mardi 30 août 2011

Les mensonges des politiciens.

Les Dindons de la fiscalité et de la gabegie des gouvernements corrompus : les pauvres !

En France, mais pas seulement, l’État qui prélève chaque année de plus en plus d’impôts, est de plus en plus endetté. Comme quoi il n’est pas nécessaire d’être un expert en économie (et il y en a pourtant beaucoup de ces tartuffes) pour comprendre que l’augmentation continuelle de la fiscalité n’a jamais été le remède aux déficits...

En France, mais pas seulement, il y a de plus en plus de chômage, de tributaires aux minimas sociaux, de travailleurs pauvres, et de classe moyenne en voie de paupérisation.


Mais, en France, il est de bon ton pour les "journalistes", agents de la propagande officielle et gouvernementale, de faire un parallèle entre l’augmentation de la pauvreté et l’augmentation de la richesse d’une petite catégorie sociale. Comme si ces plus riches allaient puiser cet accroissement de richesse dans l’escarcelle des plus pauvres... Une infamie et une monstrueuse immoralité, si cela était vrai, sauf que ça ne l’est pas.

Le surcroît de richesse des plus riches vient essentiellement du fait qu’ils ont la possibilité d’investir dans les pays émergents, et que cet enrichissement vient de l’étranger et non du territoire national. Grâce d'ailleurs à une politique fiscale qui favorise les délocalisations de toute nature...

En vérité, l’alibi qu’utilisent les gouvernements corrompus et qui consiste à dire on va taxer les riches, et ce depuis maintenant des décennies, n’est qu’une fausse barbe derrière laquelle se dissimule invariablement la taxation des classes moyennes et des catégories les plus défavorisées au travers des taxes indirectes (TVA, taxes sur le recyclage, taxes sur l’énergie, taxes sur le carburant, taxes sur les contrats d’assurance, dont les mutuelles) et de cotisations (CSG, RDS, SECU, RETRAITE etc...)

Alors, il faut le dire clairement et sans aucune ambiguïté, l’augmentation de la pauvreté est directement liée à l’incurie d’un État qui ne sait que dépenser toujours plus, sans jamais penser à réduire le niveau de ces dépenses, pourtant le seul remède à l’endettement et au cruel développement de la pauvreté dans ce pays, mais pas seulement. Depuis toujours il est historiquement aisé de constater qu'une population est riche, à tout le moins aisée, lorsque l'État est pauvre, et inversement.

Nous n’avons pas de quoi empêcher le développement de la pauvreté, mais nous avons de quoi envoyer des troupes en Afghanistan, en Afrique, au Liban ; de faire la guerre à la Lybie, de faire des grandes messes type G20, G7, et autres mascarades qui coutent des fortunes pour rien, de verser 240 millions d'euros au sieur Tapie. Nous avons toujours de quoi venir au secours des banquiers véreux qui se sont livrés à des carambouilles frauduleuses méritant non pas le secours des contribuables, mais la prison et l’infamie publique pour escroquerie, abus de confiance, abus de biens sociaux et de biens publics. Eux qui ne se privent jamais de faire subir ces châtiments aux malheureux entrepreneurs faisant de malheureuses affaires, bien souvent à cause du fait que sa banque lui supprime, pour des raisons de simple cupidité, son encours de crédits...

Lorsque les pauvres et les classes moyennes auront compris que les boucs émissaires de leur calamité ce ne sont pas ceux qu’on leur désigne comme étant les riches, mais essentiellement et uniquement les GOUVERNEMENTS CORROMPUS AGISSANT DE FAÇON ILLÉGITIME, alors peut être que nos insolents dirigeants commenceront à sentir, comme Ben Ali, Moubarak et consorts, se lever le vent mauvais de la révolte contre cette dictature mafieuse...



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