dimanche 30 novembre 2008

Science sans conscience n'est que ruine de l'âme.

Le syndrome chinois.

http://fr.wikipedia.org/wiki/EAN_13 et http://www.log-1.com/fr/Barres/Barcodes/EAN13Countries.html


Mélamine : cadeaux de Chine

Être au courant est une bonne chose, des pays tuent par avarice et frappent partout.

Veuillez lire jusqu'à la fin, de façon à pouvoir savoir comment identifier les produits qui nous ont été envoyés par la Chine…


MÉLAMINE (La dernière partie nous concerne tous aux États-Unis et au Canada)
Les incidents du lait chinois contaminé a effrayé tout le monde au point de regarder les rapports de nouvelles quotidiennement. Tous les jours, les rapports changent. Personne peut nous dire clairement quoi manger et ne pas manger..

1.Qu'est-ce que du lait contaminé?

C'est le lait en poudre mélangé avec de la 'MÉLAMINE'
A quoi la Mélamine est-elle utilisée? C'est un produit chimique industriel utilisé dans la production des contenants de plastique.


C'est aussi utilisé en décoration intérieure. ' Panneau américains résistant'

Comprenez-vous? La Mélamine est utilisée en production industrielle et ne peut pas être mangée.

2.Pourquoi la Mélamine ajoutée au lait en poudre?

L'élément le plus important dans le lait est la protéine. Et la Mélamine a la même protéine qui contient de ''L'AZOTE”

Ajouter de la Mélamine dans le lait réduit le volume du lait et ça coûte moins cher que le lait donc ça diminue la capitalisation. Ça peut donner plus de profit aux commerces!

Dessous est la Mélamine; ne ressemble-t-elle pas au lait?
Elle n'a pas de senteur, ne peut pas être détectée.

3. Quand a-t-elle été découverte?

En 2007, aux États-Unis, des chats et des chiens sont morts soudainement, on a découvert que la nourriture pour les animaux de la Chine contenait de la Mélamine.

En 2008, en Chine ,a commencé une croissance anormale de cas de mort d'enfants avec des pierres sur les reins.

Août 2008, le lait en poudre de la Chine Sanlu Milk Powder a été testé contenant de la Mélamine

Sept. 2008, Le gouvernement de la Nouvelle-Zélande demande à la Chine de vérifier ce problème
Sept. 21, 2008, pertes de produits alimentaires en Taiwan testé avec de la Mélamine

4.Qu'est-ce qui arrive quand la Mélamine est digérée?

La Mélamine demeure à l'intérieur du rein. Elle se transforme en pierre qui bloque les tubes.
La douleur sera éminente et la personne ne peut pas uriner. Le rein enflera.

Ci-après : les pierres du rein dans les parties mineures et majeures de l'enveloppe du rein et l'autre image nous montre la pierre dans l'urète

Même la chirurgie ne peut pas enlever ses pierres, ce qui causera des dommages irréversibles au rein.
Ça peut mener à la perte de la fonction du rein et nécessitera la dialyse qui mènera à la mort à cause du taux d'urée dans le sang.

Qu'est-ce que la dialyse?
En fait, ça devrait être appelé 'nettoyage du sang' ça filtre tout le sang du corps dans la machine et puis retourne dans le corps.

Tout le processus prends 4 heures et il est nécessaire de faire la dialyse une fois tous les 3 jours pour le reste de notre vie.Voici un centre de la dialyse

Grand centre de la dialyse

Un petit trou dans le bras est nécessaire pour insérer le cathéter de la dialyse.

Pourquoi est-ce plus sérieux pour les bébés? Parce que le rein du bébé est très petit et ils boivent beaucoup de lait en poudre.

Voici un bébé sous la dialyse.

La Chine a couramment 13,000 enfants hospitalisés

Ça n'a pas d'importance la quantité de Mélamine que le humain a pris. Le point important est que 'Ça ne peut pas être mangé!

'5.Quelle est la nourriture à éviter?

