dimanche 30 janvier 2011

Indignation face à une injustice flagrante !



Lorsque nos gouvernements corrompus prennent les citoyens légitimes de ce pays pour des individus inférieurs aux étrangers...

La réforme des retraites était, paraît-il, une nécessité pour sauver durablement le système. Je laisse chacun juger de la crédibilité de ce genre d'affirmation déjà tant de fois serinée à nos oreilles de cochons de payant...

Je ne parlerai pas des régimes d’exception, privilèges insupportables et contraires à la Constitution de ce pays, qui permettent par exemple aux fonctionnaires de toucher plus, en cotisant nettement moins que les travailleurs du privé.

Je ne parlerai pas davantage de ces parlementaires qui peuvent ne cotiser que quelques années, pour recevoir une retraite supérieure à celle d’un smicard ayant travaillé 42 ans, et cotisé à taux plein...

Je ne parlerai pas de tous ces régimes spéciaux, fort discrets, et qui ne reposent sur aucune utilité commune, comme l’exige la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, ce qui en font des privilèges contraires à la loi et à cette Déclaration....

Je parlerai aujourd’hui, de ce que les syndicats - qui se sont, volontairement ou non, fait laisser rouler dans la farine d’une réforme, qui d’ailleurs ne garantit en rien la pérennité du système des retraites -, ne parlent et ne parleront jamais, je veux dire par là, de l’injustice qu’il y a entre la retraite du citoyen de plein droit de ce pays et celle que peut percevoir l’étranger disposant simplement d’un permis de séjour.

Nos gouvernements corrompus, de droite comme de gauche, qui sont généreux uniquement avec le travail et l'argent des autres - le leur étant soigneusement exonéré et protégé des servitudes communes -, ont princièrement décrété d’attribuer à tous ces étrangers qui ne peuvent travailler, à partir de 60 ans, et pour les autres DANS TOUS LES CAS A 65 ANS, une retraite sous forme de l’ASPA, soit : 708 euros par mois, plus APL et AME et ce, même sans jamais avoir travaillé en France ou ailleurs, et sans jamais avoir cotisé un seul centime ni en contribution sociale, ni en contribution commune (les impôts).

Que ceux qui seraient révoltés par une telle information au point de croire qu’elle ne peut pas être vraie, téléchargent sur le site du Ministère de l’Immigration le livret d’accueil que ce dernier délivre, en votre nom, aux étrangers, pour qu’ils n’ignorent rien de la générosité de nos gouvernements corrompus, plus prompts à leur accorder des droits qu’ils n’en accordent aux citoyens légitimes de ce pays :


Si votre navigateur n'arrive pas à télécharger directement ce document cliquez ICI

Page 54, de ce livret il est écrit textuellement :


• Vous n’avez pas travaillé en France ou vous n’avez pas assez travaillé pour avoir des droits à la retraite

Vous pouvez demander l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) (en 2008 : 7 537,29 € par an pour une personne seule ; 13 521,27 € par an pour un couple) si vous réunissez les trois conditions suivantes :

• vos ressources annuelles sont inférieures à un certain montant (en 2007 : 7 635,53 € pour une personne seule, 13 374,16 € pour un couple marié) ;

• vous avez au moins 65 ans (ou au moins 60 ans si vous êtes inapte au travail) ;

• vous êtes autorisé à résider en France métropolitaine ou dans un département d’outre-mer.

Je laisse imaginer ce que peut ressentir un citoyen de souche de ce pays auquel il est sans cesse imposé de réduire ses droits à la retraite par une diminution de sa rente, et une augmentation constante de ses cotisations ; auquel il est demandé de travailler toujours plus et plus longtemps, alors que dans le même temps des personnes étrangères, n’ayant jamais travaillés ni cotisé, ni payé d’impôts, pourront, elles et leur (s) conjoint (s), obtenir un revenu leur permettant d’avoir une retraite qui sera supérieure aux revenus de nos concitoyens les plus pauvres, comme les chômeurs en fin de droit, ou pire encore, supérieure à la retraite d’une agricultrice qui aura durement travaillé toute sa vie pour un salaire de misère, bien souvent depuis l’âge de 15 ans, et qui se retrouve avec une retraite de 500 euros par mois, lorsque ce n'est pas encore moins ?

