L’étrange et fascinant théâtre d’ombres de la politique, de l’économie, des fausses croyances naïves et des ignorances.
Pour peu que l’on sache prendre un minimum de recul sur l’évènement, il devient aisé de comprendre que ce sur quoi on attire notre attention n’est en réalité qu’un vieux truc, un peu ringard, que pratiquent tous les illusionnistes.
La Démocratie, qui se veut la moins pire de tous les systèmes sans pour autant prétendre en être la meilleure, n’est en réalité qu’une mascarade destinée aux troupeaux de votants rêveurs et benêts, qu’un petit nombre entend bien maintenir sous son total contrôle.
Depuis ses origines ( supposées grecques), la Démocratie a fait la démonstration de sa duplicité et de la faillite qui est son inéluctable finalité.
La Démocratie n’est pas la liberté pour tous, mais uniquement celle des plus forts. Elle donne invariablement le pouvoir à la finance et la caste de ploutocrates qui s’organisent en oligarchie reposant sur un népotisme qui se veut rapidement aristocratique, avec privilèges, abus de pouvoir et justice de classe...
Le dessein de la Démocratie est dans son otologie originelle défini comme celui du pouvoir du peuple, pour le peuple et par le peuple...
Si nous n’étions pas tous aussi endoctrinés par une propagande séculaire qui nous fait prendre depuis des millénaires, des vessies pour des lanternes et des politiciens corrompus pour des archétypes de la vertu, nous saurions depuis belle lurette que la Démocratie n’est pas et n’a jamais été la souveraineté populaire, ni la liberté, mais probablement le moyen le plus cynique et le plus sophistiqué de l’asservissement des populations qui succombent à ses charmes de maquerelle racoleuse.
Exemple concret : Ne croyez surtout pas que les banquiers apatrides qui sont au centre de tous les systèmes prétendument démocratique, soient obnubilés par l’argent et son accumulation. Ils savent, depuis fort longtemps que l’argent n’est qu’un symbole volatile d’un pouvoir beaucoup plus puissant et sur lequel repose celui de leur domination par l’asservissement des individus à leur profit.
L’argent se dévalue, se perd, se vole, s’évapore naturellement. C’est d’ailleurs pour cette raison que les banquiers s’empressent de le dépenser au-delà de toutes limites raisonnables, comme le démontrent les systèmes de prolifération des crédits et des endettements tant publics que privés.
Il faut impérativement que les Nations soient endettées (déficits budgétaires récurants), que les particuliers soient endettés (logement, voitures, équipements de la maison, loisirs, éducation des enfants et surtout pour leur retraite). D’une part, c’est grâce à cette montagne d’endêtement qu’ils augmentent mécaniquement leurs enrichissements et d'autre part, c’est aussi ce qui assure la pérennité de leur pouvoir en obligeant les populations à se mettre au travail, car la véritable richesse n’est pas l’argent, mais le labeur des individus, la sueur de votre travail.
Comment contrôler cette irremplaçable richesse ? Simplement par l’endettement qui oblige le débiteur à fournir son énergie, son temps, ses compétences et sa liberté au profit d’un système qu’il ne contrôle pas, qui ne lui vend que de la bimbeloterie pour attardés mentaux, et qui le condamne à faire chaque jour, pour l’essentiel de son temps, ce qu’il n’aurait jamais accepté de faire sans son aliénation au crédit.
Sans cette aliénation, il n’aurait pas besoin de vivre dans des mégalopoles déshumanisées, polluées et étouffantes. Sans cette aliénation, il ne serait pas astreint à prendre des transports en commun dignes des transports à bestiaux. Sans cette aliénation, il n’aurait pas besoin de changer régulièrement de voiture, de s’astreindre à utiliser une énergie pétrolière qui n’est qu’une pompe à finance et à endettement. Sans cette aliénation, il ne chercherait pas désespérément à se libérer soit par des loisirs crétins, et toujours coûteux, soit par le biais d’une pharmacopée provoquant des addictions encore plus aliénantes, soit par des substances hallucinogènes illicites. Sans cette aliénation, il ne serait pas obligé, pour cause de manque de temps, d’utiliser les services du toujours plus pratique, toujours plus facile, toujours préparé par de puissantes industries du périssable et du toujours plus polluant...
