vendredi 30 décembre 2011

2012, la fin d'un monde ?

2012, sera une année sans surprise...

S’il est une année où les voyantes et voyants de tous poils ont le moins de risque de se tromper, ce sera incontestablement l’année 2012, tant elle est clairement prévisible.

D'un point de vue de l'involution matérialiste :

L'année 2012 sera désolante et angoissante à plus d'un titre, et comme le disait dans une de ses fables Jean de Lafontaine :

Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés.

Il y aura autant de catastrophes géologiques et climatiques qu’en 2011, peut être même davantage.

Le tsunami économique et financier qui a commencé à toucher les rivages de notre pays va littéralement le ravager, ainsi qu’une grande partie de l’Europe.

Ce n’est déjà plus une prédiction, mais un quasi constat incontournable.

Les élections présidentielles et législatives seront sans surprise. Je veux dire par là, qu’il ne peut y avoir que des résultats auxquels les médias et commentateurs politiques de la propagande officielle ne daignent accorder le moindre intérêt, par exemple : d’un président ou d’une présidente élu par défaut, suivie d’une cohabitation avec le leader d’un parti politique n’ayant aucune majorité, juste une forte minorité à l’Assemblée nationale.

L’instabilité politique ne rassurant pas les marchés financiers, non seulement nous perdrons notre triple «A», mais nous avons toutes les chances de finir dans le sillage de la Grèce, et ce, eu égard au fait que la présidence Sarkozy aura laissé une montagne de dettes dissimulée sous différentes appellations hors bilan, ainsi que la perte de nos plus précieux actifs (comme l’or) que ce Président a d’ores et déjà intégralement gagé, pour faire que la France puisse prêter à des pays qui seront de toute façon insolvables.

La pauvreté et la misère vont s’accroître considérablement, suite aux ravages que la spéculation financière sans conscience, sans éthique, sans âme, répand sur l’ensemble de la planète et dont l’amplitude se révélera supérieure aux sept plaies d’Égypte.

L’instabilité politique qui s’est répandue dans un grand nombre de pays, sous le prétexte d’une démocratie d’apparence, qui est à la véritable démocratie ce que la fausse monnaie est à la bonne, servira de prétexte et d’alibi pour les forces fascistes, travesties en libérateurs, pour le déclenchement de guerres qui sont programmées depuis de longue date, et dont le scénario se déroule méthodiquement depuis plusieurs années, sans la moindre fausse note.

Le retrait des soldats US d’Irak et d'Afghanistan n’est que le signe avant-coureur d’une prochaine intervention en Iran, dont l’année 2011 a vu les préparatifs s’accélérer.

L’inflation qui était jusqu’à présent habilement camouflée par des statistiques officielles bidonnées, sera de plus en plus dévastatrice lors de cette année 2012. Le litre d’essence entre 2 ou 3 euros (ou sa correspondance monétaire locale, tant il est certain qu’il est appelé à disparaître) deviendra le prix normal. Une augmentation considérable des prix de l’énergie (gaz, électricité) suivra inéluctablement celui du pétrole. L’alimentation continuera d’augmenter dans des proportions de 20 à 25 %, dans le même temps où les revenus, salaires et retraites vont se trouver fortement diminués. Les médicaments seront plus chers et toujours de moins en moins remboursés, ce qui n'empêchera pas le trou de la sécu de grandir, ni les déficits d'Etat de s'accroitre.

Le surcoût considérable que nos prochaines participations militaires aux différents théâtres d’opérations de l’alliance (association de malfaiteurs) occidentale,  plongera davantage encore notre pays dans la récession et l’appauvrissement, car, et c’est aussi l’exemple que nous donne la Grèce, lorsque le pays est en ruine, ses dirigeants corrompus trouvent toujours les moyens d’acheter des armes et l'occasion de les utiliser...

Les troubles sociaux se généraliseront, mais là encore il n’est pas difficile de prévoir qu’ils seront parfaitement maîtrisés par les forces répressives qui ont anticipé, par une préparation tant juridique (lois scélérates) que matérielle, tous les scénarios auxquels la dictature devra faire face. Les États unis, après avoir pris dernièrement toutes les dispositions rendant leur Constitution obsolète, ont réussi à faire voter des lois permettant d’arrêter et de maintenir enfermé n’importe quel individu sans avoir à fournir de raison, ni même avoir besoin d’une décision de justice (plus de 600 camps de concentration sont déjà opérationnels)... La démocratie totalitaire sous la bannière étoilée est en train d’étendre son fléau sur l’humanité.

Les syndicats, dont on sait maintenant qu’ils sont si corrompus qu’ils ne se préoccupent plus de défendre les intérêts des citoyens, mais uniquement que gérer leurs intérêts financiers propres (expression qu’il convient de prendre ici comme un euphémisme), ne changeront pas de nature et d'éthique durant cette année à venir. Pas plus que les prétendus représentants du peuple, qui se foutent royalement de respecter et leurs promesses et leurs obligations envers ce dernier, leur seul souverain, mais poursuivront les magouilles de partis, de technostructures, et de corruptions institutionnalisées.

La répression des citoyens ordinaires se poursuivra tant par la multiplication des contraventions routières uniquement motivées par le rapport de gains que cela procure à un État en faillite, que sous forme de taxes, prélèvements obligatoires, impôts, dimes et gabelles de toute nature, avec à l’appui une justice implacable pour les faibles et les démunis, et bienveillante pour les escrocs de haut vol pratiquant l’abus de pouvoir, l’abus de bien public et le détournement et de fonds et de la légalité républicaine.

Le Conseil Constitutionnel, devenu un repaire de brigands, de repris de justice et d’aigrefins, continuera à bidouiller les comptes de campagnes électorales des camarades qui leur sont proches par le partage des intérêts, sans se soucier le moins du monde de défendre la Constitution dont ils se fichent complètement, et encore moins les droits de l'homme.

La justice sera de plus en plus muselée par un parquet entièrement inféodé aux dirigeants totalement corrompus. En plus d’être de plus en plus inefficace face à la profusion de lois scélérates ingérables, mal rédigées et paradoxales.

J’arrête là mes petites prédictions, je ne voudrais pas vous faire commencer l’année sur une mauvaise impression et le moral dans les chaussettes...

Vous comprendrez aisément qu’il serait cynique de ma part de vous souhaiter une bonne année 2012, sauf si vous êtes politicien, banquier, huissier, avocat, croque-mort ou syndic de faillite...

Tout ce que je peux sincèrement souhaiter, par compassion, aux profanes maintenus dans l'illusion de leur ignorance et de leurs croyances aveugles dans la démocratie et le progrès matérialiste, c’est que les calamités de 2012 vous épargnent le plus possible, ainsi que ceux qui vous sont chers.

D'un point de vue de l'évolution de Conscience :

Est-ce pour autant que cette année 2012 n'apportera aucun domaine de satisfaction, de réjouissance et d'épanouissement ?

Cette année 2012 s'annonce riche en opportunités susceptibles de faire progresser considérablement les Consciences individuelles et par voie de conséquence la Conscience collective.

Comme le dit fort justement un proverbe chinois :

Heureux ceux qui ont la chance de vivre en des temps troublés.

Les opportunités évolutives de la Conscience se trouvent toujours dans les périodes de crise. C'est face à l'adversité que l'être humain a la possibilité de faire la démonstration de ses vices ou de ses vertus. 

Par temps calme tous les matelots se croient légitimes à être le capitaine du navire, mais ce n'est que dans les plus fortes tempêtes que les véritables capitaines révèlent leurs capacités et compétences pour sortir le navire et l'équipage indemne de la tourmente.

Si l'année 2012 s'annonce économiquement désastreuse, cela n'aura que très peu d'effet sur les personnes qui sont parvenues à prendre une certaine distance avec le matérialisme régressif et dogmatique ambiant.

Si l'année 2012 est génératrice de peurs, qui est l'émotion servant à asservir les peuples, seuls ceux qui sauront dominer ces peurs resteront libres et sereins.

Si l'année 2012 se révèle pleine d'adversités, l'indifférence à ces adversités sera l'expression d'une des vertus Cardinale : la Force. Celui qui veut naviguer sur l'océan de la vie ne peut espérer le faire par temps calme et mer d'huile d'un bout à l'autre de sa traversée, ce serait là comportement de piètre matelot et/ou de naïf benêt. Ce n'est pas en se terrant au fond de son bateau que l'on affronte victorieusement le gros temps.

Le meilleur moyen que je connaisse pour rester indifférent à l'adversité, consiste essentiellement à se préoccuper d'abord de l'adversité qui frappe ses semblables et du moyen, même modeste, qui peut permettre d'apporter un peu de réconfort et de soulagement à autrui.

