lundi 12 janvier 2009

Les impostures de la mondialisation


Au Casino de la mondialisation le joueur a encore moins de chance de gagner...

Depuis bientôt 30 ans les responsables politiques occidentaux se sont fait les croisés d’une nouvelle religion, qui, dans l’apocalypse de Saint Jean, est dénommée la Bête. Le Nom de cette bestiole est dans ce document, obscur, hermétique et totalement voilé. En vérité il suffit de considérer que le «NOM» est simplement l’acronyme de Nouvel Ordre Mondial, et vous levez ainsi le voile de sa véritable identité.

Ce nouvel ordre mondial est-il une chose naturelle qui serait une simple manifestation des lois de causalité échappant à l’autorité et la responsabilité de l’intellect humain ? La réponse est catégoriquement NON ! Il est le fruit de volontés concertées, ayant constitué un groupe parfaitement apatride au sein duquel se trouvent cooptés, selon des critères de convergences idéologiques et dogmatiques, les membres qui devront assurer la pérennité et le rayonnement de ce groupe...

Invariablement lorsqu’il est fait référence à ce groupe, plus ou moins occulte, en tout cas protéiforme, la propagande du politiquement correct jette sur le téméraire qui se risquerait à cette liberté et indépendance de pensées, l’anathème maintenant incontournable de l’obsédé du complot...

Bien sûr que non il n’y a pas complot, mais pour que la mondialisation existe il faut nécessairement que des individus et groupes d’individus coordonnent leurs volontés et leurs énergies afin qu’elle puisse prendre corps. Loin de moi l’idée de croire un instant que parmi ces individus et ces groupes d’individus, il puisse s’en trouver certains qui auraient l’ambition d’en contrôler tout ou partie les structures afin de s’en rendre maître... Ou alors, il faudrait supposer qu’il existe par-ci par-là des puissants complexes militaro-industriels capables de faire prévaloir leur pouvoir issu d’une force capable de soumettre les éventuels velléitaires...

Loin de moi l’idée de penser qu’il puisse y avoir une multitude d’organisations transnationales toutes en relations les unes avec les autres et au sein desquelles se retrouveraient au niveau des dirigeants, les mêmes catégories de personnes (élites ou nomenklatura), quand ce n’est pas les mêmes individus, capables d’imposer une ligne supranationale de convergences.

En vérité tant qu’il ne me sera pas démontré que pour fonctionner sur plusieurs décennies, la mondialisation peut se passer de têtes pensantes, de plannig d’application, de stratégies cohérentes savamment orchestrées, de canalisations ordonnées de flux financiers et de ressources matérielles et humaines ; d’unification de process, de normes, de règlements, et de tant de détails infiniment subtils sans lesquelles cette chimère artificielle ne pourrait survivre un seul jour, je serai légitiment fondé de croire que cette mondialisation est une organisation structurée de prise de contrôle d’un pouvoir planétaire par une minorité d’individus dont le dessein est d’en tirer le maximum de profits, qui ne sont pas uniquement financiers.

Ceci étant posé, revenons à nos petits croisés, qui, comme ceux de l’histoire de l’occident chrétien, savent fort bien qu’on attrape pas les mouches avec du vinaigre, ni qu’on engage pas les pèlerins dans une croisade sans leur faire miroiter une bonne et hypothétique cause.

Pour les croisades en terre sainte, il fallait reconquérir le soi-disant tombeau du «Christ» tombé aux mains de ceux désignés comme infidèles, avec pour récompenses, en plus des gains provenant des pillages, l’absolution pour les meurtres commis au nom de cette croisade, et l’assurance de sauver son âme par la rémission de ses péchés... Sommaire mais efficace comme l'histoire l'a démontré.

