y a, pour les plans et les Mondes supérieurs,  à être scrupuleusement fidèle à ses engagements, que ce soit vis-à-vis d'autrui ou vis-à-vis de soi-même. 

Donc, pour accéder à la véritable rédemption qu'est le pardon, encore faut-il être capable de connaître les exigences que requiert un repentir sincère. Il te faut savoir que toute violation de ce repentir sera considérée sur les plans karmique comme un sacrilège. Peu importe que tu sois le seul à le connaître dans le Monde physique dense, puisque sur les autres plans le fait sera inévitablement connu. C'est d'ailleurs pour cette raison que ceux qui ne respectent pas leurs engagements, qu'ils soient moraux ou verbaux, se condamnent à perdre la confiance de leurs semblables et celle des guides et protecteurs occultes des plans supérieurs. 

Pour en revenir à ta question, pour obtenir le pardon de tes fautes tu dois d’abord pratiquer le repentir sincère, selon le principe d'alignement indiqué précédemment, et que tu devras considérer comme sacré et définitivement inviolable. Le tout sous le contrôle du juge le plus implacable qui soit : toi-même. Et tant que tu tricheras avec toi-même, n'espère pas avoir la confiance des deva supérieurs.




Maître, par quel genre de fautes dois-je commencer à me repentir sincèrement ?






Il te sera difficile de te repentir sincèrement si tu n’es pas capable d’avoir ta propre Conscience des fautes commises. Les indications que je pourrais te fournir ne te permettraient que de singer l’apparence d’un repentir, sans qu’il ne contienne la moindre sincérité. 

Le rituel sans âme et sans qualité, qui n’est qu’hypocrisie et faux semblant, ne sera jamais de nature à abuser les Seigneurs du Karma et encore moins les Esprits subtils et clairvoyants des Consciences des plans et des Mondes supérieurs. Le processus de rédemption par le repentir sincère est beaucoup plus complexe et délicat à mettre en pratique que ne laisserait paraître la simplicité de sa formulation. La sincérité étant ici exigée comme condition sine qua non, doit être totale, complètement épurée d’artifices et de simulacres comme savent si bien en user l’ego et l’intellect raisonneur pour en donner une apparence trompeuse. Ce stratagème ne durant qu'un temps fugace, n’étant plus qu’une grossière imitation de la sincérité, n'abuse que la Conscience l'utilisant pour se mentir à elle-même. Cette sincérité, je crois utile de le répéter, ne doit pas être qu’intentionnelle (pensée), mais doit aussi être confirmée par des manifestations concrètes (paroles et actions), une régularité sans faille dans sa pratique et une absence de complaisances circonstancielles (excuses) auxquelles tu pourrais succomber par paresse ou manque de volonté et de rectitude. 

Comme je te l’indiquais dans ma précédente réponse, ta sincérité ne pourra pas se limiter qu’à ta personne, mais devra aussi se manifester dans le cas de fautes (inexactitudes, écarts, erreurs, imperfections, imprécisions, incorrections, manque de justesse et de probité, infidélité, irrégularités) que tu verrais commettre par d’autres individus, ou groupes d’individus et portant préjudice à autrui. Manifestation qui pourra s’effectuer au moins sous forme d'indignation. L’indignation et une opposition clairement manifestées à la complaisance, devant ces fautes et égarements issus de l’ignorance ou de vices assumés, et ne feront que valider, au « regard » des Consciences supérieures, la crédibilité de ta sincérité qui ne sera plus une formule creuse et frivole, mais une rectitude de comportement solidement ancrée dans ta Conscience de repenti, comme une valeur morale sacrée. Ne pas respecter scrupuleusement ce que l'on considère comme sacré, devient automatiquement profanation et sacrilège. 

Ceci te permet de comprendre la gravité karmique que peut comporter le  fait de se repentir un jour pour récidiver le lendemain. Cette gravité karmique se caractérisant par une perte de crédibilité de la part des instances spirituelles supérieures, et une nette diminution de leurs dons, leur assistance et leur bienveillance. Alors, à toi de faire ton propre inventaire de ce que tu peux, à l'aune de tes Connaissances actuelles, légitimement considérer comme des fautes dont tu acceptes d'assumer loyalement la responsabilité, afin d'en obtenir le pardon par un repentir sincère volontairement assumé. Et prends bien garde de ne pas confondre le repentir sincère avec autoflagellation, culpabilisation avilissante, stigmatisations déshonorantes ou apitoiement sur toi-même. 