Les injustices, les méfaits des totalitaires, des escrocs, des criminels qu'ils soient le couteau entre les dents ou en cols blancs ; la cupidité, les lâchetés, les médiocrités et bassesses humaines qui ne manqueront de s'exprimer, tant les occasions pulluleront en cette année 2012, seront pour quelques rares bénéficiaires de ces opportunités une occasion permettant de manifester concrètement leurs qualités d'être (au détriment du paraître) par la pratique de vertus qu'ils exerceront volontairement en réaction à ces vices, si caractéristiques d'une fin de civilisation et, par là même, annonciatrice de la nouvelle.

N'oublions pas qu'une période de chaos précède toujours l'avènement d'une nouvelle Ère. Nous avons la chance de pouvoir vivre la sortie de l'Ère des Poissons et d'assister à l'ascension de l'Ère du Verseau. Ce phénomène se constate objectivement dans la longue Histoire des civilisations humaines

À tous ceux qui s'apprêtent à affronter cette année 2012 tourmentée avec une Conscience évolutive, je leur prédis une bonne, enrichissante, libératrice et lumineuse année. La fin de l'ère du gaspillage ne sera pas une calamité, mais une bénédiction pour la planète.

Le principe de la Justice Divine dispose que chacun reçoit selon ses mérites et ne récolte que ce qu’il sème... Cela vaut pour les individus, les familles, les Nations et les civilisations. Les uns étant inséparables des autres.

Cela ne sera pas facile, mais à vaincre sans périls on triomphe sans gloire...

jeudi 22 décembre 2011

Noël et la lente descente aux enfers...

Et si le Père Noël était véritablement une ordure ?

Lorsque la lecture profane l’emporte sur la lecture hermétique, cela concentre des forces négatives, au lieu de concentrer des forces positives.

Exemple : Noël dans sa lecture ésotérique,  qui, depuis la nuit des temps, est la fête consacrée au solstice d’hiver, la renaissance solaire, est aussi le principe de la renaissance de la Conscience humaine, ce microcosme fait à l’image du macrocosme. 

L’analogie entre ce qui est en haut et ce qui est en bas a toujours été admirablement symbolisée et ritualisée par cette période calendaire, et ce, bien avant l’avènement des religions du livre. La renaissance dont il est ici question est celle qui est caractérisée par le signe du zodiaque sacré : le Capricorne, symboliquement représenté par cette chimère d’un corps de chèvre se terminant par une queue de poisson... La signification ésotérique habituellement retenue pour la représentation symbolique de ce signe est : celle de la chèvre capable de gravir la montagne (la Connaissance) et celle du poisson capable de s’enfoncer au fond des abysses du vice et de l'ignorance...

Le Capricorne est aussi le neuvième signe après celui de la Vierge, dans le sens du zodiaque sacré, qui tourne à l'inverse de l'autre. C’est donc celui de la naissance du Fils cosmique après sa longue gestation. Ceci explique pourquoi nombre de religions font naître leurs avatars au solstice d’hiver...

Dans le sens ésotérique, Noël est la chèvre qui se hisse au sommet de la montagne.

La lecture profane, dont nous voyons les effets dévastateurs sur les Consciences et l’involution de notre civilisation, ramène cette haute tradition mystique à ce qu’elle a de plus vil et de plus dérisoire : la fête du commerce et la sacralisation du matérialisme, de la finance, de l'industrie et de la distribution de masse.

Ce n’est plus, comme le dirait William Shakespeare : « qu’une histoire dite par un idiot, pleine de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien.» 

Le père Noël est devenu le symbole d’une marque de Cola qui enracine dans des esprits immatures, et qui le resteront toute leur vie, l'idée que la satisfaction des désirs et de l’ego est l’Alpha et l’Omega de l’aspiration humaine. Que l’échange de babioles sans intérêts et sans conviction est la règle d'or des rapports humains. Que la goinfrerie orgiaque est le rituel d’initiation incontournable de la convivialité et du partage, alors qu’il n’en est que la corruption la plus dévoyée, celle du gaspillage et de la culture du vice. Que les rituels religieux, célébrés à cette occasion, et basés sur une anthropomorphisation de la véritable Connaissance mystique, sont de nature à sacraliser ceux qui s’y adonnent machinalement, alors qu’ils ne font que les maintenir dans une involution de plus en plus régressive et un obscurantisme désopilant.

Les résultats de cette lecture profane ne se font d’ailleurs jamais attendre bien longtemps. Dès le lendemain de cette fête, outre une bonne gueule de bois et des troubles organiques pour la plupart des convives, les poubelles débordent d’immondices, les sites internet spécialisés dans la revente des cadeaux crétins autant qu’inutiles sont en état d’ébullition. Chaque vendeur cherchant à tirer un profit sordide du don reçu. Les enfants gavés d’objets sans âme et d’une grande futilité, finiront par les entasser avec ceux des Noëls précédents, ne sachant plus ce qu’ils pourraient demander pour satisfaire des désirs artificiels et habilements distillés par les marchands du Temple de la consommation.

Alors, devant l’énormité monstrueuse de cette bacchanale sans joie, imposée par une organisation politique et religieuse, une majorité de ces profanes incultes ressent un malaise moral qui, s’il était laissé en l’état, finirait par être dévastateur pour les marchands du Temple. Aussi, pour palier à ce reste de Conscience par encore lobotomisée, il est offert un exutoire sous forme de quêtes aux caractères pseudo altruiste et humanitaire, permettant aux tourmentés de se refaire une apparence de bonne Conscience en faisant des dons de préférence financiers, mais en cas d’impossibilité, la pauvreté se développant rapidement sous nos climats, de faire des dons de biens matériels ou de servitudes bénévoles... C'est paraît-il préférable aux anxiolytiques...

Dans le sens profane, Noël est l’aspect Poisson du Capricorne, la descente du Christ aux enfers, le séjour des morts, le degré zéro de l'élévation spirituelle et de l'intelligence humaine... Une connerie !

vendredi 9 décembre 2011

L'EURO une imbécilité technocratique



Quand est-ce que l'on cessera de confier des responsabilités aux escrocs, aux technocrates irresponsables, aux incompétents vaniteux, aux corrompus avides et voraces et aux politiciens véreux ?




dimanche 20 novembre 2011

La révolution libératrice avance, lentement, mais inexorablement...



L'intumescence de la colère qui couve dans les peuples, annonce le prochain déluge pour les apprentis dominateur du Monde et leur  Nouvel Ordre Mondial de pacotille.

vendredi 18 novembre 2011

dimanche 6 novembre 2011

La connerie est-elle devenue universelle ?




Si, après ce que nous vivons en Europe il reste un seul crétin pour encore aller voter, alors c'est que plus rien n'est récupérable...

Les dirigeants européens viennent de faire l’éclatante démonstration que pour eux la «démocratie» n’est plus d’actualité et par voie de conséquence la souveraineté populaire...

Les élites s’autoproclament, ou se transmettent le pouvoir de façon oligarchique, elles décident en comité restreint et sans rendre compte qu’à leurs supérieurs des autorités étasuniennes...

Le gouvernement européen n’est plus là que pour amuser la galerie, organiser des séances photo avec les touristes de passages, et percevoir des enveloppes, fruit de leur vénalité, en plus de leurs grasses rétributions...

Le suffrage universel n’est qu’une plaisanterie servant de soupape de sécurité pour libérer le refoulement, les colères et les frustrations populaires.

Les gouvernants nationaux ne sont plus que des pantins à la solde des partis, qui eux-mêmes sont entre les mains des puissances financières et militaro-industrielles...

Le Président, faussement démocratiquement élu, tant il y a eu de magouilles pour que son élection soit possible et validée, ne se cache même plus d’être non pas le vassal, mais le laquais de son puissant mentor américain, avec lequel il se livre à une pitoyable pantomime médiatique pleine de grotesques servilités et de flagorneries à rendre jaloux Molière lui-même, pour ne pas avoir osé imaginer une pantalonnade pareille...

Les syndicats qui ne représentent plus qu’un corporatisme désuet, et des intérêts catégoriels, sont complètement déconnectés des réalités du corps social.

Les manifestants, indignés sur commande et victimes d'une propagande politiquement organisée, sont les derniers dindons d’une farce à laquelle ils ne comprennent rien depuis longtemps, si ce n'est qu'ils reçoivent moult coups de bâtons sur la gueule...

Le petit télégraphiste de Barak Obama qui s’est empressé de faire que la France réintègre l’OTAN, histoire de lui faire perdre son dernier périmètre de liberté politique, est celui qui nous a déjà impliqués dans des conflits, que même le peu glorieux Chirac avait su nous éviter. Il s’est solennellement engagé publiquement à défendre la pire des dictatures fascistes qui se prépare à plonger l’humanité dans un terrible conflit mondial en attaquant l'Iran, je veux parler d’Israël, ce minuscule pays, chiure de mouche dans le concert des Nations, qui ose prétendre qu’il contrôle et l’Amérique et ses dirigeants... Et a les moyens de démontrer la véracité de cette prétention par les nombreuses reculades qu’il a déjà imposées à ces dirigeants américains qui sont obligés de s'adresser à lui pour que le Congrès votent des rallonges budgétaires.