Nos croisés de la mondialisation, enfin ceux que l’on désigne pour en faire la propagande médiatique (personnels politiques corrompus, fumeux experts en tout genre, cohorte de journalistes manipulés ou asservis, lorsque ce n’est pas les deux en même temps), nous rabâchent depuis des lustres que la mondialisation sera le paradis sur terre, les fameux lendemains qui chantent, tant vantés par le dogme communiste avec les résultats que nous connaissons ; l’abondance pour tous, la fin de la faim, de la misère, de l’inculture, etc... ect...

Comme le disent si cyniquement les hommes politiques, plus le mensonge est gros, plus il a des chances d’être cru... Sachant que les promesses n’engagent que ceux qui y croient...

Après 30 ans de mise en pratique, nous sommes fondés à juger l’arbre à ses fruits, et la mondialisation à son histoire... Rappelons pour l’anecdote que la première crise de 1929 était déjà la conséquence d’une tentative de mondialisation...

Aujourd’hui pouvons-nous dire que la mondialisation a permis un élargissement des richesses à partager, et donc une amélioration d’une part importante de la population mondiale dans son ordinaire ?

Aussi surprenant que cela puisse paraitre la réponse est NON !

D'une part, le nombre de très pauvres et d'affamés n’a pas diminué. Tout comme le niveau de vie des classes moyennes notamment aux USA, a considérablement diminué depuis la mise en route de la mondialisation. Si dans ce pays il n’y a plus un problème de dénutrition comme il sévit encore dans un grand nombre d'autres pays très pauvres, il a été remplacé par un gravissime problème de suralimentation relevant du gavage des porcs, posant d’aussi graves, sinon plus, de problèmes de mauvaise nutrition.

Y a-t-il moins de malades dans les pays riches, ou enrichis par la mondialisation ? La réponse est formellement non ! Il y en a même jamais eu autant malgré les pseudo progrès de la médecine et sur lesquels il y aurait tant à dire. Les industries agroalimentaires travaillent en étroites corrélations avec les entreprises phytosanitaires et pharmaceutiques, les plus grosses capitalisations boursières...

Comme le disait si justement le Dr Knok, un individu bien portant est un malade qui s'ignore...

Les pays, qui par un long processus d’évolution étaient parvenus à une situation d’aisance, et qui se sont engagés dans la mondialisation, bien plus souvent sous la contrainte, que par conviction, ont-ils vu un accroissement de leur richesse et de celle de leur population ?...

On pourrait être tenté, en regardant les écarts de revenus entre les générations précédentes et celles de maintenant de dire oui, mais ce serait une vision illusoire et sommaire.


La richesse c’est ce que l’on possède en propre et qui ne doit rien à personne. À l’aune de ce simple critère, il est aisé de comprendre que l’illusion de richesse que nous font miroiter ceux qui instrumentalisent la mondialisation, n’est qu’une grossière imposture. C’est vrai que nous avons sensiblement matériellement mieux vécu ces trente dernières années que les précédentes. Hélas cette amélioration n’est pas le fruit de la mondialisation, mais celui d’un monumental endettement comme jamais nous en avons eu dans l’histoire connue de l’humanité...

En 2006 la dette extérieure mondiale s’élevait déjà à plus de 60.000 milliards de dollars. Depuis elle s’est considérablement aggravée. À cette dette extérieure mondiale, il convient d’ajouter la dette intérieure mondiale, pour en avoir un ordre d’idée qu’il suffise de savoir qu’en 2006 la dette extérieure des États-Unis était de plus de 10.000 milliards de dollars (13.000 milliards de dollars en 2008) alors que dans le même temps la dette intérieure de ce pays était de 30.000 milliards de dollars...

Il convient d’ajouter à cette dette qui s’amplifie de façon exponentielle chaque jour davantage par le simple jeu des intérêts qu’elle engendre, depuis le début de la crise financière, qui est loin d’être terminée, une destruction de valeur pour plus de 30.000 milliards de dollars.