Le repentir sincère n'est pas une punition, pas plus que le pardon est une récompense. Cela doit être simplement considéré comme une juste perception subtile de ta part,  de ces notions que sont le "Bien" et le "Mal",  et grâce auxquelles il te sera possible d'élargir considérablement ton champ de Conscience. Sans oublier que le repentir sincère est aussi un noble sacrifice, au moins celui de ton ego, et conformément à ce que j'ai déjà eu l'occasion de t'expliquer, le sacrifice lorsqu'il a cette forme spirituelle, est la meilleure oblation que tu puisses mettre sur l'autel de ta Foi et qui puisse avoir une possibilité d'être véritablement agréable pour les Esprits supérieurs officiants au service du Dharma.

Maître, je comprends qu’il m’appartient de discerner clairement les fautes dont je dois avoir sincèrement Conscience, avant que de m’en repentir, mais n’y aurait-il pas un ordre à respecter pour commencer la mise en pratique de ce processus ?

Si tu dois hiérarchiser la démarche de ton processus, je t’invite à commencer par ce qui me semble être la source de tout égarement, je veux parler de tes pensées. Comme l’indiquait si justement Lao-Tseu dans son Tao Tô King : 

En suivant la voie on trouve la voie. En se conformant à la vertu, on devient la vertu. Mais si on pense au crime, on recueille la honte du crime. C'est pourquoi l'action comme l'inaction traduisent l'invisible harmonie. Ou la foi est totale, où elle n'est pas. 

Ceci implique que la rédemption impose pour chacune des pensées, que nous avons décidé d’assimiler, qu’elle doive faire l’objet d’une analyse critique personnelle sans faiblesse, sans complaisance ni compromission. Soit nos pensées sont conformes aux règles d’éthique, de probité, de Connaissance, de rigueur, de justesse et de vérité, ainsi qu’aux vertus qui structurent nos valeurs morales ; soit elles ne le sont pas, et le repentir sincère sera de s’en séparer sans la moindre complaisance, même si cela doit radicalement modifier nos habitudes confortables, nos croyances rassurantes, nos certitudes intellectuelles et nos comportements sociaux grégaires. Soit nos pensées demandent à être sensiblement alignées sur une tonalité supérieure, et le repentir se manifestera par la volonté de la Conscience à s’y conformer sans le moindre laxisme. 

Lorsque tu auras identifié des pensées que ta nouvelle capacité de discernement subtile te permettra de juger comme mauvaise, il te faudra en plus tenir compte des actions que  tu auras commises lors des différentes mises en pratique de ces pensées s'étant révélées comme mauvaises. Je prendrai un exemple volontairement caricatural pour donner corps à cette réalité abstraite. Lorsque ceux qui pratiquaient l'esclavage, du temps où leur normalité ambiante en faisait une pratique courante et parfaitement légale, se sont retrouvés à devoir prendre Conscience du caractère profondément immoral et inhumain de cette pratique - lorsque des lois ont clairement stipulé l'abolition de cet asservissement dégradant -, leur repentir, pour être complet et sincère, devait passer par la condamnation de cette pensée qu'était la pratique de l'esclavage en libérant ceux qu'ils avaient encore sous ce régime, mais  ce repentir devait s'étendre aussi à toutes les personnes auxquelles ils avaient accepté de faire subir cette indignité humaine, les privant pendant de longues années de leurs libertés naturelles, sacrées, inaliénables et imprescriptibles. C’est uniquement par cette pratique exigeante, qui confine à l'ascèse d'un comportement juste et sans complaisance, que le repentir révélera ou non la profondeur et la crédibilité de sa sincérité. 