Le suffrage universel, qui sera très prochainement considéré aussi subversif que le nazisme, le racisme, le colonialisme et le communisme...

Les escrocs qui tiennent les banques centrales, la finance internationale, le FMI et les politiques fiscales et sociales de chacune des Nations occidentales qui sont devenues leurs filiales...

Que reste-t-il de ces peuples courageux qui se sont soulevés et se sont courageusement battus pour réclamer Liberté, Justice, indépendance et respect ?

Rien ! Leurs rejetons abâtardis ont été lobotomisés par la Télé, la propagande officielle (politique) et officieuse (médiatiques), leur addiction aux jeux vidéos, aux téléphones portables et toutes les béquilles électroniques qui remplacent cet organe que depuis les cavernes nos ancêtres utilisaient en tant que cerveau...

Les Grecs ont tué Socrate, les philosophes ne sont plus représentés que par le pitre de BHL, les économistes sont payés par les banques et donc asservis par elles, les politiciens ne sont plus comptables de leurs mensonges, corruptions, lâchetés et incompétences, les peuples sont corrompus tant par ignorance, faiblesse, égoïsme et trouille de se retrouver SDF...

Bienvenue dans la nef des fous, le spectacle va bientôt commencer, car le pire reste à venir...



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mardi 11 octobre 2011

Les tartuffes de l'euro ou le chaos...


Pourquoi et comment il est possible, autant que souhaitable, de sortir de la dictature de l’Euro, avant de se faire bouffer par les charognards de la finance apatride...

Les adversaires de ceux qui veulent sortir la France de l’Euro - parmi lesquels nous retrouvons la nomenklatura comprenant banquiers, gouvernants politiques corrompus, patronat et autres membres eurocrates de la technostructure fascisante -, prétendent péremptoirement que pour un pays sortir de l’euro serait d’une part, l’assurance d’une inflation spoliatrice pour les peuples, puisque la monnaie locale serait rapidement dévaluée par rapport à la monnaie européenne, et d’autre part, une ruine pour le pays ayant souscrit des emprunts en euros et devant rembourser en monnaie locale...

Admettons, provisoirement, comme hypothèse crédible, ces deux postulats.

Il découle naturellement que les conséquences d’une sortie de l’euro, doivent se confirmer par les avantages d’un maintien dans l’euro, et c’est là que pèche gravement le raisonnement fallacieux de nos escrocs européistes.

Nous avons sous les yeux l’exemple de la Grèce (le Portugal et l'Espagne ne sont pas mieux lotis) et nous pouvons constater que le maintien forcené et contre la volonté d’un peuple souverain, dans cette maléfique zone euro a déjà apporté une chute brutale (entre 20 à 70%, quand ce n'est pas le chômage) des revenus tant des travailleurs que des retraités.

Est-ce qu’une dévaluation aurait eu les conséquences aussi dramatiques que celles que nous avons sous les yeux et qui plonge chaque jour un peu plus, l’ensemble d’une population dans la misère et le désespoir ?

Les citoyens des ce pays ne parviennent plus à faire face à leurs charges de vie ordinaire même avec deux activités rémunérées.

Les jeunes, même les plus diplômés, n’ont plus que pour seule perspective l’exil et l’émigration.

Les malades, après avoir été ruinés, n’auront plus bientôt accès à leurs médicaments, même les plus essentiels à leur survie.

La corruption se généralise à une grande échelle parmi les fonctionnaires, suite à la réduction drastique de leurs revenus.

Le travail au noir se généralise, les paiements en espèces aussi, et ce afin d’échapper à l’insupportable pression fiscale que font peser les dictats de l’administration européenne et du FMI.

Alors, ayant vécu longuement dans une Europe avant que n’existe la monnaie unique, je ne peux que constater que les différents pays qui ont eu régulièrement recours à des dévaluations, n’ont jamais eu à faire subir avec une telle férocité un ensemble de calamités à leurs populations comme celles que nous pouvons observer pour le maintien forcené dans une zone euro. L’intérêt des populations n’est nullement pris en considération, seul compte l’intérêt des spéculateurs, des banquiers, des multinationales et des dirigeants corrompus jusqu’à la caricature. Ces dirigeants en sont à ne plus respecter ni leur propre Constitution, ni leurs engagements politiques (mais ça c'est presque la norme dans nos démocraties), ni les intérêts essentiels de la Nation qu'ils représentent...

Dernier détail, et non des moindres, sur cet aspect de la dévaluation ou le maintien dans une camisole rigide de contraintes extérieures. Dans cette dernière occurrence, comme nous pouvons le constater très objectivement, les populations sont sans espérance, quelque soit la tranche d’âge, alors que la dévaluation même si temporairement elle fait sensiblement baisser l’épargne et les revenus, ce qui reste sans commune mesure avec ce qui se produit actuellement en Grèce, en Espagne ou au Portugal, elle offre une formidable ESPÉRANCE.

Celle de permettre, par une activité propre à chaque pays, de se redresser par un sursaut de compétitivité, et d'effacer rapidement les aléas d'une dévaluation.

Deuxième postulat, celui de la dette libellée en euro...

Il me semble, si j’ai bonne mémoire, que personne n’a posé ce problème lorsque les pays de la zone euro ont basculé de leur monnaie nationale à celle-ci en présente déconfiture... Pourquoi, ce qui serait possible dans un sens, ne le serait pas dans l’autre ? C’est là un des mystères de la logique bornée de nos eurocrates.

Si, demain, la France décide qu’un franc = un euro et que les crédits souscrits en euros seront automatiquement reconvertis en francs (c’est bien ce qui c’est passé la première fois), les crédits ne seront pas modifié, sauf pour les spéculateurs qui joueraient le franc à la baisse, mais n’y a-t-il pas des mécanismes financiers pour se prémunir contre ce genre d’aléas monétaire ? Alors, que ceux qui ont prêté en euros se couvrent lors du basculement, c’est là ce que font toutes les grandes entreprises travaillant à l’international.

D’autant, et c’est peut être pour cette raison que l’on essaie de nous faire prendre des vessies pour des lanternes, il n’est pas exclu qu’une bonne partie de cette dette que nos créanciers extérieurs nous réclameraient, soit véritablement légitime...

Qu’il suffise de constater les infractions de la BCE, à ses propres statuts, ainsi qu’au pourtant illégitime traité de Lisbonne. Lorsqu’un pays recouvre sa souveraineté monétaire, il est parfaitement en droit d’exiger un audit sur la légitimité de sa dette, comme l’ont fait d’autres pays d’Amérique latine.

Quelle légitimité peut avoir la dette que souscrivent les fascistes au pouvoir en Grèce et qui empruntent à l’Europe et au FMI, pour acheter, actuellement, de l’armement aux Américains alors que le peuple se paupérise dramatiquement ?

Ceux qui prétendent que la sortie de l’euro serait une catastrophe pour un pays sont des fumistes et des imposteurs, pour les plus corrompus qui en tirent un profit évident, et pour les autres, des incompétents et des ignorants de la pire espèce...

Pour le moment ce sont ceux-là qui nous gouvernent...



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mardi 27 septembre 2011

En direct de la sphère Divine


Enfin la véritable solution à la crise

- Petitou : Pur Esprit global de l’ensemble multidimensionnel et intersidéral, salamalecs d'usage, prosternations routinières et tous les bidules habituels en vénération à ton immensité grandiose et sans limites… Aurais-tu la bonne bonté d'ouïr céans ton humble serviteur ?

- Grand TouT : Tiens, te revoilà infinité dérisoire dont je ne vois pas quel besoin j'aurais de ton service… Que viens-tu me seriner tes turpitudes ?

- Petitou : Grandeur inimaginable, je viens cause que, dans le monde des cavernicoles, dont j’ai l’honneur d’avoir été désigné comme délégué auprès de ton Êtreté sublime, il se passe actuellement un colossal merdier sur le plan politico-financièro-monétaire.

- Grand TouT : Comment pourrait-il en être autrement, insignifiante partie avancée de la sphère des calamités archétypales...

- Petitou : Oui, oui, je comprends, Amplitude sublime des horizons inconcevables, mais si par mon modeste intermédiaire, je viens te soumettre l’étendue du problème de mon humanité, c’est que justement elle est dans un tel état de dégénérescence au point qu’il n’y a plus aucun de mes semblables qui soit véritablement capable et d’y comprendre le pourquoi, et de qu’est-ce qu’il en est que ça peut devenir en pire, bien qu'ils fassent tous semblant de faire croire qu'ils y comprennent doctement quelque chose...

- Grand TouT : Que me narres-tu là, super mariole du zéro absolu de l’intelligence ? Je vous fais libre de faire selon votre bon plaisir, je mets à votre disposition les plus puissantes ressources de Ma Création, et tout ce que vous trouvez à en faire, c’est de tout transformer en ce qu’il y a de plus invraisemblable en matière de tragédie, de ruine et de chaos sinistre ?