La nourriture qui contient des produits laitiers devraient être évitée.

Souvenez-vous: Les nourritures avec crème ou lait devraient être évitées.

6.Quelles compagnies sont affectées?
Voici les compagnies affectées avec la Mélamine.

7.Que faire ensuite?

Évitez les nourritures ci-haut pour environ six mois.

Si vous avez des snack bar, restaurants ou coffee shops, arrêtez la vente des produits laitiers pendant six mois.
Si vous avez des enfants à la maison, changez pour le lait maternel ou trouvez d'autres substituts.

Finallement, partagez cette information avec vos amis (es) pour leur faire comprendre le risque du lait contaminé.

Tout le monde a peur des produits faits en Chine. Pouvez-vous différencier lequel est fait aux USA , Philippines , Taiwan ou Chine? Laissez-moi vous dire comment faire… les 3 premiers chiffres sur la barre de code est le code du pays où le produit a été fait. Exemple, tous les codes qui commencent 690.691.692 jusqu'à 695 SONT TOUS FAIT EN CHINE.
Le chiffre 471 SONT FAITS EN Taiwan


C'est notre droit de savoir, mais le gouvernement et les services associés ne renseignent jamais le public, par conséquent, nous devons nous protéger par nous-mêmes.De nos jours, les hommes d'affaires Chinois savent que les consommateurs ne préfèrent pas les produits 'faits en chine', donc, ils ne montrent pas dans quel pays c'est fait.Cependant, vous pouvez maintenant vous référer au code, rappelez-vous des 3 premiers chiffres 690-695 qui veut dire Fait en Chine.


00 ~ 13 USA & CANADA
30 ~ 37 FRANCE
40 ~ 44 GERMANY
49 ~ JAPAN
50 ~ UK
57 ~ Denmark
64 ~ Finland
76 ~ Switzerland and Lienchtenstein
628 ~ Saudi-Arabien
629 ~ United Arab Emirates
740 ~ 745 - Central America
Tous les codes 480 sont Faits aux Philippines.


Veuillez informer votre famille et vos amis (es) d'être prudents.



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vendredi 21 novembre 2008

L'éthique et la morale de la Providence


« La vie n’est qu’une ombre qui passe, un pauvre acteur qui se pavane et s’agite durant son heure sur la scène et qu’ensuite on n’entend plus. C’est une histoire dite par un idiot, pleine de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien. »
William Shakespeare

Tout le monde, enfin ceux qui possèdent encore une once de bon sens, se demande d’où provient les centaines, voire les milliers de milliards, de dollars, d’euros, de yuans, de roubles ou de yens que les états, en étroite coordination comme se plaisent à le dire les paons de la scène médiatique, déversent dans les structures financières, banques, assureurs, organismes de prêts hypothécaires et pays en situation de faillite...

Une autre question que tout le monde ne se pose pas, et c’est bien dommage, est : à quoi sert ce flot de financement déversé dans ce qui risque d’apparaître historiquement, comme le plus grand des tonneaux des Danaïdes ?...

Car, et c’est là un point qui mérite toute notre attention, lorsque des capitaux sont investis dans des travaux d’équipement, de modernisation ou de restauration, il entraînent une chaîne d’activités qui finit par produire plus de richesses qu’elle n’en utilise, en offrant au passage l’opportunité à des millions d’individus de trouver un emploi, une rémunération et un rang social actif et digne.

Hélas pour nous, malgré les beaux discours rassurants, péremptoires et prétendument éclairés, les capitaux qui s’engouffrent dans ce puits sans fond de la folie financière n’ont pas pour but de constituer des investissements à venir, mais de combler des pertes abyssales existantes dont la multiplication, - cadeau de la mondialisation diabolique -, est assimilable par ceux qui sont véritablement au fait des réalités non médiatiques, à ce qu’en astronomie on appelle un monstrueux TROU NOIR.