Ne plus accepter les petites apparences de vérités conventionnelles, qui ne sont qu'hypocrisie de convenance, est un des exemples de manifestation de la fidélité à son repentir et la marque de sa sincérité. Il faut aussi prendre garde à considérer que les règles de probité que l'on fait volontairement siennes ne doivent pas pour autant servir à l'aliénation des autres, ceux qui n'en partageraient pas le bien fondé. Pas plus que cela ne doit servir à porter un regard critique sur ceux qui, se complaisant dans la normalité ambiante illusoire, ne seraient pas enclins à souscrire à ces conditions éthiques libératrices. Seule l’exemplarité de ta fidélité à tes valeurs morales que tu offres en rayonnement doit te préoccuper. Ne pas respecter ces dernières modalités, serait de nature à redonner des pouvoirs aux asura guettant la moindre faille pour tenter de reprendre dans leurs filets une Conscience par encore en mesure d'avoir la Volonté de se libérer de ses travers, pour cause d'inattention. Et faire preuve d'inattention n'est jamais sans conséquence préjudiciable tant pour son auteur que pour autrui. L'inattention, voilà une des fautes les plus couramment commises, et dont peu de Conscience pense à se repentir sincèrement, d'où sa récidive régulière.





Maître, vis-à-vis de qui dois-je manifester ce repentir sincère ?






Ta question démontre que tu n’as pas encore bien assimilé toutes les subtilités du sujet sur lequel nous travaillons. 

Si tu cherches une tierce personne semblable à toi-même pour exprimer ton repentir, genre confession (privée ou publique, religieuse ou médicale) suivi d’actes de pénitence, alors tu retombes dans le rituel creux et sans consistance qui ne sert qu’à donner un illusoire alibi à ton ego afin qu’il se donne l’apparence d’une pseudo bonne Conscience, et un imaginaire et dérisoire pardon de ces fautes. Ce processus singeant le repentir sincère a pour conséquence quasi systématique de donner au récipiendaire l'envie de recommencer ses errements, puisqu'il a le sentiment qu'il va pouvoir s'exonérer des conséquences par ce simulacre de repentir. 

Les indulgences plénières - qui ont permis aux catholiques romains de récolter assez d'argent pour financer la construction de nombreux édifices religieux -, avaient plus l'aspect d'un vulgaire commerce que celui permettant une rédemption par repentir sincère. Le tueur, le voleur, le tortionnaire ou le malandrin savaient qu'il leur suffiraient d'obtenir, souvent en échange de simple quantité de monnaie, une indulgence plénière pour se voir absoudre de tous leurs péchés, y compris les plus vils et méprisables. Ceci constituait en réalité un encouragement à poursuivre dans la voie de la corruption de la Conscience puisque cette pratique, d'une grande perversité, donnait l'illusion d'une rédemption automatique et surtout systématique. 

Le clergé de l'époque, par sa complaisance coupable, devenait complice de ces forfaits, et entachait le patrimoine karmique de chacun de ses membres se pliant à ce détestable commerce du vice. La mauvaise Conscience pouvait s'en donner à coeur joie, puisqu'elle avait à sa disposition des toges d'apparentes vertus de rechange, dont elle pouvait se vêtir en contrepartie d'une partie de ses larcins, rapines, saccages ou pillages plus ou moins sanglants obtenus par la pratique du vice. 

Ton repentir tu dois te l’adresser à toi-même, et la pénitence, dont je t’ai tracé les grandes lignes dans ma précédente réponse, c’est encore toi qui dois te l’imposer et surtout l’effectuer avec la plus extrême rigueur. L'absolution tu la recevras, selon tes mérites, des échelons supérieurs en constatant qu'ils acceptent de continuer à te faire le Don de leur service bienveillant grâce auquel tu pourras poursuivre ton évolution. Ceci tout en considérant que le repentir sincère n’a rien à voir avec l’autoflagellation, la mortification, la stigmatisation ou je ne sais quel autre supplice plus ou moins barbare. La pratique régulière du repentir sincère est le moyen de remettre correctement l’évolution de la Conscience sur les bons rails de la rédemption (évolution). Je te rappelle que ce n’est ni une punition, ni un châtiment ni une répression. C’est juste un processus utilitaire, salvateur et protecteur de hiérarchisation de ses expériences, de leur alignement et de leur stabilisation effectuée par une Conscience devenue mature, volontaire et maîtresse de ses sens, Facultés et émotions. 