La question que pose une telle aberration irresponsable et provocatrice est la suivante : si, comme le dispose la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, la loi est la même pour tous (article 6, de la DDHC), pourquoi les citoyens légitimes de ce pays, qui ont travaillé, cotisé et payé leurs impôts tout au long de leur vie, devraient-ils percevoir moins de revenus et d’avantages sociaux qu’un étranger et sa famille n’ayant jamais participé à l’utilité commune ( article 1, de la DDHC) et à la contribution commune (article 13, de la DDHC).

Que les âmes prétendument bien pensantes, ne s’empressent pas de taxer mon propos de racisme, comme le font ceux qui pratiquent une discrimination faussement positive au nom d'une idéologie apatride et humanitaire de pacotille, ou alors il faut admettre que la préoccupation du respect de la loi, de la justice et de l’égalité telle que le prévoit l’article premier de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, ainsi que la Constitution de ce pays, sont racistes !


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mardi 25 janvier 2011

La vassalisation de la France.

Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa n’est pas en mesure de défendre les intérêts de la Nation France, car il n’est pas un Français de souche.


Mais qu’est-ce qu’un Français de souche, se diront ceux qui ne font plus la différence entre un protectorat américain et l’indépendance de la Nation France, au sens Gaullien du terme ?

Un Français de souche est d’abord un citoyen qui ne sent pas ses racines héréditaires biologiques, culturelles, éducatives, géographiques se plonger dans un autre terreau que celui de la Nation française.

Un Français de souche ne voit pas d’invraisemblance ni de paradoxe, plus ou moins imbécile, à s’identifier à cet enseignement primaire commun à chaque membre du corps social et qui se traduit par : nos ancêtres les Gaulois.

Un Français de souche porte, plus ou moins consciemment, en lui les heurs et malheurs collectifs qui ont forgé le socle d’une identité nationale. Cela va de la lignée des rois de cette France, dont beaucoup ont apportés à nos ancêtres plus de malheurs que de bonheurs, plus de misères que d’abondances, plus de frustrations et d’injustices, que de jouissances et de justice ; plus d’asservissements que de libertés ; plus de taxes, impôts, dîmes et gabelles que de libéralités. Tout au long de son histoire collective, ces héritages culturels se sont transmis au sein de chaque communauté régionale, chaque famille, chaque membre de ces familles, et ces derniers portent l’empreinte de cette histoire qui constitue un patrimoine karmique spécifique tant individuel que collectif. Cet héritage est donc la longue chaîne qui rattache un Français de souche à son Histoire et ce qui fait sa spécificité. Plus ses racines seront profondes et plus cet héritage sera ancien, et plus il sera riche de ces spécificités nationales. Moins ses racines seront profondes et moins il sera riche de ce patrimoine collectif national.

Ainsi, un Français de souche, dont les racines plongent profondément dans le terreau de son terroir et de son Histoire, porte en lui les acquis du Siècle des lumières - qui se sont manifestés lors de la révolution de 1789 -, comme une évidence aussi naturelle que l’air que nous respirons. Ce Français de souche, même s’il n’en a pas payé le prix du sang pour en profiter, sait néanmoins qu’en remontant, même sommairement dans la lignée de ses ancêtres, y trouvera un certain nombre de parents, grands-parents et arrières arrières grands-parents, morts bien souvent à la fleur de l’âge, les armes à la main pour défendre une liberté chèrement acquise par ceux qui lui ont légués cet héritage, afin qu’il puisse en être digne et le transmettre à sa descendance et aux générations futures, au moins, et c'est un minimum, dans l’état ou chacun l’a reçu.

L’héritage historique de l’actuel citoyen Président Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, n’est pas celui d’un Français de souche, mais d’un Français aux racines si peu profondes qu’un simple vent venant d’autres horizons peut aisément déraciner comme fétu de paille. Il ne peut pas se sentir investi de cette dignitas nationale, et par là même, l’incarner tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des frontières du pays.