Bon, et alors, diront les fronts bas et les sans cervelle, en quoi cela nous concerne directement ?... Ce à quoi je me permets de répondre derechef, que cela nous concerne tous directement de la façon suivante : lorsque nos fringants dirigeants nous parlent des milliasses de milliards qu’ils injectent dans les circuits financiers pour relancer l’économie, comme à leur habitude ils nous racontent des bobards de la plus grossière facture. Il ne s’agit plus ici d’investissement, mais de comblement d’un gigantesque passif constitué par des années d’égarement collectif, pour rester aimable envers les irresponsables de cette catastrophe, sinon il me faudrait parler du plus grand holdup que puisse imaginer le plus démentiel réseau maffieux de la planète, celui de la mondialisation des profits et de la fiscalisation des pertes.

Les milliers de milliards injectés ne produiront donc pas les richesses que nous font miroiter ceux qui disposent sur la planète de l’argent des contribuables. Ils ont déjà durablement ruiné un grand nombre d’individus, ayant par ailleurs péniblement et au prix d’une vie de labeur, accumuler quelques biens servant ou en prévision d’une retraite ou de l'éducation de leurs enfants. La crise économique qui s’avance, lentement, régulièrement, tel un tsunami puissamment dévastateur, va mettre sur le carreau du chômage et de la pire des précarités, des millions de personnes, tant dans les pays qui se croyaient riches, que dans les pays pauvres. Les milliards investis ne sont pas pour eux, et ne seront jamais pour eux, ils ont d’ors et déjà complètement été engloutis par le TROU NOIR du casse non pas du siècle, mais de l’humanité depuis ses origines.

À la première question : d’où vient l’argent ? La réponse est : de vos impôts futurs, c’est-à-dire de l’état de servage qui va se développer en multipliant le nombre d’individus ayant un travail, mais n’ayant plus les moyens d’en vivre dignement. Mais comme une génération ne pourra pas espérer venir à bout de cette faillite frauduleuse, mais éminemment profitable tant financièrement que politiquement, il a été tirer des chèques en blanc sur les générations montantes et à venir...

Avant que ne reprenne l’activité économique selon ses règles naturelles, il faudra passer par la disparition, qui va aller en s’accélérant, de pans entiers du tissu industriel et commercial. L’Amérique a su trouver 3.000 milliards de dollars pour faire la guerre à l’Irak, quelques milliers de dollars pour sauver ses grandes institutions financières, mais cet argent, qu’elle n’avait pas en caisse, elle l’a emprunté aux contribuables, et surtout elle l’a entièrement dilapidé au point de rechigner à injecter 25 milliards de dollars pour sauver son industrie automobile, dont dépendent plus de 2,5 millions de salariés, et qui par ailleurs paye le prix de son arrogance et de son manque d’adaptation à un marché pourtant aisément prévisible, puisque les autres constructeurs s’y sont pliés. L’argument utilisé par la chambre des représentants, pour s’opposer au versement de ce petit pactole, n’est d’ailleurs pas sans fondement, puisqu’il évoque le fait qu’un tel versement ne servirait à rien d'autre, dans l’état actuel de la situation de cette industrie, qu’à boucher des trous amplement creusés, sans offrir la moindre garantie de sauvetage pour l’avenir.

Notons au passage que la pertinence de ce raisonnement me permet de constater que les sommes investis dans le secteur financier, ne serviront pas à produire des richesses futures puisqu’elles sont intégralement englouties pour compenser les produits sans valeurs qui ont phagocyté les capitaux de ce secteur, et que se sont partagés un clan de profiteurs. Non seulement les capitaux injectés ne serviront pas à la restructuration de l’économie mondiale, mais les servitudes fiscales et sociales qui vont peser sur l’ensemble des états participants à la mondialisation, assurent un appauvrissement durable d’une frange de plus en plus importante de la population, et notamment celle de la classe moyenne.