Alors oui, la mondialisation a apporté des richesses, mais ce ne sont pas des richesses véritables, mais des richesses totalement illusoires, un peu comme celui qui utilise les mécanismes des crédits révolving. Pendant qu’il les accumule, il a l’impression d’être devenu riche au point de pouvoir s’offrir tout ce qui lui fait plaisir. Mais lorsque vient le moment de les rembourser, alors non seulement l’illusion de richesse cesse rapidement, mais il devient encore plus pauvre que ce qu’il était avant.

Voilà sur quoi repose les mécanismes qui permettent de donner l’illusion au sens cervelle que la mondialisation est la panacée économique sociale et civilisatrice. Mais arrive maintenant le temps ou il va falloir rembourser les crédits révolving aux échéances desquels nos dirigeants si incompétents et si imprévoyants tentent de faire face , comme le font tous ceux qui se sont laissé prendre à ce piège, je veux dire en prenant encore et davantage de nouveaux crédits...

Les Tables d’Émeraude énoncent dans leur universelle sagesse : que ce qui est en haut est comme ce qui est bas et inversement. Si l’emprunteur qui se fait piéger par des crédits révolving n’a aucune chance de s’en sortir en prenant plus de crédits, il m’étonnerait fort que les états qui se font piégés par la mondialisation (crédit révolving à l’échelle planétaire) puissent s’en sortir en faisant la même mauvaise analyse à courte vue que l’emprunteur d’en bas...

La mondialisation n’a en vérité pas créé de véritables richesses, mais simplement l’illusion de ces richesses tant que l’addition ne s’est pas présentée. Pendant ce temps, les groupes supranationaux ont eu le temps et les moyens nécessaires pour mettre en place les structures de leur domination à venir qui va de la mise en servage de l’agriculture mondiale, en passant par la prise de pouvoir des grands moyens de communication, pour en arriver au contrôle biologique et électronique de tous les individus de cette planète...

Pour eux, peu importe que la mondialisation soit un échec économique, comme l’histoire une fois de plus le démontrera, ils auront su utiliser ce faux masque et cette fausse barbe pour duper les croyants de cette foi aveugle, et s’installer durablement au-dessus des nations...

George Orwell savait parfaitement que sont roman 1984, n’était pas de la science-fiction, mais les effets des causes qu’il avait su reconnaître et analyser à son époque, et contre lesquelles il avait combattu...

Tout comme le Président Dwight Davis Eisenhower, lors de son dernier discours avait parfaitement eu la vision de ce qu’il redoutait (la mondialisation sous l’autorité d’un complexe militaro-industriel) comme le résume cet extrait :

Mais des menaces, nouvelles de par leur nature ou leur degré, surgissent constamment. Je n'en mentionnerai que deux ici.

Un élément essentiel pour conserver la paix est notre système militaire. Nos bras doivent être puissants, prêt pour une action instantanée, de sorte qu'aucun agresseur potentiel ne puisse être tenté de risquer sa propre destruction. Notre organisation militaire est aujourd'hui sans rapport avec ce que connurent mes prédécesseurs en temps de paix, ou même les combattants de la Deuxième Guerre Mondiale ou de la Guerre de Corée.

Jusqu'au plus récent conflit mondial, les États-Unis n'avaient pas d'industrie d'armement. Les fabricants américains de socs de charrues pouvaient, avec du temps et sur commande, forger des épées. Mais désormais, nous ne pouvons plus risquer l'improvisation dans l'urgence en ce qui concerne notre défense nationale. Nous avons été obligés de créer une industrie d'armement permanente de grande échelle. De plus, trois millions et demi d'hommes et de femmes sont directement impliqués dans la défense en tant qu'institution. Nous dépensons chaque année, rien que pour la sécurité militaire, une somme supérieure au revenu net de la totalité des sociétés US.

Cette conjonction d'une immense institution militaire et d'une grande industrie de l'armement est nouvelle dans l'expérience américaine. Son influence totale, économique, politique, spirituelle même, est ressentie dans chaque ville, dans chaque Parlement d'État, dans chaque bureau du Gouvernement fédéral. Nous reconnaissons le besoin impératif de ce développement. Mais nous ne devons pas manquer de comprendre ses graves implications. Notre labeur, nos ressources, nos gagne-pain… tous sont impliqués ; ainsi en va-t-il de la structure même de notre société.

Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu'elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque potentiel d'une désastreuse ascension d'un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. Nous ne devrions jamais rien prendre pour argent comptant. Seule une communauté de citoyens prompts à la réaction et bien informés pourra imposer un véritable entrelacement de l'énorme machinerie industrielle et militaire de la défense avec nos méthodes et nos buts pacifiques, de telle sorte que sécurité et liberté puissent prospérer ensemble.

De même, la révolution technologique des décennies récentes fut en grande partie responsable des changements radicaux de notre position militaro-industrielle. Dans cette révolution, la recherche est devenue centrale, elle est également plus formalisée, plus complexe, et coûteuse. Une part toujours croissante en est conduite pour, par, ou sous la direction du Gouvernement fédéral.

Aujourd'hui, l'inventeur solitaire, bricolant au fond de sa boutique, a été dépassé par des troupes de choc formées de scientifiques dans les laboratoires et des centres d'essai. De la même manière, l'université libre, historiquement source d'idées et de découvertes scientifiques nées dans la liberté, a vécu une révolution dans la conduite de la recherche. En bonne partie à cause des coûts énormes impliqués, obtenir un contrat avec le gouvernement devient quasiment un substitut à la curiosité intellectuelle. Pour chaque vieux tableau noir, il y a maintenant des centaines d'ordinateurs. La perspective d'une domination des spécialistes de notre nation par les emplois fédéraux, les budgets attribués aux projets et le pouvoir de l'argent, [cette perspective] est bien présente et doit être considérée avec gravité.

Cependant, tout en apportant à la recherche et aux scientifiques le respect que nous leur devons, nous devons égalem.ent être attentifs à un danger à la fois aussi grave et opposé, à savoir que l'ordre public puisse devenir captif d'une élite scientifique et technologique. C'est la tâche de l'homme d'État que de mouler, équilibrer, intégrer toutes ces forces, anciennes et nouvelles, aux principes de notre système démocratique - en visant toujours à atteindre les buts suprêmes de notre société libre.

Un autre facteur de maintien de l'équilibre implique l'élément de temps. Alors que nous envisageons la société future, nous devons – vous et moi et notre gouvernement - éviter la tentation de vivre seulement pour le jour qui vient, pillant pour notre propre aisance, et à notre convenance les précieuses ressources de demain. Nous ne pouvons pas hypothéquer les actifs de nos petits-enfants sans risquer de dilapider également leur héritage politique et spirituel. Nous voulons que la démocratie survive pour les générations qui viennent, non pour devenir le fantôme insolvable de demain



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10 commentaires:

Anonyme a dit…

Si tu me le permet mon Lug, j'aimerais rajouter quelque chose de très important à ton excellent sujet.

On pourrait croire que le processus de la mondialisation s'est quelque peu stabilisé et qu'il n'y a pas urgence à prendre conscience de ce N.O.M (Nouvel Ordre Mondial).

Dans ce programme qui n'est en quelque sorte que le haut de l'iceberg, il existe des sous-programmes très discrets, mais qui révèlent la figure horrible de la bête meurtrière.

Je fais notament allusion au codex alimentarius prévu pour fin 2009 et dont la mise en place fera des milliers, des millions de victimes.

Je pense aussi à cet acte lors du traité de Lisbonne, que j'estime dictatorial de la part du chef d'état Français, et qui est de faire passer un référendum refusé par le peuple Français quelques années auparavant sur la constitution Européenne. Les personnes présentent à cette assemblée ont manifester en criant "REFERENDUM" ! Mais rien n'y a fait.

Ceci pour ajouter si nécessaire, que la mondialisation ne rend pas les hommes libres, mais que ceux-ci, en laissant faire, se placent sous la terrible dictature d'une centaine d'hommes dont le but, comme tu le disais mon Lug, n'est pas de faire de l'argent puisqu'ils en ont plus qu'il ne leur en faut, mais de réduire la population de moitié pour mieux la contrôlée.