Et si nous devons juger l'arbre à ses fruits et l'homme à son parcours, les faits parlent d'eux mêmes... Du Fouquet's à l'affaire tunisienne en passant par l'affaire Bettencourt...

C’est d’abord pour cette raison que le citoyen Président Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, n’a pas chevillé au corps pour Vertu Cardinale, comme l’avait le Général de Gaulle, la défense farouche et exigeante des intérêts de la Nation française et de ce qui en fait son originalité, sa richesse, son identité culturelle et sociale reposant sur les acquis de la Révolution Française, je veux parler de : La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.

Le citoyen Président Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, n’y connaît rien de rien en matière de droits de l’homme. Il ne cesse de le démontrer tant en actes qu’en paroles, c’est ce qui explique qu’il ait nommé une personne parfaitement incompétente à tenir ce poste si hautement symbolique, Rama Yade, en tant que secrétaire d’État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l’homme... Cette personne, par ailleurs agréable et d’une intelligence brillante, a été réduite à un rôle de faire-valoir - probablement pour dédouaner un gouvernement qui n’avait pas l’intention de respecter ce pacte fondateur de notre communauté républicaine -, rôle qui s’est réduit à celui d’une jolie potiche grotesque - même si elle était médiatiquement utile -, incapable de défendre, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, les nobles acquis d’une Révolution qu’elle ne portait pas dans ses gènes culturels, pas plus que son mentor ,le citoyen Président Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, ne les porte . Ce ne sont pas des Français de souche, mais de simples surgeons aux modestes radicelles, mais à la vanité exubérante.

Ceci explique la particulière complaisance que notre citoyen Président Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, a eu dès son investiture envers l’un des Présidents des États-Unis, parmi les plus corrompus et surtout les plus totalitaires, le sieur Bush junior. Un français de souche n’aurait pu nourrir une complaisance aussi coupable et si contraire aux valeurs des Droits de l’homme.

Ceci explique, alors qu’il n’en a jamais reçu mandat du peuple souverain pour le faire, sa précipitation pour réintégrer l’OTAN, ce Q.G. du gouvernorat européen sous tutelle des USA.

Ceci explique, alors que le peuple, après avoir expressément exprimé sa volonté lors d’un référendum sans équivoque, de refuser le modèle de constitution européenne qui lui était proposé, que le citoyen Président Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa se soit empressé de trahir sa confiance, la dignité de sa fonction et le mandat qui lui a été confié, en faisant valider un fallacieux traité de Lisbonne par des parlementaires corrompus, asservis, aux ordres et ignorants.

Ceci explique son alignement constant sur les dictats de l’autorité américaine qui s’expriment officiellement, mais surtout très officieusement, lors de rencontres et de réunions fantoches genres G8 - G20 et autres manifestations du gouvernement totalitaire, et plus ou moins occulte, de la Mondialisation.

Ceci explique pourquoi il met en place ce G20, ce qu’il ne pourrait pas faire si les États-Unis n’étaient pas le maître d’oeuvre de cette confrérie des gouvernements corrompus. G20, qui a pour but de contourner, encore une fois, les instances internationales légales que l’on retrouve au sein des Nations Unies. Ce détournement de la légalité internationale devant permettre aux États unis d’imposer leurs règles arbitraires et totalitaires à l’ONU, sans avoir à en respecter les bases légales, à l’image de ce que fait son démoniaque Dibouk : l’État d’Israël, chantre de la loi du plus fort qui n'est jamais ni la plus juste ni la plus humaine ni la plus intelligente, comme il (lÉtat d’Israël) le démontre lamentablement chaque jour !

Ceci explique pourquoi le citoyen Président Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, n’est pas, et n’a jamais été en mesure de défendre l’intérêt national, car il est depuis toujours le serviteur zélé et servile de cette organisation ploutocratique apatride qui l’a fait gouverneur, avant qu’il ne soit fallacieusement élu (pour cause de promesses oiseuses et mensongères), et transforme, sous son gouvernement et sa responsabilité, ce pays en protectorat américain.

