mardi 29 mars 2011

La catastrophe nucléaire de Fukushima

Ce qui est inéluctable est prévisible, et ce qui est prévisible finit toujours par arriver...


La catastrophe nucléaire du Japon prévue depuis... par pomponpeluche

lundi 28 mars 2011

Le génocide silencieux.

Dormez tranquille braves gens, on a la situation nucléaire bien en main...

lundi 14 mars 2011

L’imposture du capitalisme.

Et si l’humanité essayait de faire, au moins une fois, autre chose que le pire ?

Les origines de l’abomination.

Après avoir eu la peau du système communiste, qui d’ailleurs ne valait pas très cher, le capitalisme est devenu triomphant sous sa forme la plus cupide, la plus violente et la plus prédatrice qu’est le libéralisme absolu.

Ce libéralisme ne peut véritablement s’exprimer que s’il n’est pas entravé par des lois, règlements, entraves administratives, politiques, culturelles venant en réduire et limiter son action. C’est dans cet esprit qu’est né le Nouvel Ordre Mondial, qui n’est rien d’autre que la destruction programmée de toutes ces barrières douanières, écologiques, sanitaires, réglementaires ; exceptions techniques, linguistiques, traditionnelles, géographiques et coutumières qui font la diversité, base de toute véritable richesse, mais empêche ce que l’avidité financière considère comme la plus grande liberté génératrice de profits, la vassalisation des peuples.

Bien évidemment, comme c’est toujours ainsi que cela ce produit, le vice ne peut accéder au pouvoir suprême dans son hideuse nudité, révélant sa férocité, sa voracité anthropophage, la violence qui fonde sa domination, sa rapacité insatiable, la cruauté de ses pratiques, le cynisme et la duplicité de son langage, la malhonnêteté académique de ses moeurs et le pouvoir corrupteur de ses «principes».

Ceux qui voudraient entrainer dans leur sillage l’adhésion du plus grand nombre - sans lequel le capitalisme manquerait et de bras et d’énergie -, pour en devenir les serviteurs serviles et aliénés, n’auraient aucune chance d’y parvenir en révélant leur vraie nature qui se résume : à l’immoralité, l’infamie, la perversion, la perversité et l’obscénité des pratiques dénuées de toute conscience. C’est pour cette raison que le vice, voulant accéder au pouvoir suprême, se doit de se draper dans une toge donnant l’apparence de la vertu. La sincérité sera langue de bois ; la moralité sera celle qu’ils imposeront aux subalternes pour mieux les asservir ; l’honnêteté voudra simplement dire qu’il ne faut pas reprendre par le vol ce que l’on vous a volé ; la charité consistera à manipuler les basses émotions du plus grand nombre, afin de leur faire payer, par des dons à un CCP d'organisations humanitaires, les préjudices occasionnés par les profiteurs. Les plus gros profits seront réalisés toujours abrités derrière de nobles causes comme : la guérison des maladies, la protection des faibles, l’assurance contre les calamités, la défense de la Nation, de la famille de l’individu. Les profits tout aussi conséquents seront habillés par le plaisir et la distraction offerts aux populations laborieuses ; la sécurité pour chaque individu et la famille ; la multiplication des moyens de déplacement, dont l’essentiel n’a aucune justification utilitaire ; le bonheur de consommer d’une façon frénétique des énergies, des nourritures et des objets aux trois quarts inutiles et superflus.

Le bilan calamiteux.

Cette interdépendance entre les maîtres du capitalisme sauvage et la cohorte de serfs qui se trouve contrainte de les servir a été rendue possible grâce aux promesses illusoires d’un affranchissement d’une condition anxiogène et avilissante et d’une accession au «bonheur» terrestre par l’hyper consommation procurant une jouissance et une plénitude de toutes les facultés sensorielles.

Tout le monde sait, depuis maintenant au moins 40 ans, que ce type de société n’est pas viable pour au moins deux raisons.

La première, c’est que les ressources de la planète ne permettent pas d’offrir à chaque individu vivant actuellement sur terre, les moyens d’accéder à cette société d’hyper consommateurs.

La deuxième, que nous pouvons hélas constater chaque jour un peu plus, c’est que la production compulsive d’objets à l’obsolescence volontairement programmée pour être rapide, engendre un tsunami de déchets terrestres, maritimes, et aériens qui finit par submerger sous un flot de calamités (maintenant nucléaires) l’ensemble de la civilisation.

La nourriture dévitalisée que nous sert l’industrie agro-alimentaire n’engendre que de futurs malades.