Il existe ainsi d'autres sous-programme tel que de faire taire des hommes de sciences aptent à éradiquer le cancer et autres maladies. Mais la liste serait trop longue pour ce simple commentaire.

Je prends toute la responsabilité de mes propos qui n'engagent que moi, mais dont les faits sont largement prouvés et que je tiens à dispositions en cas de doutes.

Anonyme a dit…

mais alors quid des présidents morts du cancer ?

Anonyme a dit…

Ce qui prouve cher Anonyme que nombres des gouvernants ne sont que des marionnettes et qui executent les ordres des plus puissants qu'eux dans l'ignorance totale des vrais enjeux. CQFD ;-)))

Anonyme a dit…

vous voudriez dire que vous, qui n'êtes que simple citoyen seriez informé et pas eux ?!!!
où avez vous trouvé vos infos ? sur la toile ? alors que font les RG au service de l'Elysée?
avez vous vérifié vos infos avant de nous les lancer à la figure ? n'êtes vous pas vous même manipulé ? votre démarche est soit totalement folle, soit sacrément documentée... alors laquelle des deux ?

Anonyme a dit…

Cher Anonyme,

Je m'interroge sur le fait de votre étonnement. Ce qui tenterait à prouver que vous n'avez pas fait les démarches de recherches nécessaires pour avoir un point de vu équilibré.

Vous me faite part de vos émotions en étant étonné qu'un simple citoyen puisse s'être autant documenté, il n'appartient qu'à vous de prendre votre courage à deux mains et de vérifier par vous-même la véracité de mes propos.

Je suis assez responsable pour ne pas divulguer des faits dont je ne serais pas sûr et certain à 100%, ce qui m'a demandé de longues recherches avec des recoupements, des comparaisons, des lectures et surtout beaucoup de temps. Croyez-vous que j'irais bêtement lancer des âneries et me voir comdamner pour diffamation, si je n'étais pas sûr de mes recherches ?

Je ne vous lance rien à la figure et il est de votre libre arbitre de me croire ou non, de faire vos propres recherches ou non.

Les Renseignements Généraux, et là ce n'est qu'un point de vu personnel et non vérifié, sont certainement plus occupés à surveiller les risques peu probables d'attentats, les manifestations diverses et variées et mouvements de la société, et certains sites pédophiles ou Musulmans, extrémistes etc... Que nos petites conversations dérisoires sans grands dangers.

Il est clair que celui qui ne cherche rien, ne trouve rien. Je vous propose donc de revenir dans quelques temps après avoir fait ces recherches indispensables qui vous permettront d'avoir votre propre opinion. Bien que rien ne vous y oblige bien sûr.

Il y a en effet sur la toile, nombres de vidéos de personnes, dont le sérieux absolu ne peut être remit en causes. Ce blog vous donne déjà de précieux et justes renseignements sur ce qui se passe autours de nous. Le croire naïvement sans faire les recherches qui s'imposent ne vous permettront jamais d'avoir une vision juste. Ce blog, si vous cherchez un peu, vous offre de lire une vidéo : "ZEITGEIST". Mais elle ne suffira pas si vous voulez vraiment savoir comment vous êtes réellement esclave d'un système, ni ne vous permettra de comprendre les différents complots nés du N.O.M.

Vous pouvez vous renseigner et vous faire votre propre jugement en tapant sur Google :
Dr Gernez
Dr Hamer
Bildelberg
Argent dette
et d'autres...

Cliquez sur vidéo et nous pourrons reparler de tout cela si le coeur vous en dit.