- Petitou : Ben, Impérator de la charité et de la compassion sans limites, sans vouloir faire preuve de mauvais esprit, dans l’état actuel du désastre qui menace décomposition intégrale à tous les niveaux, même si tes saintes et sévères observations sont par avance légitimes, deo gratias, ça ne nous fera par sortir de la nasse merdique dans laquelle nos plus illustres et pédants cerveaux nous ont conduits, tant ils étaient certains d'avoir raison. Ne serait-il pas plus utile et surtout urgent de nous donner, ne serait qu’une seule, qu'une petite, mais une bonne, précieuse et divine solution pour que nous tentions de nous en sortir ?

- Grand TouT : Insondable inaptitude à progresser, hormis dans la régression, ne t’imagines pas que je perdrais une nanoseconde de mon ETERNEL Moment Présent à tenter d’essayer de vous sortir de votre insupportable manie à vous vautrer dans la fange de votre ignorance. Même si je dois à la vérité de dire que je suis quand même toujours très amusé de constater votre étonnante faculté à dépasser les limites, que l’on pourrait croire infranchissables, de votre incommensurable sottise.

- Petitou : Certes ! Grandissime rigueur morale absolue de la droiture céleste, mais je crois, sans trop m’aventurer, que, sur ce coup-là, si tu nous donnes un petit coup de main, nous pourrions sérieusement nous remettre sur le chemin de la rédemption...

- Grand TouT : Je n’en crois rigoureusement rien, éternel recommencement de l’auto-réalisation de la couillonnade infernale, mais comme cela n’est pas contraire aux lois justes de la Divine Providence, je veux bien accéder à ta demande, et te faire voir ce que vous avez pourtant sous le nez depuis toujours, même si je reste profondément convaincu que vous ne serez pas capable d’en apprécier la pertinence et d’en tirer les inépuisables richesses que contient la solution que je vais te formuler...

- Petitou : Un immense merci et moult offrandes de gratitude à ta Sublime et lumineuse Grandeur pour ton infinie générosité nourricière, que je m’apprête à accueillir comme Moïse recevant les Table de la Loi.

- Grand TouT : Comme qui ? Et recevant quoi ? Vous êtes toujours aussi délirants dans votre façon à vous servir de vos facultés, incorrigibles futilités frivoles et inconsistantes...

- Petitou : Fais excuse, mon Lumineux Processus intemporel de la sagesse ultime, c’était juste une référence à une de nos petites légendes de nos cavernes...

- Grand TouT : Surtout, impénitent verbiage creux et psychédélique, ne m’en explique rien, je préfère que vous gardiez vos fumisteries pour votre unique usage... Revenons à l’objet de ta demande, et tâche de répondre à mes questions avec clarté, franchise et sans périphrases superfétatoires.

Sur quoi repose ce que vous appelez le plan politico-financièro-monétaire ?

- Petitou : Vénérable perspective lointaine envisageable, c’est comme qui dirait une affaire d’argent, pas le métal, mais ce que nous appelons familièrement le fric, le pognon, l’oseille, le cash...

- Grand TouT : Stop ! Bavardage monstrueux, navrant et insipide, j’ai compris. Tu veux parler de la monnaie qui sert aux échanges...

- Petitou : Exactement Divine transcendance magistrale de l'hétérogénéité !

- Grand TouT : Bien évidemment tu ne veux pas parler de celle, universelle, solide et inviolable que je vous aie donné, l’Or ou l’Argent métallique, mais de celle que vous avez préféré vous confectionner sur du papier pour vous affranchir des règles qui en font la valeur intrinsèque… Peut-être parce que vous vous croyiez plus malin que les lois de la Providence ?

- Petitou : Ben vouai, Grand Argentier de l’univers, y a comme qui dirait du vrai dans ton analyse...

- Grand TouT : Vil représentant de l’engeance des pires camelots de la création, voudrais-tu me dire qu’il n’y a pas que du vrai dans ce que je viens de te dire ?

- Petitou : Si, si, Guide suprême de la haute finance indestructible. Ne te fâche pas je t’en conjure, nous avons déjà assez à faire avec le bourbier infâme dans lequel nous pataugeons depuis plusieurs années, et qui ne fait que s’aggraver au fur et à mesure que ceux qui, se prétendant compétents, viennent tenter d’y porter remède...

- Grand TouT : Passons, je n’ai pas que ça à faire, incorrigible membre de la secte de la chienlit héréditaire... Sur quoi repose la valeur de votre monnaie de singe ?

- Petitou : Heuuuu... Je ne comprends pas bien ta question, Puissant psychanalyste de la pensée humaine...

- Grand TouT : Vermiceaux des sacs de noeuds, ne te fais pas pire que tu n’es, c’est déjà bien insupportable comme cela. Réponds à ma question avec honnêteté et loyauté.

- Petitou : Ben, je dirai que comme au départ notre monnaie c’est que du papier, elle repose sur la confiance de ceux qui l’utilise envers ceux qui sont chargés d’en assurer la crédibilité, est-ce que c’est mieux là ?

- Grand Tout : Nettement, impénitent paresseux de la cervelle en état d'inactivité permanente. Donc, ce que vous osez appeler de la monnaie, ne repose que sur le seul et unique pilier qu'est la confiance... Je vais probablement te surprendre, mais après l’Or et l’Argent, c’est une des valeurs les plus solides qui soient...

- Petitou : Ben ça alors, comme on dit parmi nous : tu m’en bouches un coin, Suprême autorité de la banque universelle, distributeur des richesses impérissables... Alors pourquoi c'est-y que nous sommes dans la plus gigantesque pétaudière qu’ait connue l’humanité ?

- Grand Tout : Infinitésimale trace d’intelligence fossilisée, sais-tu sur quoi repose la confiance ?

- Petitou : Je ne voudrais pas dire des conneries, suprême dignité de la Noblesse monumentale et rayonnante, je préfère que tu m’en rappelles les critères.

- Grand TouT : Minuscule espérance de sagesse en échec chronique, sache que la confiance repose sur la vérité, l’honnêteté, la justice, la morale et la vertu.

- Petitou : Fort bien, Abondance prolifique de Bontés salvatrices, mais qu’elle est le rapport avec notre problème à nous les cavernicoles ?

- Grand TouT : Parcelle microscopique d’esprit englué dans de l'épaisse mélasse cérébrale, ne vois-tu pas que votre système monétaire qui ne repose plus que sur la confiance est en équilibre nécessairement instable. C'est grâce à cet appauvrissement que votre fausse monnaie est tombée entre les mains des escrocs, des menteurs, des tricheurs, des cupides, des incapables, des irresponsables, des immoraux et des vicieux de la pire espèce qui soit ?

- Petitou : Somptueuse Altesse de la splendeur illuminatrice, ce sont pourtant ceux-là qui jusqu’à présent se sont occupés du système monétaire mondial, et ils ont avec eux les plus grands experts de la corporation...

- Grand TouT : Incommensurable profondeur de la nullité, comment faites-vous pour confier à ceux qui sont à l’origine de vos déboires les plus calamiteux, le soin d’y porter remède ? Est-ce que pour vous, celui qui fait preuve d’incompétence est le mieux placé pour réparer les nuisances de son incompétence ?

- Petitou : Magnificience de la clairvoyance ultime, tu dirais quoi alors, pour la solution, au sujet de laquelle je viens te solliciter, présentement ?

- Grand TouT : Indigence congénitale de la raison déductive, il suffit tout simplement, pour restaurer la confiance, de remplacer les escrocs par des personnes honnêtes et intègres ; les menteurs par des personnes scrupuleusement attachées à ne dire que la vérité ; les tricheurs par des personnes loyales et respectueuses des règles ; les cupides, par des personnes altruistes et tournées vers le service désintéressé de la collectivité ; les incapables, par des personnes ayant fait la preuve de leurs compétences notamment en ayant été capables, bien avant les autres, de prévoir et d’annoncer les effets d’une cause infiniment ruineuse ; les irresponsables, et ils sont légion, par des personnes responsables et soucieuses de l’intérêt général ; les immoraux, par des personnes éthiques et scrupuleuses ; les vicieux par des personnes ayant la vertu pour guide et la justice pour pratique.

Et si vous y ajoutez un peu d’Or et d’Argent, je ne doute pas un instant que votre monnaie retrouvera entièrement son capital de confiance. J’ai répondu à ta question, que chacun reçoive selon ses mérites !

- Petitou : La vache ! C’est vraiment du lourd que tu nous donnes là, sublimissime et éternelle corne d’abondance, mais je ne suis pas certain que mes camarades cavernicoles y comprennent véritablement quelque chose, ni qu’ils aient vraiment envie de changer leur petit commerce avec la corruption généralisée, tant ils ont pris de mauvaises habitudes, du plus haut jusqu'au plus bas niveau de notre échelle sociale, pour remplacer leurs pratiques par cette voie de l’économie vertueuse.