La vassalisation de la France a été rendue complète grâce au citoyen Président Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, qui, n’étant pas un Français de souche (ce qui explique pourquoi il n’en respecte pas scrupuleusement les lois), n’a que faire de l’héritage culturel et spirituel de ce pays dont il ne se sent en rien comptable de sa tradition, de son Histoire et de ses Valeurs, dont la plus prestigieuse et la plus morale est : La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789. Le contenu de cette Déclaration demeure ce qui a été et restera encore longtemps l’instrument politique et social le plus libérateur pour tous les peuples opprimés.

Le citoyen Président Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, qui n’est pas un Français de souche, s’est rendu indigne de l’Histoire de la France, tant dans ses comportements portant atteinte à la séparation des pouvoirs, à la dignité de la justice et son intégrité, à l’indépendance du pays par son alignement systématique sur une Amérique devenue une dictature. Tant par son soutien aux dictateurs en contrepartie d’intérêts financiers et économiques discutables, et par son mépris des principes de notre civilisation, comme cela s’est manifesté dans l’affaire tunisienne. Hélas ! il y a fort à parier qu’il continuera de s’en rendre indigne que ce soit lors de ses actions nationales qu’internationales et ce, jusqu’à la fin de son mandat.

La défense des Valeurs morales essentielles de la Nation France, voilà ce qui différencie le citoyen Président Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa, d’un Français de souche comme l’était le Citoyen Président Charles de Gaulle.

La nationalité française ne repose pas sur le droit du sang, mais sur le droit du sol. Ceci veut dire qu’un individu n’est pleinement citoyen de ce pays que lorsqu’il est en totale imprégnation de sa culture, de ses traditions, de ses lois et des valeurs morales de civilisation qui le caractérisent.

Être Français de souche implique le devoir de défendre la Liberté ! Liberté qui ne peut exister sans justice.

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samedi 22 janvier 2011

L'imposture de l'Euro.


L’Euro n’est pas une protection contre l’inflation, mais juste une magouille de politiciens corrompus.




Ce sont ces mêmes responsables politiques, de droites comme de gauches, qui sont à l’origine de cette monnaie favorisant les banquiers et les milieux financiers, qui se proposent de venir résoudre les problèmes que leurs inconséquences ont occasionnés aux populations qui portent le poids d’une lourde dette illégitime, car reposant sur de nombreuses irrégularités... Exemple ICI.

Coluche disait : un technocrate c’est quelqu’un à qui vous confiez la gestion du désert, et qui au bout de cinq ans se trouve dans l’obligation d’importer du sable...

Ce à quoi j’ajouterai : un technocrate d’une technostructure corrompue, c’est quelqu’un à qui vous confiez la responsabilité de résoudre le problème du trou de la sécu et qui, après avoir fortement augmenté impôts et cotisations sociales, a cessé de rembourser les frais médicaux, et trouve le moyen d’augmenter encore le trou de la sécu... aux profits de puissants lobbys financiers que sont les laboratoires et les industries de santé...

Ne riez pas, nous sommes en plein dans cette réalité objective, celle de la paupérisation des classes moyennes et la misère des populations les plus faibles.



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vendredi 21 janvier 2011

La vraie nature de notre Président de la République.

On ne partage jamais des marques de sympathie avec quelqu'un sans avoir de nombreux dénominateurs en communs...



Lorsqu'il y a complaisance de l'ensemble de nos responsables politiques, avec une dictature comme l'était celle dirigée par Ben Ali en Tunisie, n'est-ce pas le constat objectif d'un état de corruption similaire ?

Comme le dit si sagement le Corpus Hermeticum : seul le semblable connaît le semblable.

Lorsque Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa dit :

Je lève mon verre à votre bonheur personnel et à celui de votre famille.

À qui fera-t-on croire qu'il ignorait et la nature de son régime implacable, et le népotisme que faisait régner cette famille sur l'ensemble de la Tunisie ?