Certains se sont posé la question de savoir s’il était dans la nature d’un blog dédié à la Sapience Hermétique, de « descendre » au niveau des turpitudes les plus basses de l’humanité... Qu’il me soit permis de signaler qu’une sagesse qui ne supporterait pas la mise à l’épreuve des réalités ordinaires et quotidiennes, serait vaine et de peu d’intérêt. Celui qui peut le plus, ne peut jamais s’exonérer de pouvoir le moins sauf à être un imposteur avéré.

Cette précision étant faite, il est donc utile maintenant de se demander ce qui n’a pas marché, dans la catastrophe financière et économique présentement en cours de dévastation mondiale. De fringants orateurs, pseudo-experts d’une finance hasardeuse, ou politiciens prompts à déclamer sur tous les médias complaisants leurs certitudes fallacieuses, invoquent un manque de règlementation et de contrôle du capitalisme... Facilité permettant d’ouvrir la porte à de terribles démagogies liberticides et infiniment sclérosantes. Le communisme a sombré pour cause d’excès de règlementation et de contrôle. Tout comme le New deal sensé d’avoir sauver l’humanité de la crise de 1929, alors que la réalité historiquement démontrée prouve qu’il n’a été qu’un élément aggravant cette crise et retardant sa sortie. Laisser croire que le capitalisme n’avait pas ou peu de règlementation, est une farce de comique troupier, rien de plus. Rien n’est plus règlementé aux États-Unis, comme en Europe, que les marchés financiers, les banques, le commerce, les échanges internationaux. La réalité accablante n’est pas le manque de règlementation, mais le non-respect de ces règles par la multiplication des entorses, passes-droit, et accommodements de toute nature, sans parler des corruptions étatiques.

Ceci nous renvoie aux règles morales, à l’éthique et la droiture de ceux qui sont en charges des responsabilités publiques. Un adage des Tablettes de Thoth, l’Hermès des origines, dit : connaître les lois c’est être libre. Ce qui veut dire qu’il faut connaître les lois pour les respecter, et qu’il n’y a pas de liberté sans le respect des règles qui en permettent l’exercice.

Avoir voulu tricher avec les lois naturelles de respiration de l’économie, qu’elles soient nationales ou internationales, est déjà une des premières et principales violations des principes assurant le bon fonctionnement de cette économie, comme de toutes manifestations naturelles. Depuis l’ancienne Égypte, nous savons que l’activité humaine est conditionnée par les lois de la Nature de laquelle elle dépend. Sept années de vaches grasses sont invariablement suivies par sept années de vaches maigres ; principe à comprendre non pas dans sa forme littérale, mais analogique. Avoir eu la vanité de vouloir s’affranchir de ces cycles, en manipulant les flux financiers, les taux d’intérêt en contradiction avec réalités du marché, n’a pas fait disparaître les cycles naturels, mais les a étouffé pendant un temps, pour finir par les voir resurgir avec une violence décuplée à l’image de ces cours d’eau que nous détournons de leurs écoulements naturels et qui, lors d’un orage ou d’une péripétie climatique, finiront par reprendre avec une violence dévastatrice leur cheminement originel.

Ce qui a manqué à la sphère financière internationale c’est justement la conservation des connaissances antérieurement acquises par l’humanité, et l’éthique d’en respecter les règles. Ce manque d’éthique se retrouve dans la première puissance économique ayant délibérément cassé les tables de la loi, comme je l’ai expliqué lors de précédents articles, notamment en supprimant les contraintes qui donnaient valeur à sa monnaie, ou en modifiant des lois bancaires qui justement avaient été édictées pour ne pas leur permettre de faire ce à quoi nous sommes actuellement confrontés : le CASSE de la civilisation.

La Sapience Hermétique est parfaitement fondée à souligner l’absence d’éthique et de morale, le manque de sagesse des tous les acteurs de ce drame économique qui se traduit déjà par une multitude de drames humains, en espérant que le pire ne soit pas encore à venir, et volontairement occulté aux peuples qui devront en payer la lourde facture.