Le fait d'envisager d'avoir recours à une autre personne pour manifester ton repentir est aussi l'indication de ton faible niveau de Connaissance et de celui de tes propres responsabilités. Personne d'autre que toi ne pourra te permettre d'obtenir l'absolution. Ne crois pas pour autant que de ne dépendre de personne pour obtenir cette absolution soit plus facile. C'est même rigoureusement le contraire, car la moindre faille dans la sincérité de ton repentir te fera perdre automatiquement toute possibilité de rédemption de la part des membres de la Hiérarchie. Mais aussi cela installera au coeur de ta Conscience un sentiment de culpabilité ayant un lent et puissant pouvoir corrosif, et à la longue une possibilité d'autodestruction. Tu pourras constater, dans les faits objectivement observables, que ceux qui succombent à vouloir tricher avec eux-mêmes finissent inévitablement par corrompre leurs Facultés les plus subtiles, et s'égarent dans les méandres d'une involution uniquement gouvernée par Maya. 

Alors, pour en revenir à ta question, cesse de te préoccuper de chercher la personne à laquelle tu dois manifester ton repentir sincère, puisque la seule qui soit véritablement la plus habilitée à le faire, c'est toi ! Mais surtout n'oublies pas que pour être efficace tu devras strictement respecter l'adjectif qualificatif de : sincère. Après, soit la tonalité vibratoire de ce repentir sera suffisamment puissant pour s'élever vers tes guides et protecteurs des plans et des Mondes supérieurs, soit tu retomberas inéluctablement dans les turpitudes de ton ego et ton intellect raisonneur, prompts à t’accorder toutes les absolutions pourvu que tu poursuives la pratique de tes propres perversions.


Maître, ne serait-il pas plus conforme aux différentes traditions cultuelles d’adresser ce repentir sincère à une divinité susceptible de la recevoir et de la valider ?




Si cela peut t’aider dans ta démarche, pourquoi pas ! Mais si tu comprends correctement le schéma du processus que je viens de t’exposer, tu devrais y discerner que la pratique rigoureuse du repentir sincère, volontairement activé par la Conscience, comporte en elle-même tous les mécanismes qui permettent de valider l’accession à la rédemption. Là où les divinités auxquelles tu pourrais t’adresser ne feraient rien de plus ou de moins puisqu’il s’agit d’un processus d’auto-réalisation, dans le cadre des Lois Providentielles requérant obligatoirement une adhésion volontaire de l'officiant. 

Par contre, lorsque la rédemption s’active, comme je viens de te l'expliquer précédemment, alors les Consciences des plans et des Mondes supérieures en perçoivent la puissante tonalité vibratoire, et se prédisposent à satisfaire à certaines attentes de l’impétrant en répondant, sur le mode subtil vertical et intérieur, à ses interrogations, lui signifiant par la même occasion que cette manifestation vaut rédemption et implique la validation de l'absolution des fautes commises, et dont le repentir sincère a annulé les conséquences négatives. Conséquences négatives dont la principale a consisté en l’absence de possibilité de communications multidimensionnelles, pour la Conscience impie, avec les plans supérieurs. 

Ne te fais surtout aucune illusion, tu peux toujours espérer tromper tes semblables, ou toi-même sur la crédibilité de ta sincérité, tu n'abuseras jamais les Consciences des plans et des Mondes supérieurs. Si tu succombais à la tentation de vouloir le faire, tu serais alors dans une situation semblable à celle d'un jeune enfant faisant un gros mensonge du genre : je n'ai pas touché au chocolat, tout en ayant les babines enduites de sa gourmandise. 

Comme j'ai eu l'occasion de te l'expliquer, le repentir sincère n'efface pas la faute, il la localise dans un état de Conscience inférieur, ce qui permet à un état de Conscience supérieur de la considérer pour ce qu'elle est le trois quarts du temps : un enfantillage caractéristique d'une profonde ignorance, et d'en tirer les précieux enseignements. Un adulte regarde les bêtises de son enfance en les considérant pour ce qu'elles sont, sans pour autant se sentir accablé de remords dans sa situation d'adulte, puisque son repentir sincère ne les lui fait plus commettre depuis fort longtemps. Ce qui ne l'empêchera pas d'en appréhender l'inconvenance, la stupidité et les perturbations dommageables que cela aurait pu avoir sur sa propre évolution, si des adultes responsables ne lui avaient pas signifié, clairement et avec autorité, l'incongruité d'un tel comportement. Un père ou une mère ont probablement fait les mêmes bêtises que leurs enfants, ce qui ne les empêchera pas de veiller à ce qu'ils ne s'engagent pas dans une voie de perdition préjudiciable. 

