Un dispositif susceptible de rendre toute son éthique à notre démocratie et un retour progressif de notre indépendance.
Remarquons d’abord que le Conseil Constitutionnel outre qu’il s’est maintes fois fourvoyé dans des compromissions politiques qui lui ont fait perdre son honorabilité, n’a jamais hésité à violer la loi et la Constitution lorsque des conflits d’intérêts se manifestaient entre le peuple et la nomenklatura politique pour cause de consanguinité avec cette dernière.
Remarquons qu’il est devenu un repaire de délinquants notoires plus préoccupés de protéger une caste de dirigeants corrompus et ses privilèges illégaux que les libertés et le droit constitutionnel.
C’est en grande partie à cause de cette bizarrerie contraire aux principes des Droits de l'Homme, aux pratiques occultes et hors de tout contrôle, que les moeurs politiques se sont considérablement dégradées dans ce pays au point de n'avoir que des menteurs ou des carriéristes cupides pour élus.
Remarquons que la justice n’est plus respectée, les institutions ne sont plus soumises au strict respect des principes du pacte républicain, d’où une dérive sans cesse totalitaire de la technostructure, et une disparition de la Liberté et de l'indépendance de ce pays.
Remarquons que les pouvoirs ne sont plus séparés, et les contres pouvoirs n’existent plus.
Remarquons que la transparence, qui est un des pilier de la démocratie, a fait place à l'opacité la plus complète, source des pires magouilles et prévarications.
Remarquons qu'une oligarchie s’est installée au coeur de ce processus mafieux et entend faire régner son autorité fusse au prix de l’arbitraire, de l'asservissement et de la dictature dont les exemples abondent.
Remarquons que les parlementaires, élus de la Nation, ne disposent plus d’autres droits que celui qui consiste à se soumettre à quelques énarques qui ont colonisé les partis politiques, les administrations et les grandes entreprises privées. Ils imposent leur propre souveraineté (celle de leurs intérêts de caste) en violation des acquis de la Révolution (suppression des privilèges) et des différentes conquêtes en matière de libertés, d’égalité et de moralité publique.
Pour mettre un terme à cette dérive tant mafieuse que totalitaire, il faut impérativement instaurer dans ce pays une
Cour française des Droits de l’Homme.
Cette Cour, devra avoir des magistrats spécialisés en matière de droit constitutionnel, et qui devront prêter serment de strict respect d’indépendance à l’égard de tout pouvoir politique et judiciaire, ainsi qu'un engagement solennel en la défense des Droits de l’Homme selon les termes de la DDHC de 1789, et des dispositions la Constitution.
Cette Cour pourra être saisie, selon des modalités simples à définir et respectant le droit commun, par n’importe quel membre du corps social s’estimant lésé tant par une loi scélérate, décrets opportunistes et règlementations arbitraires, que par des jugements ne respectant pas la conformité de ses droits fondamentaux. Elle pourra aussi être saisie par chacun des élus de la Nation qui considérera l’abus de droit d’un des trois pouvoirs, ou le non-respect de leur séparation, ainsi que l’entrave faite à l’exécution de son mandat d’élu du peuple que ce soit en matière de liberté d’expression, ou d’obstacle à une saine pratique parlementaire, par exemple : la libre constitution de groupe de contrôle du bon fonctionnement de l’État ou de ses administrations, qui sont tenus de rendre compte tant à la représentation nationale, qu’à chaque citoyenne et citoyen de ce pays, comme l’indique clairement et simplement la Déclaration des Droits de l’homme et du Citoyen de 1789.
J’invite toutes Citoyennes et Citoyens de ce pays, tous les partis politiques qui ont d’abord pour première préoccupation la véritable défense des libertés, tous les parlementaires qui se révoltent devant l’état de corruption de nos institutions et des gouvernements en place à prendre en considération cette proposition de la création d'une :
Cour française des Droits de l’Homme.
Remarquons qu’il est devenu un repaire de délinquants notoires plus préoccupés de protéger une caste de dirigeants corrompus et ses privilèges illégaux que les libertés et le droit constitutionnel.
C’est en grande partie à cause de cette bizarrerie contraire aux principes des Droits de l'Homme, aux pratiques occultes et hors de tout contrôle, que les moeurs politiques se sont considérablement dégradées dans ce pays au point de n'avoir que des menteurs ou des carriéristes cupides pour élus.
Remarquons que la justice n’est plus respectée, les institutions ne sont plus soumises au strict respect des principes du pacte républicain, d’où une dérive sans cesse totalitaire de la technostructure, et une disparition de la Liberté et de l'indépendance de ce pays.
Remarquons que les pouvoirs ne sont plus séparés, et les contres pouvoirs n’existent plus.
Remarquons que la transparence, qui est un des pilier de la démocratie, a fait place à l'opacité la plus complète, source des pires magouilles et prévarications.
Remarquons qu'une oligarchie s’est installée au coeur de ce processus mafieux et entend faire régner son autorité fusse au prix de l’arbitraire, de l'asservissement et de la dictature dont les exemples abondent.
Remarquons que les parlementaires, élus de la Nation, ne disposent plus d’autres droits que celui qui consiste à se soumettre à quelques énarques qui ont colonisé les partis politiques, les administrations et les grandes entreprises privées. Ils imposent leur propre souveraineté (celle de leurs intérêts de caste) en violation des acquis de la Révolution (suppression des privilèges) et des différentes conquêtes en matière de libertés, d’égalité et de moralité publique.
Pour mettre un terme à cette dérive tant mafieuse que totalitaire, il faut impérativement instaurer dans ce pays une
Cour française des Droits de l’Homme.
Cette Cour, devra avoir des magistrats spécialisés en matière de droit constitutionnel, et qui devront prêter serment de strict respect d’indépendance à l’égard de tout pouvoir politique et judiciaire, ainsi qu'un engagement solennel en la défense des Droits de l’Homme selon les termes de la DDHC de 1789, et des dispositions la Constitution.
Cette Cour pourra être saisie, selon des modalités simples à définir et respectant le droit commun, par n’importe quel membre du corps social s’estimant lésé tant par une loi scélérate, décrets opportunistes et règlementations arbitraires, que par des jugements ne respectant pas la conformité de ses droits fondamentaux. Elle pourra aussi être saisie par chacun des élus de la Nation qui considérera l’abus de droit d’un des trois pouvoirs, ou le non-respect de leur séparation, ainsi que l’entrave faite à l’exécution de son mandat d’élu du peuple que ce soit en matière de liberté d’expression, ou d’obstacle à une saine pratique parlementaire, par exemple : la libre constitution de groupe de contrôle du bon fonctionnement de l’État ou de ses administrations, qui sont tenus de rendre compte tant à la représentation nationale, qu’à chaque citoyenne et citoyen de ce pays, comme l’indique clairement et simplement la Déclaration des Droits de l’homme et du Citoyen de 1789.
J’invite toutes Citoyennes et Citoyens de ce pays, tous les partis politiques qui ont d’abord pour première préoccupation la véritable défense des libertés, tous les parlementaires qui se révoltent devant l’état de corruption de nos institutions et des gouvernements en place à prendre en considération cette proposition de la création d'une :
Cour française des Droits de l’Homme.
Si cela vous semble indispensable, faites circuler cette proposition, c'est aussi la vôtre.
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