L'empathie, qui dans cet extrait se transforme en sympathie joyeusement et sincèrement exprimée, ne laisse aucun doute quant à la complicité profonde qui unissait ces deux dirigeants.

Voilà pourquoi ce citoyen Président n’a rien dit concernant ce régime corrompu, et pourquoi les membres de son gouvernement, tout aussi corrompus qu’il l’est, se sont fourvoyés dans des déclarations aussi oiseuses qu’accablantes.

Bon, lorsque je dis que Ben Ali était corrompu, je devrais nuancer mon propos, car si j’en crois notre ministre des affaires étrangères, il ne l’était pas au niveau de compétence du régime qui nous gouverne, puisqu’elle se proposait d’apprendre à ses forces de répressions la façon de mater sournoisement une révolte à coups de Taser, de Flash-ball, armes invalidantes, mais peu létales...

N’est-il pas dans la nature de ces régimes corrompus de finir lamentablement ?

Comme je le dis dans mon livre : Les Clavicules de la Sapience :

1- Le sage ne redoute pas le triomphe du mal, car il sait qu’inéluctablement ça finira mal.



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mardi 18 janvier 2011

La Nature n'appartient à personne, surtout pas aux écologistes


L’imposture de l’écologie en politique.

Il n’y a pas plus de saints dans les partis qui se réclament de l’écologie, qu’ailleurs. Il y en aurait même probablement beaucoup moins.

Parmi les écologistes notoires, auto-proclamés apôtres du dogme officiel, nous pouvons observer l’émergence de pratiques qui ont valu à l’humanité les pires fléaux qu’elle a eu à subir dans son Histoire.

Derrière un angélisme bucolique, souvent benêt et bon enfant, se cachent les pires démons de l’intolérance, du sectarisme et du totalitarisme le plus tyrannique.

Tout comme le vice sait se draper dans les habits de la vertu pour conquérir le pouvoir, le diable sait se mettre au bio pour duper les profanes ignorants...

Ces écolos-prêtres sont imbus de leur prétention à vouloir imposer leurs certitudes. Certitudes qui ne sont que les excroissances d’une ignorance incommensurable sur laquelle repose leur Foi aveugle, pour les plus sincères, et la duplicité pour les opportunistes.

Tout comme le font les religions sectaires, s’autoproclamant les seuls interprètes de la Pensée Divine, nos écolos-prêtres investissent la politique pour tenter d’imposer leur charia. Cette loi canonique basée sur les pseudo révélations que leur aurait fait Mère Nature sur je ne sais quel mont Sinaï, à l’occasion desquelles révélations ils auraient reçu, eux et eux seuls, les Tables de la Loi.

Nous voilà de plus en plus soumis à leurs imprécations, anathèmes, récriminations, et autres menaces d’excommunication aux hérétiques, comme invariablement l’ont fait avant eux les prosélytes des idolâtres et les fanatiques tant du communisme, du nazisme, du maoïsme, du christianisme, de la religion musulmane et de la pensée unique du politiquement correct.

L’air que nous respirons est de plus en plus pollué par nos rejets collectifs, tant organiques qu’industriels, disent-ils sentencieusement, comme le font les Nicolas Hulot, les Yann-Arthus Bertrand et autres commandant Cousteau... Assurément, la chose est ma foi vraie. Mais la Nature n’a nul besoin de nous pour faire nettement mieux en matière de pollution. Ses usines sont les volcans, qui ont tant de fois modifiés le climat de cette planète, et ce depuis ses origines. Bien avant que l’être humain n’apparaisse sur terre, une colossale pollution de l’air a eu lieu à cause de bactéries qui, en se multipliant, ont rejeté dans l’atmosphère de l’époque un gaz extrêmement toxique, auquel nous devons la disparition d’une grande partie des la faune et la flore de cette période antique. Ce gaz mortel que ces organismes ont produit en quantité incontrôlée et incontrôlable, ce n’était rien d’autre que... L’OXYGÈNE...

