dimanche 13 septembre 2009

La démocratie du bourrage des urnes, n'est qu'une dictature



L’écologie, la prochaine dictature politique.


La “démocratie” ayant atteint les limites de ses capacités de séduction des ignorants et des incultes, le temps de la véritable révélation de sa nature arrive rapidement.

N’oublions pas que dès ses origines en Grèce la “démocratie” s’est terminée en dictature de la ploutocratie. le présent scandale des banquiers apatrides de la planète faisant payer leurs erreurs de gestions, leurs magouilles spéculatives et leur cupidité sans morale par les contribuables de tous les pays, avec la totale complicité des dirigeants politiques, n’est que le résultat naturelle de cette “démocratie”.


Il est d’ailleurs tout aussi révélateur de voir que les élections américaines qui ont amené un certain Bush au pouvoir sur la base de contestations électorales semblables à celles que nous avons eues au Parti socialiste en France, - dont les dirigeants considéraient comme normal et naturel le principe du bourrage des urnes -, de voir que nous retrouvons ces pratiques tant en Afghanistan qui a bénéficié de l’apport d’élection “démocratique” sous l’autorité de la bannière étoilée, qu'en Irak. Comme nous les retrouvons dernièrement au Congo, qui se veut l’image des “démocraties” occidentales (modèle français)... Il serait peut-être judicieux de se demander si en vérité, depuis déjà des lustres nos élections démocratiques ne sont pas en réalité toutes complètement bidonnées...

Donc, le dogme de la “démocratie” étant de plus en plus éculé, il y a fort à parier que nos politiciens de tous bords, trouvent dans “l’écologie”, dont les dogmes sont tout aussi bidons que fantaisistes, une nouvelle forme de séduction du corps électoral, utilisant l’angélisme benêt des Nicolas Hulot ou des Yann Artus Bertrand pour se refaire une virginité politique et s’offrir un gisement considérable de taxes, impôts et autres contributions.

Quant aux écolos sincères, mais inconséquents et à courte vue, leur récupération politique est déjà en phase terminale, et les résultats qu’ils obtiendront seront à la mesure de leur naïveté, c’est-à-dire une aggravation des fléaux naturels auxquels ils auront contribué à ajouter un accablement fiscal populaire insupportable.

Non seulement il ne sauveront pas la planète (je suis prêt à prendre tous les paris sur ce sujet) comme leur incroyable vanité leur laisse croire, mais ils seront en plus les complices ignorants (enfin pas tous) de l’aggravation de la misère, de la servitude et des inégalités sociales.

Bien évidemment, comme tous les irresponsables, ils diront après : Ben c’est pas ce que nous voulions, on ne savait pas que le pire était certain, on a détourné la pureté de nos intentions...

Depuis les calamités sanglantes, du christianisme, jusqu’à celles du communisme, en passant, par tous les trucs en “isme” comme dogmatisme, la promesse des lendemains qui chantent s’est toujours terminée, par : l’enfer est pavé de bonnes intentions !

Il serait temps que la conscience populaire, cette fameuse souveraineté supérieure de la Nation, cesse de roupiller et qu’elle finisse par faire entendre sa voix, si toutefois il lui en reste une, ce dont je commence sérieusement à douter...



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vendredi 4 septembre 2009

La démagogie fiscale devient de la folie furieuse.




La taxe carbone ou le retour de la Gabelle...

Il y a quelques années, dans un écrit humoristique, je disais que nos technocrates des finances étaient si intelligemment absurdes, qu’ils finiraient bien un jour par créer un impôt sur le droit de respirer sous le prétexte que ce serait fiscalement rentable.

Avec la taxe carbone nous nous approchons dangereusement de la matérialisation de cette boutade qui de caricature, devient progressivement réalité. En effet, lorsque cette taxe carbone sera dans les faits, ce qui devient maintenant inéluctable tant elle paraît alléchante pour nos gouvernants voraces et totalement corrompus, il ne restera plus qu’à constater que la respiration humaine produisant du co2 (dioxyde de carbone) il deviendra donc normal et légal de taxer chacun d’entre nous soit forfaitairement, comme pour la T.V.A., soit en tenant compte de la capacité de la cage thoracique, ce qui imposera moult formulaires, déclarations et démarches administratives, pour être classé dans une catégorie plutôt que dans une autre... Ah, des formulaires de la paperasse, des obligations administratives, le miel des fonctionnaires et d’une technostructure totalitaire délicieusement asservissante...

Pour l’élaboration de ce projet de taxe carbone, nos dirigeants actuels ont fait appel à la personnalité la plus charismatique en matière de pensée technocratique fiscale, je veux parler de Michel Rocard, le père de la CSG, celle qui bouche les trous de la sécu sans jamais parvenir à l’empêcher d’en faire de nouveaux... Accessoirement on fait appel à cet autre technocrate expert en prélèvements obligatoires massifs, le bien nommé Alain Juppé, qui peut s’enorgueillir d’avoir brutalement instauré un prélèvement annuel de 100 milliards de francs pour, disait-il à l’époque..., réduire le déficit d’un gouvernement caractérisé par la gabegie outrancière... Résultat, après l’action de ce brillant énarque, comme il y en a hélas tant dans la classe politique, la France a non seulement toujours un déficit budgétaire, mais il est en plus trois fois supérieures à celui existant avant que n’aie lieu ce massif coup de massue fiscal...