Une sentence de Lao-Tseu résume les conséquences de deux comportements diamétralement opposés :

En se conformant à la vertu, on devient la vertu.
Mais si on pense au crime, on recueille la honte du crime.

Une pensée juste en vertus trouve son application en haut comme en bas, selon le principe de la Table d'Emeraude et de la Sapience Hermétique.


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vendredi 7 novembre 2008

La Victoire de Barack Obama.



Obama ou l'imposture de la démocratie américaine.


La culture américaine peut très bien se résumer dans le phénomène Disney World. Un parc d'attractions, - et le mot « attraction » est ici révélateur -, dans lequel les apparences reposent sur des mythes, des chimères, des légendes et des contes pour enfants. Mickey est le personnage emblématique de ce mirage auquel s'identifient les enfants, mais aussi les parents qui les accompagnent. Combien de visiteurs de ces parcs sont en vérité capables de discerner l'organisation et les structures, politiques, financières, stratégiques, même militaires et occultes qui se dissimulent volontairement, pour maintenir l'illusion de l'angélisme romantique d'un univers d'inconscience et de débilité émotionnelle ?

Pour la majorité des électeurs américains les principes qui donnent naissances et font fonctionner les parcs d'attractions de la firme Disney, sont à l'image des principes de la société elle-même. Une grande série d'attractions spectaculaire dans un monde ou la quête du bonheur est universellement partagée, et où tout est abondance sans effort, gentillesse et bonhommie, et le mensonge, l'hypocrisie, la malveillance, la manipulation, l'exploitation des faiblesses, la propagande, les abus de pouvoir, la cupidité, la convoitise et toutes autres formes de vices sont des calembredaines.

L'expression de ce syndrome « Disney World» se retrouve dans la grande parade des élections américaines qui durent pendant près de 18 mois, pour l'élection d'un Président pour un mandat d'une durée de 4 ans... Ceci pour dire que cette grande parade est une attraction essentielle et presque permanente...

Les participants à cette grande parade sont bien évidemment convaincus qu'ils en sont les acteurs, les décideurs et les maîtres d'oeuvre. La faculté qu'a l'être humain de s'identifier à une réalité ou une chimère, est parfaitement maîtrisé et exploité par la société Disney pour donner l'illusion que ce monde enchanteur existe, au moins pendant la durée de la visite, et, elle fait tout, pour que cela soit possible, que cette identification soit suffisamment puissante pour durablement influencer un subconscient qui ne demandera qu'à revivre cette ivresse passagère. Croire que ce qu'est capable de maîtriser une société commerciale comme Disney, échapperait aux organisateurs de la grande parade électorale des États-Unis, c'est comme ignorer la puissante organisation qui fait fonctionner un parc d'attractions, pendant qu'on le visite, mais aussi et surtout pendant que personne ne vient y mettre son nez. Ce parc d'attractions, pour délivrer ses rêves, doit exister dans la continuité, bien avant la venue des visiteurs, mais aussi bien après. Le visiteur ne vivant que l'instant présent, auquel on se garde bien de dire et de faire partager les coulisses qui rendent son rêve possible ; et d'ailleurs il ne demande qu'une chose, c'est que rien de réaliste ne vienne perturber son rêve et troubler son ivresse. Celui qui viendrait à le ramener aux perceptions des réalités sordides qui structures son illusion, serait inévitablement considéré comme un empêcheur, un gêneur un trouble-fête. Dans l'univers du mensonge, la vérité est nécessairement antagoniste et le bouc émissaire à tous les ressentiments.

Mais revenons à l'élection de Barack Obama, qualifiée de spectaculaire, porteuse de toutes les espérances, du changement tant attendu, nouvelle virginité qu'espère retrouver un peuple qui se caractérise par tant d'ignorance, de violence, d'inculture, d'injustice, de vanité, d'arrogance et de perversités érigées en principes faussement libérateurs d'une "démocratie" donneuse de leçons.