Si ces bactéries, pendant quelques milliards d’années, n’avaient pas produit ce gaz mortel pour les espèces acclimatées de cette atmosphère dépourvue d’oxygène, nous ne serions pas là. Heureusement qu’à cette époque, des écolos-prêtres à courte vue, aux fronts étroits et à l’ignorance crasse n’existaient pas ! Leur Foi aveugle et leur angélisme infantile auraient empêché les espèces actuellement présentes de venir visiter le formidable panorama de notre planète bleue...

Nous voyons nos imprécateurs s’agiter comme des diablotins hystériques pour crier à la face du monde que nous sommes les responsables du réchauffement climatique tant par notre prolifération, que nos activités économiques, ainsi que par les flatulences de nos animaux d’élevages... Belle affaire que celle-ci, mais c’est là encore faire preuve d’étroitesse de vue et d’ignorance calamiteuse. Dans l’Histoire de notre planète nous avons pu établir qu’elle a subi des cycles réguliers de réchauffement et de refroidissement, que l’espèce humaine soit présente ou non. Ceci provient de ses rapports avec l’astre solaire, qui n’a pas besoin de nous pour assurer ses fonctions, et du parcours du système solaire au sein de la Voie lactée. Il est fort probable que le réchauffement actuel soit essentiellement dû à des phénomènes exogènes à l’espèce humaine. Et je laisse imaginer ce que produiraient comme flatulences tous ces chevaux si nous n’avions pas l’automobile comme moyen de locomotion.

Tout ceci serait risible et distrayant si derrière ces fausses bonnes intentions ne se profilait l’ombre de la prochaine dictature, celle de l’écologisme...

Cette dictature, à l’image de toutes les autres, sera faite d’obligations (y compris par la force et la violence), de contraintes réglementaires toutes plus absurdes les unes que les autres. De corruptions, comme celle qui se manifeste par l’instauration de la taxe carbone. D’inégalités, car les bénéficiaires de cette dictature seront ceux qui sauront apparaître comme des alliés serviles et des militants zélés tous plus incultes les uns que les autres. Elle sera faite de taxes, d’impôts et de cotisations confiscatoires et imbéciles, à l’image de la taxe écologique sur les véhicules neufs que nous devons au fantasque et incompétent Borloo et qui a couté aux contribuables 500 millions d’euros en 2010.

Je dis fantasques, car Borloo n’est pas plus crédible en matière d’écologie qu’il ne l’était en tant que ministre de l’Économie et des Finances. Incompétent, car il fallait vraiment manquer du plus élémentaire bon sens commun, pour ne pas imaginer la gabegie financière à l’origine de son bonus/malus écolo. Alors qu’il aurait suffi de créer uniquement un malus conséquent pour obtenir le même résultat sans que cela coute un centime aux contribuables, dont un grand nombre n’utilisent que les transports en commun et se trouvent devoir financer, par leurs impôts, les véhicules de ceux qui ont les moyens d’en avoir...

Je n’ai pas l’ambition de faire ici l’inventaire exhaustif des imbécilités écologiques ruineuses et parfaitement contre productives, un livre de plusieurs tomes n’y suffirait pas. Juste une dernière qui m’a particulièrement amusé, celle des panneaux solaires à base de cellules photovoltaïques censées produire de l’électricité, et dont les subventions ont couté très cher aux contribuables, et aux consommateurs EDF, puisqu’ils vont financer par leurs factures, ce que d’autres peuvent s’offrir à leurs dépends. Mais là n’est pas le plus rigolo. Ce qui rend ridiculement cocasse cette opération, c’est qu’elle a permis à la Chine d’accaparer un marché sur lequel nous ne sommes pas capables de produire, et donc, ces impôts écolos servent à financer des emplois... ailleurs !

Merci l’écologie doctrinaire !

Reste que certains pourraient légitimement penser que je suis un dinosaure d’une autre époque et qui est appelé à disparaître pour cause d’inadaptation aux conditions climatiques nouvelles...

Ce serait aller un peu vite en besogne, car contrairement aux apparences je suis un écologiste convaincu. Pas un écolo dogmatique et partisan de ce bidule en «isme» qui veut se faire parti politique avant que d’être consacré religion d’État, mais une écolo par nature, par plaisir, par épanouissement et par art de vivre.