- Grand TouT : Tu voulais une solution, tu l’as, quémandeur de billevesées, et je peux t'assurer que vous n'en avez aucune autre. Mais ce qui fait la valeur d’une chose réside uniquement dans l’utilisation que l’on est capable d’en faire... Fin de l’entretien sidéral.

- Petitou : Grandiloquentes gesticulations rituéliques, prosternations routinières et cabbalistiques, remerciements et offrandes somptueuses à ton inépuisable source de vie Grand TouT.

Jamais ils ne voudront mettre en pratique un processus pareil, me voilà bien avec ce genre de résultat. Ils sont foutus de ne rien y comprendre et de penser que je leur raconte des conneries... Déjà qu'ils ont été capables de crucifier un précédent messager venu leur rapporter les justes conseils qu'ils avaient pourtant longuement attendus et espérer, me voilà dans de beaux draps...

Ma parole ! On n’est pas prêt de m’y reprendre à être le délégué des cavernicoles velus auprès des instances divines... Non mais ! Sans blague ! J’ai droit, moi aussi, à une vie de famille...

Petitou, grand reporter à la gazette des cavernicoles, diplômé de l'Ecole Normale d'Amusement, membre de l'académie de la dive bouteille, docteur honoris causa de l'université des bacchanales, éminent membre de la confrérie des colporteurs du gai savoir.


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samedi 10 septembre 2011

L'autisme des gouvernements corrompus...


Dupont-Aignan explose le plan d'aide à la Grèce par dlrtv

Tout est dit, tout est pertinent, tout est d'une grande clarté, mais Sarko, le gouverneur du protectorat américain qu'est devenu la France, et ses sbires ne sont pas en place pour défendre l'intérêt général et le peuple français, comme le démontre implacablement leur entêtement à servir servilement leur maître à la bannière étoilée et sa ploutocratie apatride.

dimanche 4 septembre 2011

Les menteurs qui se présentent à la présidentiel...


Francois Hollande et la dette publique... par Super_Resistence

Bonne nouvelle ! la dette de la France est illégale, nous n'aurons donc pas à la rembourser...

mardi 30 août 2011

Les mensonges des politiciens.

Les Dindons de la fiscalité et de la gabegie des gouvernements corrompus : les pauvres !

En France, mais pas seulement, l’État qui prélève chaque année de plus en plus d’impôts, est de plus en plus endetté. Comme quoi il n’est pas nécessaire d’être un expert en économie (et il y en a pourtant beaucoup de ces tartuffes) pour comprendre que l’augmentation continuelle de la fiscalité n’a jamais été le remède aux déficits...

En France, mais pas seulement, il y a de plus en plus de chômage, de tributaires aux minimas sociaux, de travailleurs pauvres, et de classe moyenne en voie de paupérisation.


Mais, en France, il est de bon ton pour les "journalistes", agents de la propagande officielle et gouvernementale, de faire un parallèle entre l’augmentation de la pauvreté et l’augmentation de la richesse d’une petite catégorie sociale. Comme si ces plus riches allaient puiser cet accroissement de richesse dans l’escarcelle des plus pauvres... Une infamie et une monstrueuse immoralité, si cela était vrai, sauf que ça ne l’est pas.

Le surcroît de richesse des plus riches vient essentiellement du fait qu’ils ont la possibilité d’investir dans les pays émergents, et que cet enrichissement vient de l’étranger et non du territoire national. Grâce d'ailleurs à une politique fiscale qui favorise les délocalisations de toute nature...

En vérité, l’alibi qu’utilisent les gouvernements corrompus et qui consiste à dire on va taxer les riches, et ce depuis maintenant des décennies, n’est qu’une fausse barbe derrière laquelle se dissimule invariablement la taxation des classes moyennes et des catégories les plus défavorisées au travers des taxes indirectes (TVA, taxes sur le recyclage, taxes sur l’énergie, taxes sur le carburant, taxes sur les contrats d’assurance, dont les mutuelles) et de cotisations (CSG, RDS, SECU, RETRAITE etc...)

Alors, il faut le dire clairement et sans aucune ambiguïté, l’augmentation de la pauvreté est directement liée à l’incurie d’un État qui ne sait que dépenser toujours plus, sans jamais penser à réduire le niveau de ces dépenses, pourtant le seul remède à l’endettement et au cruel développement de la pauvreté dans ce pays, mais pas seulement. Depuis toujours il est historiquement aisé de constater qu'une population est riche, à tout le moins aisée, lorsque l'État est pauvre, et inversement.

Nous n’avons pas de quoi empêcher le développement de la pauvreté, mais nous avons de quoi envoyer des troupes en Afghanistan, en Afrique, au Liban ; de faire la guerre à la Lybie, de faire des grandes messes type G20, G7, et autres mascarades qui coutent des fortunes pour rien, de verser 240 millions d'euros au sieur Tapie. Nous avons toujours de quoi venir au secours des banquiers véreux qui se sont livrés à des carambouilles frauduleuses méritant non pas le secours des contribuables, mais la prison et l’infamie publique pour escroquerie, abus de confiance, abus de biens sociaux et de biens publics. Eux qui ne se privent jamais de faire subir ces châtiments aux malheureux entrepreneurs faisant de malheureuses affaires, bien souvent à cause du fait que sa banque lui supprime, pour des raisons de simple cupidité, son encours de crédits...

Lorsque les pauvres et les classes moyennes auront compris que les boucs émissaires de leur calamité ce ne sont pas ceux qu’on leur désigne comme étant les riches, mais essentiellement et uniquement les GOUVERNEMENTS CORROMPUS AGISSANT DE FAÇON ILLÉGITIME, alors peut être que nos insolents dirigeants commenceront à sentir, comme Ben Ali, Moubarak et consorts, se lever le vent mauvais de la révolte contre cette dictature mafieuse...



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dimanche 14 août 2011

Sont-ils véritablement morts pour la France ?


Lorsque les gouvernements scélérats tentent de faire passer la défense des valeurs de la corruption pour un champ d’honneur...

Les plus hauts responsables de notre République bananière, en costume sombre et mine hypocrite de circonstance (de quoi faire pleurer margot dans sa chaumière), viennent nous refourguer avec leur habituelle arrogance emphatique, sur les principaux médias aux heures de grande écoute, que les derniers soldats de notre «brillante» armée, comme les précédents, sont morts en Afghanistan pour la France, décoration posthume, minute de silence, sonnerie aux morts et hymne national à la clé.

Bien que la caste de nos politiciens se complait dans le mensonge, la propagande, l’affabulation et la langue de bois - considérant probablement que c’est là le discours le plus adapté au peuple crétin qu’ils entendent berner et gouverner -, ce n’est pas pour autant que leurs bobards, malgré les artifices, les duplicités et les simulacres transformeront une réalité accablante et peu glorieuse, en vertu et vérité.

L’armée, qui n’est plus depuis déjà longtemps l’armée de la Nation au service du Peuple, pourtant son seul souverain, mais uniquement une force militaire ignorante de ses devoirs républicains, et aveuglément asservis à une technostructure totalitaire, a pour règle première l’obéissance aveugle à ce qui s’autoproclame comme l’autorité supérieure.

Nos dirigeants, si peu assurés du soutien populaire, tentent de se prémunir en préparant cette armée à sa solde à intervenir, y compris par des tirs à balles réelles sur les manifestants, ce que prévoit et le fallacieux traité de Lisbonne - qui n’a aucun cours légal sur le territoire français -, et le décret discrètement publié par le Journal officiel le 1er juillet 2011.

La hiérarchie militaire n’a aucune véritable connaissance et de la Constitution et du contenu de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 - qui n’a d’ailleurs pas d’application au sein de nos armées -, est incontestablement la plus mal placée pour apprécier le bien-fondé des ordres auxquels elle croit devoir obéir aveuglement. Croire un seul instant que cette armée, normalement celle du Peuple souverain, va combattre en Afghanistan pour la défense des Droits de l’Homme, est une pantalonnade qui en dit long sur l’ignorance de nos gradés et le faible niveau de Conscience morale et d’éthique qui règne dans cette corporation à tous les niveaux.

Non seulement nos militaires ne vont pas défendre les Droits de l’Homme et la Démocratie, dans ce pays lointain, mais il est clairement établi qu’ils vont soutenir et protéger l’un des gouvernements parmi les plus corrompus de la planète, dont Hamid Karzaï est la figure emblématique de la maffia locale, et la marionnette d’une Amérique qui ne conçoit la «démocratie» que sous sa puissance tutélaire dominatrice et asservissante.

Nos soldats ne vont pas davantage lutter contre un pseudo terrorisme, dont il est par ailleurs avéré qu’il a pour origine et les services secrets américains, et les sombres et crapuleuses stratégies de déstabilisation utiliser par un Pentagone ayant depuis longtemps intégrer toutes les crapuleries dans ce qui est considéré comme l’art de la guerre moderne.