Les malades sont lentement et patiemment entretenus dans leurs états par une industrie pharmaceutique qui n’apporte, dans le meilleur des cas, qu’un bref soulagement, et dans le pire, hélas devenu la règle, une aggravation à long terme de l’état du malade en lui procurant des maladies qu’il n’avait pas avant que de subir les effets des médicaments calamiteux, mais hautement profitables.

Les conditions de vie qu’impose ce Nouvel Ordre Mondial, sont de plus en plus précaires, angoissantes, destructrices des individus et des familles ; asservissantes dans le vécu le plus quotidien ; désespérante pour les générations montantes ; sclérosantes pour les piégés du système productiviste sans autre foi et loi que celle du profit financier froid, aveugle et déshumanisé.

N’oublions pas que le Nouvel Ordre Mondial devait, la main sur le coeur de ses ardents promoteurs, appuyer par les rapports copieux d’experts tous plus patentés les uns que les autres dans les domaines les plus variés, nous apporter à tous prospérité, richesse et disparition de la pauvreté.

À l’heure ou la plus grave crise financière qu’a connue l’humanité, n’a pas encore fait connaître ses terrifiques conséquences, il est pourtant aisé de constater que le semblant de prospérité de nos quarante dernières années, n’est qu’une colossale imposture puisque dans le même temps s’est développé le plus considérable endettement des nations qui étaient réputés parmi les plus prospères, lorsque le libéralisme nous a refilé, avec des arguments de camelot, son escroquerie monumentale.

Entre 1970 et 2010, la pauvreté a doublé dans le monde.

La consommation frénétique d’énergie est devenue un problème tant par les pénuries auxquelles nous allons être durablement confronter, que par les énormes pollutions auxquelles elles nous condamnent pour cause de gaspillages ridicules.

L’instabilité financière, qui va se généraliser, produira une augmentation considérable de la pauvreté, pour le plus grand nombre, et une insécurité aussi bien alimentaire, énergétique et militaire, comme nous pouvons l’observer lorsque nous sortons de la léthargie de l’endoctrinement du politiquement et médiatiquement correct.

Le système en place qui repose sur le duo diabolique capitalisme et libéralisme (enfin, libéralisme surtout pour les maîtres de ce capitalisme), n’offre aucune perspective de rédemption tant l’état de corruption généralisé en a durablement, probablement définitivement, compromis le rétablissement.

Tous ceux qui voudraient aujourd’hui y porter remède, se trouveraient soit contaminer par sa corruption radiante, soit seraient impitoyablement éliminés intellectuellement et physiquement si nécessaire, il n'y a ni charité ni scrupule pour le Nouvel Ordre Mondial.

La Solution.

Dans l’état de pourrissement du système, il y a tout lieu de se demander si une solution existe réellement. Pour le communisme, la réponse a été formellement non. En dehors de sa disparition, il n’y avait aucun moyen de rémission du malade.

Pour le capitalisme-libéral, la réponse est hélas ! identique. Il ne peut que sombrer, écrasé sous le poids de ses turpitudes et de ses paradoxes ingérables.

La seule chose qui doit aujourd’hui nous préoccuper, est celle qui consiste à ne pas laisser le naufrage de ce Titanic de la bêtise humaine, entraîner l’ensemble de l’actuelle civilisation qui vaut quand même plus que cette énorme escroquerie maffieuse et cet Himalaya de fausse monnaie garantie uniquement par de l'endettement.

Sur quoi reposent cette solution, et ce sauvetage ?

D’abord sur le constat que si la terre ne peut produire autant que le nécessite la mise en oeuvre de ce Nouvel Ordre Mondial, alors c’est qu’il convient d’en changer, et ce, le plus rapidement possible, il y a urgence...

Pourquoi produire toujours plus de choses rapidement périssables et jetables, alors qu’il est tout aussi possible de produire des choses durables sans gaspillage ni des ressources terrestres ni des ressources humaines ?

Un reportage sur la chaîne ARTE, a révélé, et ce n’était qu’un exemple parmi tant d’autres, que les fabricants d’ampoules électriques s’étaient entendus pour faire des ampoules qui ne dureraient que 1000 heures d’utilisation, alors que les premières ampoules pouvaient avoir une durée d’utilisation de plus de 100 ans, comme en témoigne une ampoule dans une caserne de pompiers aux États-Unis, et qui brule depuis plus d’un siècle...

Aurions nous besoin d’autant d’énergie, de matières premières, de raffinerie, de centrales nucléaires, d’usines, d’emballages, de transports si ce que nous achetons était conçu pour être durable, réparable et non jetable ?

