mardi 24 novembre 2009

La petite sirène de Copenhague.


Lorsque l’écologie sert de fausse barbe au Nouvel Ordre Mondial.

L'angélisme benêt des écologistes des salons politiques est devenu caricatural.

Face à la toute-puissance d’une volonté totalitaire pour une main mise sur l’ensemble des ressources de la planète, l’écologie est dans la même situation que ce petit chaperon rouge venant naïvement entretenir une conversation de salon avec le plus féroce des loups outrageusement déguisés en mère-grand.

La prochaine conférence de Copenhague, que les plus optimistes considèrent comme d’ores et déjà vouée à l’échec sur son objectif écologique, n’est en fait que le fameux déguisement du vice se drapant dans la trop grande toge de la vertu. La vérité est tout autre et nous est révélée par un ancien conseiller scientifique d’un ancien Premier ministre britannique (Margaret Thatcher) qui affirme que le principal dessein de cette conférence de Copenhague, organisée par les Nations Unies pour se pencher sur les problèmes de changement climatique, est en réalité une réunion devant servir à mettre sur pied les bases d’un gouvernement mondial. Gouvernement mondial devant être entériné lors de cette conférence.

Bien évidemment, les divergences d’appréciation concernant la réalité de ces changements climatiques, et la part de responsabilité de chaque pays sont telles qu’il est pratiquement impossible que puisse se produire autre chose que de vagues résolutions n’engageant que ceux qui voudront bien y satisfaire. Par contre, il y a fort à parier que ce qui sera connu dans l’Histoire comme le traité de Copenhague comportera les dispositions stipulant la création officielle d’un gouvernement mondial, entité non démocratique, composée de membres non élus, mais dont les décisions s’imposeront à tous les pays signataires sans que les peuples ne puissent s’y opposer.

Ce traité, dont les conséquences ultérieures seront considérables, sera signé par l’ensemble des États représentés par leurs principaux dirigeants sans même qu’ils aient obtenu la moindre autorisation de leurs représentations nationales respectives, pour s’engager dans cette voie du totalitarisme absolu.

Les palabres médiatiques se feront tout naturellement autour des risques pour la planète des différentes formes de pollution, mais ce ne sera là qu’un numéro d’illusionniste bien rodé, comme savent le pratiquer depuis quelques décennies tous ces dirigeants, plus ou moins occultes du Nouvel Ordre Mondial en gestation, qui parlent publiquement d'une chose, pour en faire une autre très différente dans le cénacle de leurs réunions secrètes.

Déjà, chacun des responsables politiques locaux, s’agite pour entretenir la flamme de la dévotion populaire écologique au sein de chaque pays participant à cette conférence. Le suspense est entretenu avec les versions catastrophes chargées de convaincre les plus incrédules, sur la nécessité de faire quelque chose pour sauver la planète. Probablement que la concomitance de la sortie du film sur 2012 et la tenue de cette conférence n'est pas le fruit du hasard. Je ne reviendrai pas sur l’expression monumentale de vanité qu’exprime cette conviction ridicule qui voudrait que l’être humain, qui n’est probablement que pour une part insignifiante dans le changement climatique en cours, puisse avoir entre ces microscopiques mains le pouvoir d’y porter remède durant la minuscule durée d'une vie. Je renvoie le lecteur à l’article que j’ai consacré sur ce sujet lors de la sortie du film «Home», et figurant toujours sur ce blog.

La réalité la plus cynique, que peu de personnes clairvoyantes perçoivent, est que le monde politique, dont les résultats de ces dernières décennies sont globalement calamiteux ( endettement colossal des nations, crise économique, sociale, culturelle, militaire et morale ; corruption généralisée, injustices, etc...) a saisi le thème de l’écologie, car il permet d’une part, de considérables possibilités de taxes nouvelles et d’autre part, de détourner l’attention du public sur l’écrasante responsabilité qui découle de l’ineptie des programmes politiques, économiques et sociaux qui ont été mis en oeuvre par ces castes de dirigeants corrompus et incompétents.

La crise, la misère à venir, les catastrophes, l’appauvrissement des populations, la réduction des salaires, le développement du chômage, de la famine, des maladies et le développement des pandémies, ce n’est plus de leur faute, mais celle des changements climatiques occasionnés par le fait que VOUS consommer trop d’eau, trop d’énergie, trop de ressources agricoles, trop de matières premières, trop de médicaments, trop voitures, et d’électronique. C’est donc VOUS les coupables des ces dérèglements et c’est donc VOUS qui devrez payer la facture de leurs incuries pour lesquelles ils ont été grassement payés.

La pilule va être terriblement amère et difficile à avaler. À ceux qui en doutent qu’ils se posent la question de savoir comment et qui vont payer l’accumulation stratosphérique des dettes déjà accumulées ? Contrairement à l’idée simpliste que chacun pourrait s’en faire, en pratiquant la politique de l’autruche, où en se disant : après moi le déluge, la dette devra se payer et il est probable que la facture est déjà en cours d’acheminement, ce qui ne renverra pas indéfiniment cette charge sur d’hypothétiques générations futures, mais bel et bien dans un avenir beaucoup plus proche que nous l'imaginons.

Face aux inéluctables désagréments à venir, il est plus que probable que nos gouvernants se soient entendus comme larrons en foire, pour mutualiser les moyens de gérer fermement (militairement) l’état de chaos que provoquera l’accumulation des contraintes, servitudes et paupérisations des populations qui jusqu’à présent ont vécu dans l’anesthésie soporifique d'un surendettement de l’État providence érigé en dogme de la bonne gestion économique. Nous risquons de découvrir, avec une sacrée gueule de bois, les dessous peu flatteurs d’une démocratie de pacotille dissimulant les rudesses implacables d’un gouvernement mondial devenu inaccessible à la souveraineté populaire et totalitaire en diable.

L’écologie risque d’avoir des effets secondaires fâcheusement indésirables et les écologistes sincères devenir les dindons de la farce...

L'enfer reste pavé de bonnes intentions, et les lendemains qui chantent des rêveries bucoliques de jeunes filles en fleur.

Pour ceux qui veulent en savoir plus sur les turlupinades du Co2 et des changements climatiques, cliquez sur le titre ci-après :




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