L'homme est intellectuellement brillant, sympathique, grand orateur, avec un puissant charisme, enfin sur les âmes simplistes, qui sont hélas la légion du plus grand nombre de votants dans les démocraties, et qui plus est, il est noir...

Mais est-ce lui qui va réellement gouverner cette Amérique qui s'affirme le pays le plus puissant de la planète ? Prétention qui à elle seule révèle des ambitions dominatrices et impérialistes en diables ...

En vérité, il suffit de très peu de bon sens et de clairvoyance, pour comprendre l'imposture de l'illusion qui vient une nouvelle fois d'être survendue au peuple américain, mais pire que tout, au reste du monde.

Cette imposture repose sur un constat pourtant simple. Il y a 4 ans nous dit-on, Barack Obama n'était qu'un obscur et jeune politicien sans grande envergure. Peu expérimenté, sans grande connaissance des structures complexes de la puissante organisation qui assure le maintien du bon fonctionnement du parc d'attractions, avant, pendant et après la grande parade électorale. Son parti avait une candidate Hillary Clinton qui peut se prévaloir d'une véritable expérience en matière de gouvernance de l'état, au travers des 8 années de présidence de son mari, ainsi que de son parcours en tant que sénatrice. Parcours qui avait commencé bien avant la première élection de son mari, et qui a forgé des convictions politiques profondes et spécifiques. C'est sur ces points que la structure occulte qui assure le fonctionnement du parc d'attractions a probablement renâclé. Cette personnalité structurée ne peut pas être de nature docile et obéissante, de plus ses réseaux constitués lui procurent certains pouvoirs capables de remettre en cause l'autorité et la toute-puissance de cette structure occulte si confortablement installée aux leviers de commande. Pour obvier aux difficultés que représentait cette candidature, elle a trouvé un candidat talentueux, avec suffisamment peu d'expérience pour le rendre durablement tributaire de l'organisation qui lui donne cette opportunité et cette chance promotionnelle. Barack Obama va pouvoir devenir président de la plus puissante nation du monde en 4 ans, dont deux passées sur les routes d'une redoutable campagne électorale, ce qui ne doit pas laisser beaucoup de temps à la préparation d'un solide programme et d'une stratégie ayant l'envergure correspondant à celle de cette plus grande puissance embourbée dans les marais de ses turpitudes militaires, financières, sociales et culturelles.

Les capitaux nécessaires à sa campagne ont été rapidement trouvés, pas par le candidat lui-même, ce qu'il n'aurait pu faire sans l'appui de l'organisation qui l'a choisi, et pour des montants jamais égalés dans une élection présidentielle.

Aujourd'hui qu'il est élu, le peuple à l'espoir que le changement (forcément en bien) annoncé pendant la propagande électorale va pouvoir commencer... Illusion du parc d'attractions qui ne repose que sur l'agitation d'une marionnette, mais certainement pas sur la personnalité de ceux qui gouvernent véritablement le pays dans sa durée effective, avant pendant et après la grande parade. Le candidat a d'ailleurs été sélectionné sur sa capacité à passer des compromis avec ses adversaires, et ce qu'il convient maintenant d'entendre par adversaire, n'est pas le parti qui vient de perdre ses élections, mais la structure de l'organisation qui l'a fait « roitelet» d'un parc d'attractions.

Selon le principe du spoils system qui se pratique aux États-Unis, le nouveau Président doit, pour pouvoir compter sur la loyauté de son gouvernement, nommer plus de 3.000 personnes pour prendre la tête de l'administration fédérale. Pendant ses 4 années d'ascension politique, dont je le rappelle 2 passées en campagne, comment le nouveau président a-t-il pu avoir sélectionné 3.000 hauts responsables qui seront en mesure de structurer son administration?... La réponse est simple, il n'a pas pu le faire, car cela suppose une très longue expérience, nettement supérieure à 4 années, ou même 10, et cela implique de puissants réseaux au sein de différentes structures de cette organisation puissante et complexe. Probablement que si un homme seul devait choisir 3.000 hauts responsables, il lui faudrait les 4 années de son mandat pour parvenir à un résultat qui resterait superficiel.