Comment maintenir un individu dans la servitude ? Par l’endettement.
Comment l’engager dans ce processus d’endettement ? En le maintenant dans l’ignorance.
Comment le maintenir dans l’ignorance ? En prenant en charge son éducation dès le plus jeune âge.
Comment le contraindre à accepter ce système profondément injuste et destructeur de corps et d'âmes ? En utilisant ses peurs ses émotions, ses désirs primaires et ses passions les plus matérialistes.
Quel est le meilleur moyen d’y parvenir ? En lui racontant des histoires à dormir debout comme : la quête du bonheur terrestre, un succédané de liberté qui se résume à lui donner l’illusion que son vote sert à quelque chose, alors que depuis des décennies il est aisé de constater, le plus objectivement possible, qu’il ne sert RIGOUREUSEMENT à rien. Surtout pas à limiter les pouvoirs des ploutocrates, des banquiers et des politiciens corrompus, sinon nous n'en serions pas dans cet état généralisé de pollution nucléaire mortelle pour l'humanité et de faillite économique mondiale.
Comme la Démocratie ne repose que sur l’imposture, la duplicité et le mensonge, elle ne peut donc pas prétendre être équitable et l’expression de la justice. Comme il n’y a pas de liberté sans justice, la Démocratie est contraire, dans ses fondamentaux, à la liberté !
Ce que je trouve fascinant dans tout cela, c’est le fait qu’avec un minimum de bon sens commun, il soit pourtant facile de constater la tromperie sur la qualité de cette marchandise qu’est la Démocratie, et qu’il y ait encore autant de moutons de votants pour participer à sa mascarade élective sans laquelle elle n'existerait pas...
Pour reprendre ce que disait ce grand clairvoyant qu’était le général de Gaulle : l’être humain lambda serait-il à ce point si proche du veau ?
La Démocratie, qui se veut la moins pire de tous les systèmes sans pour autant prétendre en être la meilleure, n’est en réalité qu’une mascarade destinée aux troupeaux de votants rêveurs et benêts, qu’un petit nombre entend bien maintenir sous son total contrôle.
Depuis ses origines ( supposées grecques), la Démocratie a fait la démonstration de sa duplicité et de la faillite qui est son inéluctable finalité.
La Démocratie n’est pas la liberté pour tous, mais uniquement celle des plus forts. Elle donne invariablement le pouvoir à la finance et la caste de ploutocrates qui s’organisent en oligarchie reposant sur un népotisme qui se veut rapidement aristocratique, avec privilèges, abus de pouvoir et justice de classe...
Le dessein de la Démocratie est dans son otologie originelle défini comme celui du pouvoir du peuple, pour le peuple et par le peuple...
Si nous n’étions pas tous aussi endoctrinés par une propagande séculaire qui nous fait prendre depuis des millénaires, des vessies pour des lanternes et des politiciens corrompus pour des archétypes de la vertu, nous saurions depuis belle lurette que la Démocratie n’est pas et n’a jamais été la souveraineté populaire, ni la liberté, mais probablement le moyen le plus cynique et le plus sophistiqué de l’asservissement des populations qui succombent à ses charmes de maquerelle racoleuse.
Exemple concret : Ne croyez surtout pas que les banquiers apatrides qui sont au centre de tous les systèmes prétendument démocratique, soient obnubilés par l’argent et son accumulation. Ils savent, depuis fort longtemps que l’argent n’est qu’un symbole volatile d’un pouvoir beaucoup plus puissant et sur lequel repose celui de leur domination par l’asservissement des individus à leur profit.
L’argent se dévalue, se perd, se vole, s’évapore naturellement. C’est d’ailleurs pour cette raison que les banquiers s’empressent de le dépenser au-delà de toutes limites raisonnables, comme le démontrent les systèmes de prolifération des crédits et des endettements tant publics que privés.
