Marine Le Pen "décrypte" l'affaire DSK par polecom
La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse.
Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, Article 6.
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Dans cette vidéo, Marine Le Pen fait une analyse particulièrement pertinente de la triste affaire d’un membre de cette nomenklatura du Nouvel Ordre Mondial, dont Dominique Strauss-Khan en était l’image emblématique.
Même si je regrette qu’elle ne soit pas remontée aux sources des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, je veux parler de ce qui fonde l’incontournable principe du DROIT COMMUN, à savoir : cet extrait de l’article 6, de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui dispose :
La loi doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse.
En remontant à cette base légale (droit constitutionnel), il est permis de rappeler que dès lors où le DROIT COMMUN est un Droit de l’Homme, il est donc Naturel, Inaliénable, Sacré et Imprescriptible, selon les dispositions même de notre DDHC de 1789, qui est et reste la Mère de toutes les Déclarations, à ce jour sans égale.
Que la gente politique, gavée de suffisance, d’arrogance et convaincue de sa totale impunité - comme le démontre la longue liste des affaires véreuses qui finissent dans les oubliettes d’une justice soit complaisante, soit impuissante -, s’imagine qu’elle peut tout se permettre, il y a bien longtemps que le citoyen de base assiste impuissant à cette dérive totalitaire, mafieuse, n’ayant pas d’autre choix, lorsqu’il a la possibilité d’exprimer sa souveraineté, que de voter entre la peste et le choléra.
Qu’un parti politique replace le débat sur ce qui est le fondement du pacte Républicain et de ce qui fait la spécificité de notre «démocratie», je veux parler de la Justice sans laquelle il ne peut pas y avoir de liberté, voilà qui représente une infime, mais réelle lueur d’espoir. Est-ce qu’enfin, le débat politique va se faire non plus sur des artifices pour attirer l’attention des gogos de votants qui ne pensent qu’à leurs petits intérêts personnels pour toute conscience politique, mais sur ce qui est au coeur même du drame de civilisation que nous sommes en train de vivre en direct, celui de la faillite généralisée d’un système clanique (Mondialisation), se voulant faussement aristocratique et à l’incompétence incommensurable engendrée par la corruption, les privilèges, les abus de pouvoir et l’INJUSTICE.
Que la jeunesse sans perspective, les chômeurs avec ou sans droits, les retraités qui ont et auront de plus en plus de difficultés à vivre avec leur retraite ; que les travailleurs pauvres, les classes moyennes en voie de paupérisation, les agriculteurs condamnés au servage et au suicide, les petites et moyennes entreprises devant subir une concurrence déloyale résultat des règles imbéciles d’une mondialisation, axées sur les profits de quelques uns, ne cherchent pas ailleurs la cause de leurs malheurs que dans la corruption des gouvernements, dont l’injustice est le dogme absolu.
Nos illustres et clairvoyants ancêtres auxquels nous devons la chance d’avoir encore cet ultime recours que sont les Droits de l'Homme, mais pour combien de temps, nous offre, à nous qui en sommes les héritiers privilégiés et si peu méritants, la possibilité de faire mordre la poussière à tous ces cyniques hors la loi, qui ne gouvernent uniquement que parce que nous sommes passifs, complaisants et blasés dans nos indignations les plus élémentaires.
Tout a pourtant été clairement exprimé, dans le préambule de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 :
Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements...
Même si je regrette qu’elle ne soit pas remontée aux sources des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, je veux parler de ce qui fonde l’incontournable principe du DROIT COMMUN, à savoir : cet extrait de l’article 6, de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui dispose :
La loi doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse.
En remontant à cette base légale (droit constitutionnel), il est permis de rappeler que dès lors où le DROIT COMMUN est un Droit de l’Homme, il est donc Naturel, Inaliénable, Sacré et Imprescriptible, selon les dispositions même de notre DDHC de 1789, qui est et reste la Mère de toutes les Déclarations, à ce jour sans égale.
Que la gente politique, gavée de suffisance, d’arrogance et convaincue de sa totale impunité - comme le démontre la longue liste des affaires véreuses qui finissent dans les oubliettes d’une justice soit complaisante, soit impuissante -, s’imagine qu’elle peut tout se permettre, il y a bien longtemps que le citoyen de base assiste impuissant à cette dérive totalitaire, mafieuse, n’ayant pas d’autre choix, lorsqu’il a la possibilité d’exprimer sa souveraineté, que de voter entre la peste et le choléra.
Qu’un parti politique replace le débat sur ce qui est le fondement du pacte Républicain et de ce qui fait la spécificité de notre «démocratie», je veux parler de la Justice sans laquelle il ne peut pas y avoir de liberté, voilà qui représente une infime, mais réelle lueur d’espoir. Est-ce qu’enfin, le débat politique va se faire non plus sur des artifices pour attirer l’attention des gogos de votants qui ne pensent qu’à leurs petits intérêts personnels pour toute conscience politique, mais sur ce qui est au coeur même du drame de civilisation que nous sommes en train de vivre en direct, celui de la faillite généralisée d’un système clanique (Mondialisation), se voulant faussement aristocratique et à l’incompétence incommensurable engendrée par la corruption, les privilèges, les abus de pouvoir et l’INJUSTICE.
Que la jeunesse sans perspective, les chômeurs avec ou sans droits, les retraités qui ont et auront de plus en plus de difficultés à vivre avec leur retraite ; que les travailleurs pauvres, les classes moyennes en voie de paupérisation, les agriculteurs condamnés au servage et au suicide, les petites et moyennes entreprises devant subir une concurrence déloyale résultat des règles imbéciles d’une mondialisation, axées sur les profits de quelques uns, ne cherchent pas ailleurs la cause de leurs malheurs que dans la corruption des gouvernements, dont l’injustice est le dogme absolu.
Nos illustres et clairvoyants ancêtres auxquels nous devons la chance d’avoir encore cet ultime recours que sont les Droits de l'Homme, mais pour combien de temps, nous offre, à nous qui en sommes les héritiers privilégiés et si peu méritants, la possibilité de faire mordre la poussière à tous ces cyniques hors la loi, qui ne gouvernent uniquement que parce que nous sommes passifs, complaisants et blasés dans nos indignations les plus élémentaires.
Tout a pourtant été clairement exprimé, dans le préambule de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 :
Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements...
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