Aurions-nous la moindre crainte de pénurie si au lieu de gaspiller les ressources de la planète pour en faire des montagnes d’ordures, des calamiteuses pollutions, des populations d’obèses, des réchauffements climatiques, nous nous contentions de ce qui est juste et nécessaire en prenant soin d’avoir ce que nous avons véritablement besoin, sans pour autant cultiver une véritable addiction à la consommation futile, nuisible et asservissante ?

L’écologie, enfin pas les doctrinaires qui cherchent à nous imposer un régime totalitaire au nom de cette idéologie, mais celle qui est un art de vivre équilibré, a commencée à explorer cette voie, mais elle est encore trop contaminée par l’hyper consommation du futile.

La solution à un nom simple et largement connu du plus commun bon sens, elle s’appelle : l’économie.

Pas la finance des spéculateurs et des traders, celle-là n’est qu’une perversion et un dévoiement des lois de la nature. Je veux parler de ce que recouvre ce terme et qui signifie : épargne et réduction des dépenses dans la gestion des biens et des revenus.

Avoir un véhicule qui dure 30 ans, quitte à le remettre en état pour qu’il profite des dernières recherches en matière de confort et de consommation, n’est pas une utopie ni une régression sociale. Les Cubains, par nécessité il est vrai, entretiennent des véhicules américains qui datent d’avant la révolution, et qui roulent toujours...

À quoi sert-il d’avoir des véhicules qui roulent à 200 à l’heure, alors que les vitesses seront de plus en plus limitées ?

Combien de centrales nucléaires deviendraient inutiles (probablement toutes), si au lieu de produire sans raison des objets rapidement jetables, on réorientait l’économie sur le durable ?

Combien de tonnes de pétroles servant autant à la circulation qu’à la pétrochimie (plastiques, solvants, résines, fibres synthétiques, détergents, médicaments, cosmétiques, engrais, etc...) pourraient être économisées sans que cela nuise en rien ni au confort ni à l’art de vivre d’une population, simplement en supprimant, autant qu'il soit possible, ce qui finit invariablement dans les incinérateurs, les océans sous forme de continent de déchets, et les décharges ?

Que deviendrait l’emploi, se diront certains qui se sont laissés berner par la propagande d'un plein emploi du Nouvel Ordre Mondial ?

L’emploi serait obligatoirement transférer dans des activités de proximité, tant pour l’entretien des choses durables, que leurs adaptations aux progrès de la science.

Il serait en outre plus valorisant et plus qualifiant que celui qui consiste à n’être qu’un serviteur de robot (qu'il soit ordinateur ou constructeur), poste qu’il est toujours possible de délocaliser en transférant la machine, sans son serviteur habituel, dans un pays aux salaires insignifiants et aux couvertures sociales inexistantes, ce qui est difficilement le cas pour des services de proximité, comme le réclame l’économie.

Qu’avons-nous à faire de travailler comme des abrutis, dans des conditions de plus en plus suicidaires, pour des revenus stagnants lorsqu’ils ne sont pas en nette diminution, alors que prix, impôts et prélèvements sociaux augmentent, et tout ceci pour alimenter des pollutions, des décharges à ordures, des politiciens, des milliardaires et des malades ?

Combien est plus valorisant de savoir que ce que nous produisons a un rôle social, économique et humain dans le sens noble du terme, celui de la conscience sans laquelle la science la plus avancée n’est que ruine de l’âme...

La solution pour les individus et leur épanouissement, pour le respect de la Nature, pour un art de vivre libérateur n’est pas dans le capitalisme-libéral et le pouvoir de la finance, mais dans la bonne vieille ÉCONOMIE...

C’est la solution, mais c’est aussi le seul canot de sauvetage qu’il y a sur ce Titanic du Nouvel Ordre Mondial en train de sombrer...

Pour la mettre en oeuvre il faut d'abord admettre que nous faisons fausse route en avançant uniquement sur la voie du gaspillage généralisé.

Il n'y a pas de rédemption sans repentir sincère !

La voie de l'harmonie est dans l'
ÉCONOMIE.

Ne soyons pas les derniers à croire dans son salut...


------------------------------------------------------------------------------

vendredi 4 mars 2011

Voilà une information à faire suivre...

Ce qui est inéluctable est prévisible, et ce qui est prévisible finit toujours par arriver...





mardi 1 mars 2011

Dormez tranquille braves gens...

L'état de la banque dans l'un des pays les plus riches de la planète.