Pour ce qui est des "divinités" auxquelles tu désires t'adresser, ne leur demande surtout pas d'être complaisantes avec tes vices et égarements, cela reviendrait à les rendre complices et à violer le Principe de Justice universelle, si elles venaient à te donner satisfaction en dehors de ces Lois. Justice universelle qui veut qu'il n'y ait aucun passe-droit ni aucune dérogation quant à la stricte application de Lois intemporelles et justes. 

Comme j'ai déjà eu l'occasion de te le dire, lorsque tu t'adresses à une "divinité", si les requêtes que tu manifestes sont constituées de pensées justes en vertus, elles recevront intégralement satisfaction. Il découle de ce Principe que dès lors où tu ne reçois pas satisfaction de ta ou tes requêtes, tu devras en tirer les enseignements, dont celui qui veut que tes pensées soient ou peu justes, ou qu'elles manquent de vertus et ne sont donc pas dignes d'être prises en considération, ou les deux.




Maître, encore une question sur le repentir. Quand dois-je le pratiquer ?





Je viens de te donner un début de réponse à cette question en t'expliquant comment tu dois t'adresser à une "divinité", mais manifestement elle demande à être complétée. 

Contrairement à ceux qui, par ignorance, ne savent comment se pratique ce rituel, je te rappelle qu'il ne s'agit pas de se repentir pour accéder à une rédemption occasionnelle pour tenter d'obtenir une compensation qu'elle soit émotionnelle, sensorielle, matérielle, intellectuelle ni même spirituelle. Ce serait là l'expression d'une grande perversité spirituelle sur laquelle je ne crois pas utile de revenir. 

Cette pratique du repentir, comme je te l'ai précédemment signalé, doit être considérée comme une ascèse constante que doit exercer aussi bien le novice, que l'apprenti-sage, l'initié ou le disciple. Savoir se repentir de ses errements de pensées, de paroles, de ses actions ou inactions, de ses inattentions ou de ses faiblesses au quotidien, reste le moyen le plus efficace pour tirer les meilleurs enseignements de ses propres expériences. Lorsque la pratique de cette ascèse est rigoureuse, constante et sans dessein de fortifier une personnalité égotique s'accommodant d'un petit commerce du donnant-donnant, alors elle est la source des plus puissants perfectionnements d'une Conscience spirituelle dévique. 

La Conscience ne se repent pas pour obtenir sa rédemption venant annuler toute sa responsabilité, et encore moins une récompense, mais c'est parce qu'elle parvient à la pratique du repentir sincère que sa rédemption ouvre le vortex lui permettant de franchir les niveaux supérieurs de son évolution. Ce vortex restera ouvert tant qu'il n'y aura pas la plus petite distorsion entre le repentir, sa sincérité et l'indéfectible fidélité de l'officiant à son serment de ne plus réitérer la faute, l'erreur, l'inattention ayant fait l'objet de la prise de Conscience de la réelle étendue de sa responsabilité, que ce soit sur le plan physique, intellectuel ou spirituel. Cette condition, pour être correctement respectée, implique une grande clairvoyance et un discernement subtil très rarement respecté sur le plan sensoriel et émotionnel. C'est d'ailleurs pour cela que le repentir pratiqué dans de mauvaises conditions ne produit pas ou que très occasionnellement l'ouverture du vortex de la rédemption. 

Lorsque ce vortex s'ouvre, lors d'une conjonction occasionnelle du repentir avec une véritable sincérité, il se referme tout aussi rapidement si cette conjonction n'est pas maintenue strictement dans les bonnes conditions. Ceci requiert, de la part de la Conscience, une attention rigoureuse et une vigilance sans faille. C'est ce qui fait dire que le sage ne se repent pas de ses fautes, mais de ses inattentions. Ceci répond à ta question du "Quand", puisque sur le plan spirituel le repentir fait partie de la pratique constante de l'ascèse, ou ce que les orientaux désignaient dans le Mahâbhârata par le terme d'austérités. 

Puisses-tu parvenir à ce niveau de pratique régulière du repentir sincère, car alors ton Parleur silencieux deviendrait intarissable, et tu n'aurais de cesse que de rester à son écoute attentive tant sa communication serait comparable, pour toi, à une corne d'abondance.



Maître, dois-je comprendre que c'est par la pratique de la rédemption que l'être humain peut espérer accéder à sa nature devique ?