Il faut impérativement que les Nations soient endettées (déficits budgétaires récurants), que les particuliers soient endettés (logement, voitures, équipements de la maison, loisirs, éducation des enfants et surtout pour leur retraite). D’une part, c’est grâce à cette montagne d’endêtement qu’ils augmentent mécaniquement leurs enrichissements et d'autre part, c’est aussi ce qui assure la pérennité de leur pouvoir en obligeant les populations à se mettre au travail, car la véritable richesse n’est pas l’argent, mais le labeur des individus, la sueur de votre travail.
Comment contrôler cette irremplaçable richesse ? Simplement par l’endettement qui oblige le débiteur à fournir son énergie, son temps, ses compétences et sa liberté au profit d’un système qu’il ne contrôle pas, qui ne lui vend que de la bimbeloterie pour attardés mentaux, et qui le condamne à faire chaque jour, pour l’essentiel de son temps, ce qu’il n’aurait jamais accepté de faire sans son aliénation au crédit.
Sans cette aliénation, il n’aurait pas besoin de vivre dans des mégalopoles déshumanisées, polluées et étouffantes. Sans cette aliénation, il ne serait pas astreint à prendre des transports en commun dignes des transports à bestiaux. Sans cette aliénation, il n’aurait pas besoin de changer régulièrement de voiture, de s’astreindre à utiliser une énergie pétrolière qui n’est qu’une pompe à finance et à endettement. Sans cette aliénation, il ne chercherait pas désespérément à se libérer soit par des loisirs crétins, et toujours coûteux, soit par le biais d’une pharmacopée provoquant des addictions encore plus aliénantes, soit par des substances hallucinogènes illicites. Sans cette aliénation, il ne serait pas obligé, pour cause de manque de temps, d’utiliser les services du toujours plus pratique, toujours plus facile, toujours préparé par de puissantes industries du périssable et du toujours plus polluant...
Comment maintenir un individu dans la servitude ? Par l’endettement.
Comment l’engager dans ce processus d’endettement ? En le maintenant dans l’ignorance.
Comment le maintenir dans l’ignorance ? En prenant en charge son éducation dès le plus jeune âge.
Comment le contraindre à accepter ce système profondément injuste et destructeur de corps et d'âmes ? En utilisant ses peurs ses émotions, ses désirs primaires et ses passions les plus matérialistes.
Quel est le meilleur moyen d’y parvenir ? En lui racontant des histoires à dormir debout comme : la quête du bonheur terrestre, un succédané de liberté qui se résume à lui donner l’illusion que son vote sert à quelque chose, alors que depuis des décennies il est aisé de constater, le plus objectivement possible, qu’il ne sert RIGOUREUSEMENT à rien. Surtout pas à limiter les pouvoirs des ploutocrates, des banquiers et des politiciens corrompus, sinon nous n'en serions pas dans cet état généralisé de pollution nucléaire mortelle pour l'humanité et de faillite économique mondiale.
Comme la Démocratie ne repose que sur l’imposture, la duplicité et le mensonge, elle ne peut donc pas prétendre être équitable et l’expression de la justice. Comme il n’y a pas de liberté sans justice, la Démocratie est contraire, dans ses fondamentaux, à la liberté !
Ce que je trouve fascinant dans tout cela, c’est le fait qu’avec un minimum de bon sens commun, il soit pourtant facile de constater la tromperie sur la qualité de cette marchandise qu’est la Démocratie, et qu’il y ait encore autant de moutons de votants pour participer à sa mascarade élective sans laquelle elle n'existerait pas...
Pour reprendre ce que disait ce grand clairvoyant qu’était le général de Gaulle : l’être humain lambda serait-il à ce point si proche du veau ?
------------------------------------------------------------------------------
1 commentaire:
très très large est le chemin qui mène à la perdition, très très très étroite et resserrée est la voie qui mène à la vie... et il y en a peu qui la trouve :'(, quand bien même il la trouverait, il serait impuissant face à l'emprise de l'aigle. Et tout ces pauvres humains qui marchent sur leur tête, depuis que lady gaga a repris la tête de wall street, rien ne va plus, c'est la chute d'un empire, nous marchons au travers de ruine, il va falloir renverser le système de valeur et trouver les artisans du coeur... et bin c'est pas gagné!
Enregistrer un commentaire