Nos soldats ne vont pas défendre la démocratie en Afghanistan, car les dirigeants actuellement en place n’ont été élus que par des élections hautement truquées, et sont toujours en place, malgré de nouvelles élections encore plus truquées au point que les résultats ne sont toujours pas rendus publics, de nombreux mois après le scrutin. Tout le monde (y compris les dirigeants des pays intervenant militairement), sait que les dirigeants corrompus de l’Afghanistan sont parfaitement illégitimes et qu’ils se maintiennent en place uniquement et grâce aux forces militaires d’une coalition qui n’intervient que pour de sordides préoccupations stratégiques, financières et matérielles.

Nos soldats ne sont pas plus en Afghanistan pour défendre je ne sais quelque intérêt vital à la Nation, ou pour protéger une communauté de ressortissants qui se trouverait en danger. Ils sont sur le théâtre d’opérations pour combattre des autochtones qui revendiquent la pleine souveraineté de leur territoire, pour les résistants d’origines. Pour ce qui concerne les talibans, n’oublions pas qu’ils sont à l’origine l’émanation des services secrets pakistanais, agissant de concert avec les services secrets américains, dans le dessein de contrecarrer les ambitions hégémoniques de l’ex Union Soviétique.

Nos soldats ne sont donc pas là-bas pour défendre les intérêts du peuple français, ils ne sont pas là-bas pour défendre les Droits de l’Homme, ils ne sont pas là-bas pour défendre la démocratie, pire, ils ne sont même pas là-bas pour défendre la liberté...

Comment puis-je affirmer cela ?

Tout simplement en partant du plus élémentaire bon sens commun qui veut qu’il ne puisse y avoir de liberté sans justice, et la justice en Afghanistan se résume à ce qu’il y a de plus totalitaire et de plus barbare : la loi du plus fort et du plus riche.

Nos soldats ne sont donc pas morts, et ne vont pas mourir, pour la liberté ni pour les Droits de l’Homme, ni pour la démocratie, ni pour la défense des intérêts de la Nation, ni pour protéger nos ressortissants, ils sont morts pour de sordides et cupides intérêts d’une caste d’apparatchiks au service et totalement dévoués aux puissances d’une finance apatride et vorace au point de ne jamais s’embarrasser de morale, d’éthique et du respect des droits des individus et des états indépendants.

Non ! Monsieur le président, les soldats de votre armée protégeant votre dictature ne sont pas morts pour la France, et surtout pas au champ d’honneur.

Le Peuple de France s’est vu imposer, sans qu’il ne soit jamais consulté, cette guerre injuste pour des raisons inavouables et en faveur de laquelle il ne se serait jamais prononcé, si, comme il aurait été normal que cela soit, il avait été régulièrement consulté.

S’ils ne sont pas morts au champ d’honneur et pour la France, pourquoi sont morts ces soldats, pour qui et pour quel déshonneur ?




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mardi 26 juillet 2011

Lorsque le sage montre la lune du doigt, le sot regarde le doigt...


Attentats en Norvege: Contradictions,Mensonges,... par tribe57

La puissance de l'explosion à Oslo est estimée à un équivalent de 10 tonnes de TNT. Il n'est pas certain qu'elle se trouvait dans une voiture. Une bombe dans une voiture n'aurait que 1% de la puissance de l'explosion d'Oslo.

Les jours précédents des égoutiers auraient été à l'oeuvre [comme à Oklahoma et le 11 sept. 2001].

Pour obtenir une explosion comme celle d'Oslo, il eût fallu 20 tonnes d'engrais et de gazoil.

mercredi 13 juillet 2011

Exemple caractérisé de la Dictature à la Française

Appel sur Médiapart – Affaire Tapie: à ceux qui n’y croient plus

12 Juillet 2011 Par
Si nous perdons devant le Conseil d ’Etat, ce ne sera pas parce que nous avons tort sur le fond de cette affaire, puisque la substance même de notre recours est désormais totalement occultée.
Avec son confrère Philippe Lhomme et le député centriste Charles de Courson, Geneviève Sroussi est l’un des deux avocats qui, en qualité de contribuable, a introduit un recours pour excès de pouvoir visant Christine Lagarde dans l’affaire Tapie, que le Conseil d’Etat a examiné lundi 11 juillet. Elle lance sur Mediapart un appel à «à ceux qui n’y croient plus».
En octobre 2008, Philippe Lhomme et moi-même avons introduit un recours devant le Tribunal administratif de Paris, à l’encontre de l’Etat, pour voir annulées les décisions du ministère de l’économie et de l’EPFR (Etablissement Public de Financement et de Restructuration) de ne pas s’opposer au recours à l’arbitrage dans le litige opposant les liquidateurs du Groupe Bernard Tapie au CDR (Consortium de réalisation).
Ce recours a été introduit avec l’intervention active du député Charles de Courson.
Contribuable depuis plus de 25 ans, je trouve légitime et fondé d’assumer une contribution financière, notamment par le biais d’un impôt sur le revenu, afin que soit assuré le principe de solidarité entre tous les citoyens français.
En revanche, je trouve illégitime de contribuer, par mes revenus, à assumer financièrement les conséquences d’un litige d’ordre purement privé et commercial au seul motif –totalement insuffisant– qu’au moment des faits, le Crédit lyonnais était une entreprise nationalisée.
Dans un contexte aussi fortement politique, j’étais et je reste particulièrement consciente de la faiblesse des chances de succès d’un tel recours.
Le premier objectif de ma démarche était, avant tout, de comprendre dans quel contexte l’Etat français avait été capable d’engager ma contribution à l’impôt, notre contribution à tous, sans aucun contrôle à quelque niveau que ce soit.
Or, cette procédure administrative m’a permis d’avoir confirmation des conditions anormales dans lesquelles ce processus d’arbitrage s’est enclenché.
Aux termes d’un rapport particulièrement circonstancié (n°59631), la Cour des Comptes révèle de multiples dysfonctionnements dans les relations entre l’EPFR, établissement de droit public et sa filiale, le CDR, société prétendument de droit privé, et filiale à 100% de l’EPFR.
Dans le cadre du «fameux» vote de l’EPFR intervenu le 10 octobre 2007 et tendant à ne pas s’opposer au recours à l’arbitrage, il résulte notamment de ce rapport:
• une absence de remise aux administrateurs de l’EPFR, lors de sa séance du 10 octobre 2007, du texte du compromis d’arbitrage «Adidas Tapie» alors même que c’est justement lors de cette séance qu’il leur était demandé de voter sur l’opportunité ou non de recourir à un arbitrage
• une absence d’information du conseil d’administration de l’EPFR de la clause du compromis relative au «plafonnement» (sic) du préjudice moral à 50 millions d’euros
• la violation d’un protocole en date du 30 janvier 1998 règlementant les relations entre l’Etat et le CDR et aux termes duquel il était clairement spécifié que l’Etat n’interviendrait pas –à quelque niveau que ce soit– dans la conduite opérationnelle du CDR.
Or il est reporté textuellement, dans le rapport de la Cour des Comptes, que «dans la gestion du dossier ADIDAS TAPIE des contacts directs ont eu lieu entre le Cabinet du ministre et le Président du CDR les positions étant ensuite entérinées par l’EPFR sur la base des instructions données par le ministre».
Bien plus et enfin, le vote de l’EFPR du 10 octobre 2007, décidant de ne pas s’opposer à la mise en place d’un arbitrage par le CDR, ne devenait effectif qu’à la condition impérative d’obtenir un accord écrit du Crédit lyonnais sur une prise en charge financière forfaitaire de sa part «avant régularisation du compromis et engagement de la procédure d’arbitrage».
Il s’agissait donc d’une «non opposition» à l’arbitrage, mais sous condition résolutoire d’obtenir cet engagement du Crédit lyonnais.
Cet accord n’a pas été donné.
Pour contourner cet obstacle majeur, le ministre de l’économie demandait alors au Président de l’EPFR, par courrier du 23 octobre 2007, «d’interpréter» cette condition suspensive de telle manière que l’accord du Crédit lyonnais soit obtenu «avant le prononcé définitif de la sentence» et non plus «avant engagement de la procédure d’arbitrage».
Et l’on constate ainsi qu’interpréter peut signifier dénaturer.
Le Crédit lyonnais persistera à ne pas donner son accord.
La procédure d’arbitrage s’est pourtant et «tranquillement» ouverte sur des bases intrinsèquement dévoyées et juridiquement irrégulières.
Le second objectif de ma démarche était et reste de tenter d’infléchir le Conseil d’Etat qui, inlassablement depuis 1930, juge irrecevable le recours de tout contribuable ayant pour objet d’attaquer des décisions portant sur des dépenses irrégulières lorsqu’elles sont prises au niveau national.
Notre recours est fondé sur l’article 14 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, aux termes duquel «les citoyens ont le droit de constater par eux-mêmes ou par leurs représentants la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d‘en suivre l’emploi…»
Pour juger notre recours irrecevable, la Cour administrative d’appel de Paris avait considéré que ce texte fondateur ne permet au contribuable d’agir que lorsqu’il s’agit «d’impôt» et non de «dépense publique».
Or, il ne peut y avoir une dépense publique… que s’il y a justement en amont un impôt pour la régler.
C’est bien parce qu’elle est financée au niveau national, régional, départemental et local par tous les contribuables français que la dépense publique peut exister!
Dans l’affaire Adidas/Tapie et dès lors que nous participons, avec nos revenus, au financement de cette dépense «publique» exorbitante, il est pour le moins légitime d’obtenir des explications sur son bien fondé.
C’est dans ce contexte que cette affaire a été plaidée lundi 11 juillet devant le Conseil d’Etat.
Deux éléments sont à retenir:
• la rapidité étonnante avec laquelle la haute juridiction a fixé son instruction à son audience ce 11 juillet sans même nous laisser le temps de répliquer au mémoire de l’Etat et à celui récemment déposé par Bernard Tapie qui s’est «invité» à cette procédure administrative «en présence de l’Etat»
• les observations du rapporteur public qui conclut à l’irrecevabilité de notre recours dans le droit fil de la position de la Cour administrative d’appel, ce qui lui permet ainsi de ne pas aborder le fond du dossier
En première instance, en cause d‘appel et désormais devant le Conseil d’Etat, il est à nouveau expliqué aux contribuables français qu’ils ont l’obligation de payer leur impôt mais uniquement le droit de se taire lorsqu’ils s’inquiètent de son affectation.
Il leur est également expliqué que ce refus de leur accorder un intérêt à agir trouve sa source dans la délégation qu’ils auraient confiée au Parlement par la voix de leurs représentants pour contrôler les dépenses publiques.
Mais d’une part, l’article 14 de la Déclaration des droits de l’homme ne le dit pas et laisse le choix au contribuable de contrôler par lui-même l’affectation de sa contribution à la solidarité nationale.
D’autre part, il suffit de lire quelques extraits de divers rapports rendus sur le sujet, notamment ceux de l’Ifrap en 2005 et 2007 pour constater que le contrôle parlementaire n’existe pas et que «l’une des principales causes du déficit public et de la dette qui écrase la France est que le Parlement ne contrôle pas la dépense publique».
«La Constitution française, au lieu de concentrer les pouvoirs de contrôle dans un organisme rattaché aux commissions des finances, a éparpillé ce pouvoir entre 43 rapporteurs spéciaux dans l’une et l’autre assemblée, chacun chargé de contrôler un ministère.» L’Ifrap précise que «La Constitution interdit (…) à ces rapporteurs de se faire assister pour leurs contrôles sur place: ils doivent les exécuter eux-mêmes, ce qui est impossible compte tenu… qu’un contrôle sérieux exige des centaines, voire des milliers d’heures» et poursuit: surtout, «leurs rapports sont en fait rédigés par les administrateurs de la Commission des Finances qui, étant encore moins nombreux…, se tournent pour le contenu du contrôle vers le ministère concerné, qui lui réfère au ministère des Finances. Ce sont donc les ministères contrôlés qui… rédigent en fait les rapports de contrôle les concernant…»!
C’est ainsi que le pouvoir exécutif s’autocontrôle, ce qui permet d’aboutir au résultat que l’on sait.
Après trois années de silence, j’ai décidé d’exposer ma position parce qu’il y a dans cette affaire une raison d’Etat qui prédomine et qui n’est pas celle des simples contribuables que nous sommes.
A ceux qui à travers leurs commentaires sur cette affaire, dans les rubriques de Mediapart, laissent transparaître leur profonde désillusion et leur évidente fatigue morale quant au fonctionnement de nos institutions, à tous ceux qui, pour tout dire, «n’y croient plus», je tenais à dire très simplement que nous avons «essayé».
Si nous perdons devant le Conseil d ’Etat, ce ne sera pas –comme vous l’avez compris– parce que nous avons tort sur le fond de cette affaire, puisque la substance même de notre recours est désormais totalement occultée.
Mais peut-être aurait-il fallu que nous soyons 10.000 à exercer ce recours pour être un tant soit peu considérés.