C'est exactement cela ! Si tu accordes de la nourriture à un affamé, et qu'en retour il te mord la main, tu cesseras rapidement de l'alimenter, au moins tant qu'il ne sera pas venu manifester, par un repentir sincère, sa prise de Conscience d'un comportement irresponsable pour cause d'ingratitude. Si tu reçois une aide intellectuelle venant t'aider à résoudre de très difficiles problèmes sociaux, financiers, techniques, professionnels, scientifiques ou relationnels et qu'en contrepartie tu te montres incapable d'en apprécier la valeur que tu ne possédais pas, et sans laquelle tu aurais été incapable de résoudre correctement ton ou tes problèmes, ne t'attends pas à pouvoir en bénéficier de nouveau tant que par un repentir sincère tu n'aies pas obtenu la rédemption de ton comportement irresponsable pour cause d'ingratitude. 

Ce qui est de rigueur sur les plans physique et intellectuel l'est encore plus sur le plan spirituel. D'autant que si sur les plans inférieurs on peut se contenter de recevoir en contrepartie d'un simple remerciement, sur le plan spirituel il faut bien évidemment ne pas commettre la moindre forme de profanation. Par exemple, en étant dans l'incapacité d'apprécier à sa juste valeur les richesses les plus subtiles que l'on reçoit des plans supérieurs et que par aveuglement l’ego tente de s'en approprier les mérites et la créativité. 

Il faut aussi savoir honorer sa dette, pour les richesses reçues, en étant capable d'en faire don à son tour, dans les meilleures conditions requises (discernement, altruisme, discrétion et modestie) pour que ce don soit digne de servir d'oblation, servant d'acquittement de cette dette. 

Compte tenu de l'extrême subtilité et complexité de cette pratique, autant te dire que les erreurs de comportements, dans l'exercice de ton accession à la Connaissance, seront nécessairement nombreuses tout au long du processus initiatique. C'est là une chose normale, à la condition que tu saches tirer constamment les enseignements de tes erreurs et qu'en preuve de la bonne assimilation de ces enseignements, tu n'oublies pas de te repentir sincèrement pour neutraliser ces fautes et en obtenir rédemption consistant en une annulation des effets karmiques négatifs. 

Dans la continuité de ce processus, tu ne devras plus oublier, lorsque tu auras pleinement Conscience de la valeur de ce que tu as la chance de recevoir de la part de tes guides et instructeurs occultes, de les remercier pour leur aide et bienveillante générosité. Alors, progressivement tu passeras une à une les étapes les plus élevées de ta nature humaine, pour parvenir aux premières étapes de ta nature devique, et ce, grâce à l'ouverture, que tu devras maintenir par ta propre détermination, du puissant vortex de la rédemption. 

Je crois que sur ce sujet je t’ai donné suffisamment d’indications, et qu’il n’y a plus que par la mise en pratique que tu seras capable d’en générer de nouvelles qui puissent venir continuer à l’enrichir.


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Reprise des Dialogues entre le Maître et l'élève, début septembre 2016, si la Divine Providence le permet.




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mercredi 22 juin 2016

Note d’alchimie spirituelle N° 5





Qu'est-ce que la Vérité

La Vérité n’est révélée à la Conscience que très progressivement, selon sa capacité à en recevoir des fragments, et en fonction de l’amplitude de son champ de Connaissances. Chaque parcelle de la Vérité absolue n’est qu’une vérité plus ou moins relative qui n’est qu’une distorsion, plus ou moins grande, de La Vérité, se manifestant dans un espace de relativité générale.

La Vérité est un fait permanent, immuable et universel. C’est par la limitation des Consciences à la percevoir que cette Vérité est progressivement révélée à ces Consciences perfectibles, selon leur état d’évolution. Vérité dans laquelle elles baignent et grâce à laquelle elles peuvent exister et s’épanouir.