Anonyme a dit…

Et tout ceci (que je connais) serait occulte pour nos différents présidents morts du cancer par exemple... comment l'expliquez vous... des marionnettes dites vous... alors pensez vous que l'actuel président ne soit pas au courant... aussi pourquoi ne pas lui écrire directement... Si vous êtes si informé que vous le dites alors donnez moi un exemple... par exemple que faisez françois mitterand à Rennes le Chateau avant son élection et pour laquelle il était annoncé perdant ?
Ne connaissait il pas le mystère qui entoure rennes le chateau... et vous dites qu'il ne connaissait pas les produits qui auraient pu le sauver...
Alors répondez à ma question... et nous verrons si réellement vous savez quelque chose de bien sérieux...

Anonyme a dit…

Cher Anonyme,

Je ne cherche pas à convaincre qui que ce soit, j'expose des faits qui sont indéniables et chacun est libre d'en faire ce qu'il veut.

Vous portez de l'importance au mot "président" comme s'il était autre chose qu'un homme, mais il n'est rien d'autre qu'un type comme vous et moi et jusqu'à preuve du contraire, on peut être intelligent et ignorer beaucoup de choses.

L’intelligence n’est pas une vertu. Il y en a autant dans l’évolution que dans l’involution. C. Le Moal

Mais outre cela, je m'interroge beaucoup plus sur votre petite révolte à mon égard. N'y aurait il pas une certaine crainte à devoir admettre que je puisse avoir raison et vous rendre compte que vous avez été manipulé vous aussi depuis tant d'années ? De n'avoir été, comme tout le monde, moi y compris, qu'un mouton qu'on emmène à l'abattoir ?

Vouloir nié la réalité des faits visibles de tous les jours (nourritures dévitalisées et empoisonnées etc...) ne permet sûrement pas d'avoir une vision très juste.

Même en admettant que Sarkosy soit complice des Bildelberg pour mettre en place le N.O.M, il n'est et je persiste à le dire, qu'une marionnette dont il ignore certainement les plans les plus secrets. Un mauvais patron à tout interêt d'être ami avec ses ouvriers pour obtenir d'eux ce qu'il désire.

Quand à lui écrire, ce serait envisageable. Reste à savoir s'il n'aurait pas le même comportement que vous. D'autant plus qu'il a des interêts dans cette affaire que nous n'avons, ni vous ni moi.

Je laisse à Mittérand le soin de croire à ce qu'il veut, le fait est qu'il n'a pas su prévoir son cancer, ni le guérir. Même en allant à Rennes le Chateau.

Je ne suis pas contre l'échange, bien au contraire, mais votre ton me semble un poil de mauvaise augure pour que l'échange puisse être constructif.

Vous me dites que vous avez vu les vidéos. J'aimerais comprendre ce qui vous empêche d'y croire. Ce sont quand même des témoignages dignes de confiances, non ? Vous avez peut être des informations que je n'ai pas, il serait sympathique de les partager, bien que rien ne vous y oblige. ;-)

Anonyme a dit…

François Mitterand utilisait les produits Beljanski.
Je vous taquine cher monsieur pour tester la frontière de votre courage et je constate avec satisfaction votre persévérance et votre soif à défendre la vérité et la conscience des plus démunis.
Cette conduite est toute à votre honneur. Pour ce qui est de Rennes le chateau je vous invite à vous documenter, il s'agit d'une énigme très prenante qui nous conduit très certainement sur la route des templiers.
Sincères encouragements cher monsieur. Que votre courage et votre témoignage soient récompensés.

Anonyme a dit…

Soit dit en passant ...Beljanski qui fut arrete non sans ménagement pour mise sur le marché de produits non certifiés par "l'establishment" (et son labo démonté) au lendemain du dècès de Mitterand. Beljanski a travaillé toute sa vie pour proposer des produits de soins des plus naturels (et efficaces) mais cela ne faisait pas bon ménage avec les marchands pharmaceutique...

Anonyme a dit…

Informations sur Internet
http://www.beljanski.com
http://www.beljanski.fr
http://www.natural-source.com

E.mail : info@beljanski.com
info@natural-source.com

Tél : 04 74 56 58 00

Afin que chacun puisse se faire son propre avis... et que le droit à l'information soit respecté...