Ce simple constat, démontre que cet homme, pour aussi brillant qu'il paraisse, intelligent et sympathique qu'il est, ne changera rigoureusement rien à ce qui est en place ; c'est ce qui est en place qui continuera à faire fonctionner le parc d'attractions, comme elle l'a toujours fait, utilisant un parti ou un autre en fonction du spectacle qu'elle entend donner pour faire, tous les 4 ans, rêver les foules de ce gigantesque Disney World avec son Mickey le plus médiatique.

En supposant que Barack Obama soit un homme politique chevronné, convaincu, sincère, compétent et déterminé à changer les choses, contre la structure occulte qui est à sa tête depuis si longtemps, le seul résultat auquel nous devons nous attendre, est ce qui a déjà eu lieu dans le passé en situation similaire avec les frères Kennedy... Car il est maintenant clairement établi que ces deux hommes politiques ont tenté d'affronter la redoutable structure militaro-industrielle pour essayer de lui reprendre les pouvoirs qu'elle a délibérément usurpée comme le craignait avec une grande clairvoyance, ou parce que de son temps c'était déjà trop tard, le Président Eisenhower dans son dernier discours dont les propos sur le pouvoir illégitime de cette structure sont pourtant sans équivoque :

« Un élément essentiel pour conserver la paix est notre système militaire. Nos bras doivent être puissants, prêts pour une action instantanée, de sorte qu'aucun agresseur potentiel ne puisse être tenté de risquer sa propre destruction. Notre organisation militaire est aujourd'hui sans rapport avec ce que connurent mes prédécesseurs en temps de paix, ou même les combattants de la Deuxième Guerre Mondiale ou de la Guerre de Corée.

Jusqu'au plus récent conflit mondial, les États-Unis n'avaient pas d'industrie d'armement. Les fabricants américains de socs de charrues pouvaient, avec du temps et sur commande, forger des épées. Mais désormais, nous ne pouvons plus risquer l'improvisation dans l'urgence en ce qui concerne notre défense nationale. Nous avons été obligés de créer une industrie d'armement permanente de grande échelle. De plus, trois millions et demi d'hommes et de femmes sont directement impliqués dans la défense en tant qu'institution. Nous dépensons chaque année, rien que pour la sécurité militaire, une somme supérieure au revenu net de la totalité des sociétés US.

Cette conjonction d'une immense institution militaire et d'une grande industrie de l'armement est nouvelle dans l'expérience américaine. Son influence totale, économique, politique, spirituelle même, est ressentie dans chaque ville, dans chaque Parlement d'État, dans chaque bureau du Gouvernement fédéral. Nous reconnaissons le besoin impératif de ce développement. Mais nous ne devons pas manquer de comprendre ses graves implications. Notre labeur, nos ressources, nos gagne-pain… tous sont impliqués ; ainsi en va-t-il de la structure même de notre société.

Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu'elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque potentiel d'une désastreuse ascension d'un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. Nous ne devrions jamais rien prendre pour argent comptant. Seule une communauté de citoyens prompts à la réaction et bien informés pourra imposer un véritable entrelacement de l'énorme machinerie industrielle et militaire de la défense avec nos méthodes et nos buts pacifiques, de telle sorte que sécurité et liberté puissent prospérer ensemble.

De même, la révolution technologique des décennies récentes fut en grande partie responsable des changements radicaux de notre position militaro-industrielle. Dans cette révolution, la recherche est devenue centrale, elle est également plus formalisée, plus complexe, et coûteuse. Une part toujours croissante en est conduite pour, par, ou sous la direction du Gouvernement fédéral.