L’âme-de-vie ne peut recevoir la Vérité qu’en fonction de sa capacité à la percevoir et à l’assimiler. Cette capacité est déterminée par le niveau d’évolution de son état de Conscience ayant pour corollaire son niveau de Connaissance. L’état d’inconscience n’est pas une condition pour recevoir et assimiler la Vérité, pas plus que l’ignorance ne permet d’y accéder. Ce sont deux épais voiles qui protègent la Conscience des dangers de la puissante radiation qui émane de la Vérité, et qu’elle ne serait pas en mesure de supporter. Il faut donc que la Conscience accède à la Connaissance pour qu’elle puisse lever progressivement les voiles qui lui dissimulent les puissantes Lumières de la Vérité. Tout le schéma du processus évolutif impose à chaque Conscience de franchir, une à une, toutes les étapes de l’évolution, que ce soit au travers des différentes formes de manifestation, que des différents états de progression de chacune de ces formes. Si l’involution est le sentier allant de la Providence à la Conscience pour aboutir au Destin, l’évolution devra suivre le sentier qui va du Destin à la Conscience pour aboutir à la Providence et la nécessaire destruction des véhicules (formes) qui auront été utilisés pour y parvenir. Shiva est le Créateur, mais aussi le grand destructeur. Le schéma de cette évolution est inscrit dans la nature même des différentes formes de manifestation. Le symbolisme de ce schéma se caractérise par un début (enfance), un apogée (adulte) et un déclin (vieillesse). Tant que chaque étape n’est pas parcourue dans son intégralité, le développement ne peut se faire harmonieusement. Ainsi, une Conscience devra parfaire chacune des étapes de son évolution au sein d’une forme de manifestation, et ne pourra s’affranchir de cette forme, pour passer dans une autre plus évoluée, qu’après en avoir effectué intégralement le parcours physique (inconscience), intellectuel (maturité) et spirituel (sagesse), ce qui nécessite un nombre important de réincarnations.

Ce processus se retrouve en accéléré lors du développement de l’embryon, qui fait rapidement un résumé du chemin parcouru avant de se préparer à poursuivre l'ouvrage. Tant qu’une ou plusieurs étapes n’ont pas été intégralement accomplies, la Conscience devra sans cesse revenir (réincarnations) là où le travail est resté inachevé, ce qu’enregistre avec la plus extrême rigueur le patrimoine karmique. L’ordre souverain des choses reposant sur le Principe de la Justice absolue, il ne peut donc y avoir d’exception, de passe-droits ou de raccourcis. Chacun ne peut recevoir que selon ses mérites, et ne récolte que ce qu’il a préalablement semé, ce qui suppose sa capacité de pouvoir le faire.

Si la Vérité a un Pouvoir, c’est parce que cette Vérité est l’Énergie Vitale étant à la source de la Création et constitue son carburant universel et multidimensionnel. Une Conscience ne peut donc s’imprégner de cette Énergie Vitale qu’en proportion de sa capacité à la recevoir et la contenir. Trop de cette Énergie serait aussi destructeur, que pas assez serait sclérosant. Par ce processus évolutif de la Conscience, il est aisé de comprendre que la Vérité absolue reste immuable, mais que les vérités relatives, qui dépendent de l’état d’évolution de chaque Conscience qui les incarne, évoluent sans cesse. L’aspect de perfectibilité constante de la Conscience, au travers des expériences qu’elle effectue dans les formes de manifestation auxquelles elle parvient à s’identifier, selon ses capacités à pouvoir le faire, est le grand Principe (moteur) de l’évolution. Le carburant de ce moteur sera donc la quantité d’Énergie Vitale contenue dans les pensées, et cette quantité variera selon la qualité de celles-ci. C’est cette quantité qui déterminera le parcours (durée de manifestation) que pourra effectuer le véhicule/forme qu’empruntera la Conscience,  en rapport avec la réserve de carburant dont il disposera, grâce à la concentration que sera parvenue à stocker cette Conscience sous forme de Connaissances.

Cette Énergie Vitale, dans son aspect le plus pur et le plus puissant, n’est donc pas autre chose que l’ensemble des pensées du Divin Créateur, car selon le principe ésotérique bien connu, l’énergie suit la pensée, et la pensée produit la forme. Une Conscience exprime donc, dans sa forme de manifestation, la part de vérités relatives qui se trouvent en elle et constituent la quantité d’Énergie Vitale dont elle peut disposer. 

Mais si toutes les vérités relatives ne sont pas de même valeur, toutes les pensées ne contiennent pas la même quantité d’ Énergie Vitale. Il en est de même pour les pensées creuses, sans justesse ni vertus qui ne contiennent que la plus minuscule quantité nécessaire juste pour être brièvement exprimée, comme le ferait une bulle de savon.


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