mardi 21 juin 2011

Avant qu'il ne soit trop tard...

La liberté c'est comme le bonheur, c'est ce qui manque lorsqu'on l'a perdue


Et si l’opération d’endettement irrationnel des États n’était en vérité que l’un des aspects d’une stratégie pour contraindre les gouvernements de chaque pays qui se croit indépendant - et leurs populations -, à un abandon considérable de souveraineté, lors d’un long processus de mise en faillite inéluctable et programmée, au bénéfice d’une technostructure mondialiste sous le contrôle d’une oligarchie apatride et non démocratique (Europe, F.M.I., FED, Banquiers) ?

Si la Grèce accepte les conditions qui lui sont imposées, que restera-t-il de son indépendance, de son soi-disant système démocratique, puisque les dirigeants imposent par la force ce que le peuple rejette vigoureusement ; de sa spécificité sociale et culturelle (surtout si l’ensemble de ses richesses, y compris géographiques, est bradé au profit de spéculateurs étrangers)... Que seront les Grecs dans leur propre pays, si ce n’est rien d’autre que des indigènes sous protectorat de maîtres colonisateurs et au service desquels il devront se soumettre pendant très longtemps ?

Que doivent attendre de mieux, les pays qui devront se soumettre à l’exemple grec ?


La liberté se reçoit par héritage, se conserve par la volonté d'en défendre ses acquis, pour être transmise aux générations futures.*

mercredi 15 juin 2011

Le spectacle de Guignols des élections de 2012...

Démocratie et élection : Mode d'emploi*.

Dr. Faust : C’est décidé, je me lance en politique ! Aussi, toi, qui contractuellement doit satisfaire le moindre de mes désirs, donne-moi je te prie, l’Arcane majeur, clé de toutes réussites spectaculaires en ce domaine.

Méphisto : Il est simple comme le jour l’ami, le voici dans sa pureté originelle : Travaille le plus petit dénominateur commun d’une populace.

Dr. Faust : Tu veux dire celui sur lequel le plus grand nombre peut se réunir ?

Méphisto : Absolument !

Dr. Faust : Comme par exemple le suppositoire ?

Méphisto : C’est quoi cette histoire de suppo de chose ?

Dr. Faust : Ben y a les partisans de l’introduction du suppositoire par le gros bout, et la partie adverse qui est pour l’introduction par le petit bout, les deux camps ayant de solides arguments à l’appui de leur idéologie…

Méphisto : Oui, c’est un peu ça, mais je préfère nettement réunir 100.000 personnes autour d’un sujet dérisoire, insignifiant et médiocre, comme un match de Foot, et porter leur exaltation au comble de l’absurde, afin que cette foule ne fonctionne plus qu’avec un seul cerveau, celui du plus con d’entre eux…

Dr. Faust : Et une fois que cette foule fonctionne avec le cerveau du plus crétin, que faut-il en faire ?

Méphisto : Ce que tu veux, elle est prête à croire n’importe quoi, sauf la vérité et pourvu qu’elle ait l’impression d’être devenue intelligente, parce qu’enfin elle s’imagine comprendre quelque chose…

Dr. Faust : C’est pas très moral cette formule …

Méphisto : La morale ne sera jamais élue en démocratie, c’est juste un groupuscule ultra minoritaire !

Dr. Faust : Tu voudrais dire qu’une réussite politique ne peut pas s’obtenir en dehors de la fourberie, du mensonge, de la duperie et de la crapulerie…

Méphisto : Les lois de la Providence sont ainsi faites, mon ami, Dieu ne fait pas de politique, alors il faut bien que d’autres s’en chargent…

Dr. Faust : Si Dieu ne fait pas de politique, dois-je comprendre qu’il y a de fortes chances pour que tu t’y intéresses ?

Méphisto : Dis donc ! Tu voudrais pas, qu’en plus de supporter la promiscuité des cavernicoles velus dans leur macérat, je sois privé de la moindre distraction ?… Je vous reproche, moi, d’avoir la télé ? Non mais ! sans blague !

Dr. Faust : Ok, ok ne te fâches pas, mais du coup, j’ai moins d’appétence à la politique, surtout si elle se résume à la médiocratie…


A chacun de poursuivre ce dialogue dans les commentaires, selon le mode du cadavre exquis.

* Extrait des Clavicules de la Sapience



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mercredi 25 mai 2011

La corruption des gouvernements repose sur l’abus de pouvoir et la léthargie du peuple.


Marine Le Pen "décrypte" l'affaire DSK par polecom

La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse.
Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, Article 6.

Dans cette vidéo, Marine Le Pen fait une analyse particulièrement pertinente de la triste affaire d’un membre de cette nomenklatura du Nouvel Ordre Mondial, dont Dominique Strauss-Khan en était l’image emblématique.