Ce qui me sépare des écolos-prêtres, c’est le fait que pour moi l’écologie, qui appartient à tout le monde, est une étape évolutive épanouissante et libératrice d’une civilisation nécessairement vertueuse et spirituelle. Pas une source d’asservissements, de frustrations, de misérabilisme et de harcèlements.

Pas plus que l’idée d’un Divin Créateur est la propriété exclusive d’une quelconque religion, l’écologie art de vivre est un bien commun que nous devons apprendre à maîtriser, car c’est toujours préférable d’apprendre à mieux vivre en harmonie avec les lois naturelles, qu’apprendre à faire du fric par plus de stress, plus de productivité, plus de possessions inutiles et asservissantes, plus d’aliénation au service d’une mondialisation spoliatrice et dégénérée, et plus de matérialisme auto-destructeur et sans âme.

Après l’apprentissage et la mise en pratique de cet art de vivre que doit rester l’écologie - ce qui ne peut pas se faire par l’asservissement et la contrainte, mais par l’intelligence et la pertinence qui nous viennent tant de la connaissance que de ce qui fait l’épanouissement collectif -, nous pourrons partager et transmettre aux générations montantes ce degré supérieur de civilisation qu’est l’art de vivre de façon écologique.

Pour cela il n’est pas nécessaire de refaire un clergé et une technostructure de serviteurs d’un méchant système dominateur, ce qui est invariablement source de corruptions, privilèges et totalitarisme.

Voilà pourquoi si l’écologie devient un parti politique, nous avons tous à craindre le pire, et le pire en une telle occurrence sera certain !

L’écologie universelle n’est pas une punition, mais une récompense, celle que produit l’élévation des Consciences.

C’est dire si nous en sommes encore loin...




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vendredi 14 janvier 2011

Nous vivons des temps terriblement passionnants


Petite vaticination pour 2011

Que pouvons-nous attendre pour cette année 2011 ?

La Mondialisation, cette grande prostituée et organisation maffieuse qui entend dominer la planète, continuera d’étendre ses ramifications totalitaires tant financières que militaires et accessoirement politiques, ce théâtre de corruption de marionnettes des démocraties d’opérette.

Parmi ces marionnettes démocratiquement élues, nous trouvons des personnages comme Hamide Karzai, ce puissant baron de la drogue afghane, agent de la C.I.A., maintenu au pouvoir par une puissance militaire étrangère ; Zine el-Abidine Ben Ali, chef d’État Tunisien venu au pouvoir par un coup d’État, et qui se maintient depuis avec un simulacre d’élection démocratique, mais dont les score de république bananière démontre les fraudes et révèle la nature dictatoriale du régime corrompu, comme le sont tous ces régimes. Dans la même catégorie, nous y trouvons les présidents Moubarak en Égypte, Bouteflika en Algérie, tous ceux du continent africain à des degrés divers, Israël inclus.

Ceci ne veut pas dire que la démocratie est de meilleure qualité sur les autres continents... L’Europe a des démocraties tout aussi dévoyées, comme peut l’être celle qui sévit en France, mais avec le temps leurs dirigeants corrompus ont appris à lui donner une apparence de respectabilité, à l’image du vice qui, voulant prendre le pouvoir et s’y maintenir durablement, se drape dans les habits de la vertu...

La mondialisation, qui n’est qu’une corruption généralisée, repose sur la spoliation du plus grand nombre au profit d’une caste d’hyper-privilégiés qui se partage voracement les richesses de la planète. Nous retrouvons dans cette nomenklatura maffieuse les banquiers, dont les banquiers centraux sont les parrains ; les complexes militaro-industriels, les multinationales et la clique des politiciens professionnels dirigeants et manipulant les technostructures des États.

Les peuples - ces moutons dociles que l’on tond sans cesse avant de les mener, tout aussi docilement, à l’abattoir -, sont maintenant dans la situation où ils vont cruellement découvrir que les bergers, qui sont censés assurer leur protection, sont en fait les pires prédateurs auxquels ils puissent être confrontés.