Aujourd'hui, l'inventeur solitaire, bricolant au fond de sa boutique, a été dépassé par des troupes de choc formées de scientifiques dans les laboratoires et des centres d'essai. De la même manière, l'université libre, historiquement source d'idées et de découvertes scientifiques nées dans la liberté, a vécu une révolution dans la conduite de la recherche. En bonne partie à cause des coûts énormes impliqués, obtenir un contrat avec le gouvernement devient quasiment un substitut à la curiosité intellectuelle. Pour chaque vieux tableau noir, il y a maintenant des centaines d'ordinateurs. La perspective d'une domination des spécialistes de notre nation par les emplois fédéraux, les budgets attribués aux projets et le pouvoir de l'argent, [cette perspective] est bien présente et doit être considérée avec gravité.

Cependant, tout en apportant à la recherche et scientifique le respect que nous leur devons, nous devons également être attentifs à un danger à la fois aussi grave et opposé, à savoir que l'ordre public puisse devenir captif d'une élite scientifique et technologique. C'est la tâche de l'homme d'État que de mouler, équilibrer, intégrer toutes ces forces, anciennes et nouvelles, aux principes de notre système démocratique — en visant toujours à atteindre les buts suprêmes de notre société libre.

Un autre facteur de maintien de l'équilibre implique l'élément de temps. Alors que nous envisageons la société future, nous devons – vous et moi et notre gouvernement — éviter la tentation de vivre seulement pour le jour qui vient, pillant pour notre propre aisance, et à notre convenance les précieuses ressources de demain. Nous ne pouvons pas hypothéquer les actifs de nos petits-enfants sans risquer de dilapider également leur héritage politique et spirituel. Nous voulons que la démocratie survive pour les générations qui viennent, non pour devenir le fantôme insolvable de demain."

Si je devais définir cette organisation occulte qui contrôle le parc d'attractions que sont les États unis, je ne pourrais pas le faire avec autant de précision et de concision que l'a fait le Président Eisenhower dans ce discours d'un des derniers hommes politiques encore réellement libre.

La présidence de Barack Obama verra effectivement un changement, comme l'évoque son thème de campagne électorale, mais le peuple américain, après l'ivresse de la grande parade, risque de se réveiller avec une sacrée gueule de bois, et la surprise que le changement ne soit pas celui du parc d'attractions en fête, mais plutôt (ne pas confondre avec le chien de Mickey) celui du temps des épreuves avec son cortège de misères, de violences, d'injustices que ce président portera de plus en plus difficilement sur ses fragiles épaules.

Peut-être découvrira-ton que cette structure occulte et illégitime a agi avec un redoutable cynisme en choisissant un noir pour porter le chapeau des malheurs dont elle est pourtant entièrement responsable...


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dimanche 2 novembre 2008

Les vérités qui dérangent.


La devise des Maharajas de Bénarès est :

Il n'y a pas de religion supérieure à la vérité...

Mais combien sont capable de soulever les voiles des apparences, des faux semblants, des lieux communs et des certitudes qui ne reposent que sur transmission coutumière et/ou éducative que nous avons reçus sans prendre la peine de l'éprouver ?

Dans le clip vidéo que je vous propose de visionner, qui démarre lentement par un écran noir, soyez patient, les révélations qu'il contient sont de nature à soumettre votre faculté de discernement à rude épreuve, tant dans le sens de l'involution que de celui de l'évolution.

Prenez le temps d'aller jusqu'au bout de cet intéressant voyage, vous comprendrez pourquoi les évènements mondiaux actuels ne sont pas le fruit du hasard, mais bien le résultat des implacables lois de causalité, avec pour conséquence l'asservissement de toutes consciences.

Cliquez sur le titre de ce clip vidéo :

Le côté obscur de la loi du plus fort.

Diffusez le plus largement autour de vous ce clip vidéo anti politiquement correct.

Connaître l'étendue de son ignorance n'est que le premier pas qui mène vers la Connaissance, les autres pas à faire sur ce chemin impliquent volonté, effort et endurance :

Le Temple d'Hermès Trismégiste

Le Grand-Oeuvre d'Hermès

Les chemins d'Hermès



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