Même si je regrette qu’elle ne soit pas remontée aux sources des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, je veux parler de ce qui fonde l’incontournable principe du DROIT COMMUN, à savoir : cet extrait de l’article 6, de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui dispose :

La loi doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse.

En remontant à cette base légale (droit constitutionnel), il est permis de rappeler que dès lors où le DROIT COMMUN est un Droit de l’Homme, il est donc Naturel, Inaliénable, Sacré et Imprescriptible, selon les dispositions même de notre DDHC de 1789, qui est et reste la Mère de toutes les Déclarations, à ce jour sans égale.

Que la gente politique, gavée de suffisance, d’arrogance et convaincue de sa totale impunité - comme le démontre la longue liste des affaires véreuses qui finissent dans les oubliettes d’une justice soit complaisante, soit impuissante -, s’imagine qu’elle peut tout se permettre, il y a bien longtemps que le citoyen de base assiste impuissant à cette dérive totalitaire, mafieuse, n’ayant pas d’autre choix, lorsqu’il a la possibilité d’exprimer sa souveraineté, que de voter entre la peste et le choléra.

Qu’un parti politique replace le débat sur ce qui est le fondement du pacte Républicain et de ce qui fait la spécificité de notre «démocratie», je veux parler de la Justice sans laquelle il ne peut pas y avoir de liberté, voilà qui représente une infime, mais réelle lueur d’espoir. Est-ce qu’enfin, le débat politique va se faire non plus sur des artifices pour attirer l’attention des gogos de votants qui ne pensent qu’à leurs petits intérêts personnels pour toute conscience politique, mais sur ce qui est au coeur même du drame de civilisation que nous sommes en train de vivre en direct, celui de la faillite généralisée d’un système clanique (Mondialisation), se voulant faussement aristocratique et à l’incompétence incommensurable engendrée par la corruption, les privilèges, les abus de pouvoir et l’INJUSTICE.

Que la jeunesse sans perspective, les chômeurs avec ou sans droits, les retraités qui ont et auront de plus en plus de difficultés à vivre avec leur retraite ; que les travailleurs pauvres, les classes moyennes en voie de paupérisation, les agriculteurs condamnés au servage et au suicide, les petites et moyennes entreprises devant subir une concurrence déloyale résultat des règles imbéciles d’une mondialisation, axées sur les profits de quelques uns, ne cherchent pas ailleurs la cause de leurs malheurs que dans la corruption des gouvernements, dont l’injustice est le dogme absolu.

Nos illustres et clairvoyants ancêtres auxquels nous devons la chance d’avoir encore cet ultime recours que sont les Droits de l'Homme, mais pour combien de temps, nous offre, à nous qui en sommes les héritiers privilégiés et si peu méritants, la possibilité de faire mordre la poussière à tous ces cyniques hors la loi, qui ne gouvernent uniquement que parce que nous sommes passifs, complaisants et blasés dans nos indignations les plus élémentaires.

Tout a pourtant été clairement exprimé, dans le préambule de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 :

Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements...



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jeudi 19 mai 2011

Votez pour moi ! et retournez bosser...

L’étrange et fascinant théâtre d’ombres de la politique, de l’économie, des fausses croyances naïves et des ignorances.

Pour peu que l’on sache prendre un minimum de recul sur l’évènement, il devient aisé de comprendre que ce sur quoi on attire notre attention n’est en réalité qu’un vieux truc, un peu ringard, que pratiquent tous les illusionnistes.

La Démocratie, qui se veut la moins pire de tous les systèmes sans pour autant prétendre en être la meilleure, n’est en réalité qu’une mascarade destinée aux troupeaux de votants rêveurs et benêts, qu’un petit nombre entend bien maintenir sous son total contrôle.

Depuis ses origines ( supposées grecques), la Démocratie a fait la démonstration de sa duplicité et de la faillite qui est son inéluctable finalité.

La Démocratie n’est pas la liberté pour tous, mais uniquement celle des plus forts. Elle donne invariablement le pouvoir à la finance et la caste de ploutocrates qui s’organisent en oligarchie reposant sur un népotisme qui se veut rapidement aristocratique, avec privilèges, abus de pouvoir et justice de classe...

Le dessein de la Démocratie est dans son otologie originelle défini comme celui du pouvoir du peuple, pour le peuple et par le peuple...

Si nous n’étions pas tous aussi endoctrinés par une propagande séculaire qui nous fait prendre depuis des millénaires, des vessies pour des lanternes et des politiciens corrompus pour des archétypes de la vertu, nous saurions depuis belle lurette que la Démocratie n’est pas et n’a jamais été la souveraineté populaire, ni la liberté, mais probablement le moyen le plus cynique et le plus sophistiqué de l’asservissement des populations qui succombent à ses charmes de maquerelle racoleuse.

Exemple concret : Ne croyez surtout pas que les banquiers apatrides qui sont au centre de tous les systèmes prétendument démocratique, soient obnubilés par l’argent et son accumulation. Ils savent, depuis fort longtemps que l’argent n’est qu’un symbole volatile d’un pouvoir beaucoup plus puissant et sur lequel repose celui de leur domination par l’asservissement des individus à leur profit.

L’argent se dévalue, se perd, se vole, s’évapore naturellement. C’est d’ailleurs pour cette raison que les banquiers s’empressent de le dépenser au-delà de toutes limites raisonnables, comme le démontrent les systèmes de prolifération des crédits et des endettements tant publics que privés.

Il faut impérativement que les Nations soient endettées (déficits budgétaires récurants), que les particuliers soient endettés (logement, voitures, équipements de la maison, loisirs, éducation des enfants et surtout pour leur retraite). D’une part, c’est grâce à cette montagne d’endêtement qu’ils augmentent mécaniquement leurs enrichissements et d'autre part, c’est aussi ce qui assure la pérennité de leur pouvoir en obligeant les populations à se mettre au travail, car la véritable richesse n’est pas l’argent, mais le labeur des individus, la sueur de votre travail.

Comment contrôler cette irremplaçable richesse ? Simplement par l’endettement qui oblige le débiteur à fournir son énergie, son temps, ses compétences et sa liberté au profit d’un système qu’il ne contrôle pas, qui ne lui vend que de la bimbeloterie pour attardés mentaux, et qui le condamne à faire chaque jour, pour l’essentiel de son temps, ce qu’il n’aurait jamais accepté de faire sans son aliénation au crédit.

Sans cette aliénation, il n’aurait pas besoin de vivre dans des mégalopoles déshumanisées,
polluées et étouffantes. Sans cette aliénation, il ne serait pas astreint à prendre des transports en commun dignes des transports à bestiaux. Sans cette aliénation, il n’aurait pas besoin de changer régulièrement de voiture, de s’astreindre à utiliser une énergie pétrolière qui n’est qu’une pompe à finance et à endettement. Sans cette aliénation, il ne chercherait pas désespérément à se libérer soit par des loisirs crétins, et toujours coûteux, soit par le biais d’une pharmacopée provoquant des addictions encore plus aliénantes, soit par des substances hallucinogènes illicites. Sans cette aliénation, il ne serait pas obligé, pour cause de manque de temps, d’utiliser les services du toujours plus pratique, toujours plus facile, toujours préparé par de puissantes industries du périssable et du toujours plus polluant...

Comment maintenir un individu dans la servitude ? Par l’endettement.

Comment l’engager dans ce processus d’endettement ? En le maintenant dans l’ignorance.

Comment le maintenir dans l’ignorance ? En prenant en charge son éducation dès le plus jeune âge.

Comment le contraindre à accepter ce système profondément injuste et destructeur de corps et d'âmes ? En utilisant ses peurs ses émotions, ses désirs primaires et ses passions les plus matérialistes.

Quel est le meilleur moyen d’y parvenir ? En lui racontant des histoires à dormir debout comme : la quête du bonheur terrestre, un succédané de liberté qui se résume à lui donner l’illusion que son vote sert à quelque chose, alors que depuis des décennies il est aisé de constater, le plus objectivement possible, qu’il ne sert RIGOUREUSEMENT à rien. Surtout pas à limiter les pouvoirs des ploutocrates, des banquiers et des politiciens corrompus, sinon nous n'en serions pas dans cet état généralisé de pollution nucléaire mortelle pour l'humanité et de faillite économique mondiale.

Comme la Démocratie ne repose que sur l’imposture, la duplicité et le mensonge, elle ne peut donc pas prétendre être équitable et l’expression de la justice. Comme il n’y a pas de liberté sans justice, la Démocratie est contraire, dans ses fondamentaux, à la liberté !

Ce que je trouve fascinant dans tout cela, c’est le fait qu’avec un minimum de bon sens commun, il soit pourtant facile de constater la tromperie sur la qualité de cette marchandise qu’est la Démocratie, et qu’il y ait encore autant de moutons de votants pour participer à sa mascarade élective sans laquelle elle n'existerait pas...

Pour reprendre ce que disait ce grand clairvoyant qu’était le général de Gaulle : l’être humain lambda serait-il à ce point si proche du veau ?



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