Cette prise de conscience n’est pas nouvelle, mais elle commence à atteindre un seuil que je qualifierais de transition de phase. Tant que le mouton est protégé et que sa subsistance est assurée, il n’a qu’une courte vue des réalités qui l’environnent, et ne cherche pas à remettre en cause son état de soumission qui est conforme à sa nature profonde. Mais nous en sommes au stade ou les bergers ont allègrement détournés à leurs profits, les ressources servant à protéger et nourrir les moutons, et qu’ils leur faut donc maintenant faire subir la disette, la famine et la misère, aux troupeaux dont ils ont la responsabilité.

Le mouton, paisible par nature, ne le reste pas dans toutes les circonstances. Lorsqu’il n’a plus de quoi payer son loyer, nourrir sa famille et lui-même, mettre de l’essence dans sa voiture et assurer un semblant d’avenir de sa descendance, il se transforme en mouton enragé et quand sa colère est au même niveau que celle que ressent l’ensemble de ses congénères, alors les bergers, les chiens et les vétérinaires peuvent sérieusement redouter l’effet de contagion de cette mutation du paisible en férocité dévorante.

Le feu couve depuis longtemps déjà. Nos dirigeants imbus d’une puissance dont ils pensent qu’elle les protège et les protègera toujours, ne s’aperçoivent pas que leur suffisance et leur arrogance ne fait que nourrir chaque jour un peu plus le feu de cette colère. Le peuple est lent à la détente, mais, tel un volcan qui entre en éruption, lorsqu’il décide que les limites du supportable sont franchies, alors l’embrassement devient rapidement incontrôlable. En plus, ce que nos dirigeants méprisent par vanité, il (le peuple) a de la mémoire.

Les quelques éruptions locales, en France, en Grèce, en Tunisie, au Portugal, en Algérie, en Chine ne sont que les signes avant-coureurs d’une explosion généralisée.

Croire que mettre des millions d’Américains dans la misère et sous les ponts, les condamnant à vivre comme des rats ou des esclaves d’un système profondément inhumain et injuste, puisse se faire sans qu’une réaction collective se produise, c’est faire preuve d’un grand aveuglement. Croire que la paupérisation des classes moyennes, l’institutionnalisation des restos du coeur et la clochardisation des classes laborieuses et modestes puissent se faire sans qu’il ne se produise les mêmes révoltes que celles que l’Histoire nous rapporte, dans des situations similaires, c’est faire preuve d’ignorance, d'incompétence et d’irresponsabilité.


2011, sera ce chaudron de sorcière dans lequel va continuer de mijoter l’ignoble soupe de la mondialisation. Les sorciers qui sont en charge de la mixture diabolique s’entendent encore comme larrons en foire pour s’en approprier les méfaits. Des banquiers centraux, au FMI, de la banque mondiale à l’ONU, du G20 aux institutions si peu démocratiques de l’Europe ou des USA, nous les verrons sur le devant de la scène médiatique tenter de nous refiler des promesses vaseuses et depuis si longtemps éculées de lendemain qui ne peuvent plus chantés quoi qu’ils en disent. Ainsi que des programmes de sortie de crise, alors que nous continuerons inexorablement à nous y enliser toujours plus, pour cause d'accroissement de la dette monumentale.

Les restos du coeur auront toujours plus de clients. Les SDF seront toujours plus nombreux, même en ayant travail et revenu. Les jeunes diplômés seront toujours plus nombreux... au chômage. Les caisses de retraite toujours de plus en plus vides. Les déficits de plus en plus incontrôlables. Les libertés de plus en plus corsetées et la justice de moins en moins respectée par ceux qui sont en charge de la défendre, et pour cause, si elle se mettait à faire son travail, ils seraient immédiatement incarcérés.

Si tout ce bazar n’a pas brutalement explosé avant la fin de cette année, rendez-vous en début 2012, pour contrôler l’exactitude de mes petites prévisions...;-)



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dimanche 2 janvier 2011