Michel Roccard, cet apparatchik d’une gauche utopiste, irréaliste et chimérique, est dans la ligné des dirigeants politiques corrompus qui n’ont que pour unique dessein non pas de servir la Res Publica et les citoyens, mais la technostructure dont il est le serviteur stupidement zélé. La philosophie de cette technostructure se résume à : dépensons sans compter, les déficits seront toujours comblés par plus de fiscalité.

Seulement, voilà, depuis le temps que nos technocrates inventent des taxes et prélèvements obligatoires sous des formes les plus imaginatives qui soient, le seuil de tolérance et du raisonnable est depuis longtemps dépassé... La fumeuse journée de travail sacrifiée au bénéfice des personnes âgées (réactualisation de la mémorable vignette auto) n’est rien d’autre qu’un impôt grossièrement travesti en fausse générosité publique. Nous pouvons rajouter la tout aussi fumeuse taxe sur les billets d’avion pour sauver les victimes du SIDA, et qui ne fera rien de plus que nourrir des fonctionnaires et des privilégiés...

Heureusement est arrivée l’écologie, et nos technocrates y ont découvert qu’il s’agissait en réalité d’une extraordinaire boite de Pandore fiscale. Je vous tranquillise nos gouvernements corrompus n’ont rigoureusement rien à foutre de l’écologie, leurs actes ne plaide jamais en leur faveur, et les accointances, souvent douteuses et intéressées, qu’ils entretiennent avec les multinationales les plus polluantes de la planète démontre que là encore, le vice sait se déguiser avec la fausse barbe de la vertu et se draper dans la toge mitée des apparence de l’intérêt nationale, pour ne pas dire carrément le sauvetage de l’humanité, l’outrance en la matière n’ayant aucune limite...


L’écologie permet donc de produire presque à l’infini une nouvelle variété de prélèvements obligatoires : l’éco taxe. L’éco taxe pour le recyclage de machins et de bidules, l’éco taxe pour le recyclage des ordures que nous imposent les emballages superfétatoires des multinationales ; l’éco taxe pour les piles, les déchets informatiques, les appareils ménagers, etc, etc...

Pourtant nous avons tous sous les yeux l’exemple lamentable des taxes sociales qui devaient et doivent évitées le fameux trou de la sécu... Plus les prélèvements augmentent, et ce, sur une très longue période, plus le trou de la sécu augmente... Ne serait-il pas temps de se poser la question sur un remède qui ne guérit jamais le malade qu’il est censé remettre sur pied ?...

Ce qui vaut pour la sécu, vaut tout autant pour les déficits chroniques des finances publiques. Jamais dans l’histoire de notre pays les prélèvements obligatoires n’ont été aussi importants, et jamais le déficit public n’a été aussi grand que celui d’aujourd’hui... Ne croyez surtout pas que la crise y est pour quelque chose, puisque ce sont ces technocrates, qui ont corrompu la technostructure d’État, qui sont tous à l’origine de cette crise... Faudrait quand même pas avoir la mémoire courte, et jouer les victimes lorsque l’on est en vérité les principaux coupables.

La taxe carbone ne résoudra pas les problèmes de réchauffement climatique, seule la vanité de l’être humain peut laisser croire qu’il est en son pouvoir de résoudre ce qui le dépasse, et sur lequel il n’a aucun moyen d’agir... Le climat de la planète terre n’a jamais été ni stable ni régulier, il change selon des périodes au regard desquelles la durée humaine, prise individuellement ou collectivement, n’est qu’insignifiance et dérision. Tous nos gouvernants le savent pertinemment, et M. Claude Allègre a très bien résumé l’essence de la taxe carbone, impôt écologiquement inutile, économiquement imbécile, et socialement crétin.

Mais le gâteau est si prometteur que rien ni personne ne pourra empêcher cette imbécilité politique, économique et sociale, de devenir réalité. D’ailleurs, la gauche, la droite, le centre les écolos politiques, sont tous unanimement d’accord pour l’instauration de cette nouvelle Gabelle, probablement qu’ils ont gardé la nostalgie de l’ancienne...

Il y a fort à parier que dans la fouler, nous ayons la restauration de la vignette auto, disons pour sauver les limaces et les escargots victimes de la sècheresse due au réchauffement climatique... Ne riez pas, en matière fiscale le plus con est toujours le plus probable !

La seule chose qui serait sérieusement efficace et que nos gouvernants corrompus se refusent à mettre en pratique, c’est uniquement la réduction des dépenses publiques, mais autant demander à des mouches à M... de se séparer du pot de confiture.



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